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    The Plot Against America
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    23 critiques spectateurs

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    Yetcha
    Yetcha

    743 abonnés 4 281 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 28 juillet 2020
    Une vraie déception cette min-série. J'aime ce format, j'adore les uchronie, j'aimais le casting et puis on s'arrête là. Le fait de prendre Lindberg comme président antisémite manque d'originalité et surfe sur une réalité prouvée. Mais surtout le problème ici c'est l'extrême lenteur de la mise en place de la situation. Sur 6 épisodes il y a quasiment 5 épisodes qui sont sur le même rythme avec les mêmes discours, les mêmes revendications concernant l'opposition à Lindberg d'une grande partie d la population juive. Seul le 6ème épisode fait décoller véritablement la série et on n'a envie de se dire, ça y est, enfin ça commence et on a hâte de voir la suite.... Sauf que.... Et bien c'est terminé, la mini-série est close. Je ne comprends pas pourquoi l'axe principal a autant tourné autour du pot. Un grand dommage.
    elriad
    elriad

    380 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 mai 2020
    Cette excellente mini-série en six épisodes , tirée d'un roman de Philip Roth , est une uchronie terriblement angoissante, prenant un sens tout particulier à l'heure de la présidence Trump. Le populisme et le réveil des haines racistes et homophobes transforme le roman de l'auteur américain en une parabole visionnaire d'un monde dangereux à l'heure où les pays se décomplexent dans le nationalisme et le renfermement sur soi. Le destin de cette famille juive est parfaitement rendu,entre comédiens impeccables et reconstitution des années 40. Une réussite totale et glaçante. A ne pas manquer...
    tisma
    tisma

    254 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 5 avril 2020
    Une très jolie série. Certes, un peu longue au démarrage, mais prenante par la suite. On y suit les aventures de cette famille et on est embarqué dans les mêmes émotions qu'eux.
    BLboug B
    BLboug B

    16 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 2 juin 2020
    Excellente série qui dépeint par petite touche la descente aux enfers d'une famille juive dans une Amérique hitlérienne. Cette contre-utopie est parfaitement interprétée par des acteurs investis et convaincants. Par ailleurs, le téléspectateur est emporté par un suspense aussi habile qu'efficace : Face à la propagande, au racisme et la haine, qui s'en sortira vivant ? Les angoissés ? Les exaltés ? Les naïfs ? Pour le savoir, il convient de regarder cette série de toute urgence.
    gunbuster
    gunbuster

    355 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 2 avril 2020
    Production HBO, reconstitution soignée, et une dystopie imaginant un populiste gagner les élections de 1940 aux USA, tout donnait envie.

    Mais après 3 épisodes, je ne peux véritablement la conseiller.

    Certes, la reconstitution est particulièrement réussie, et pas seulement les décors, costumes et automobiles, mais bien le quotidien des de la classe moyenne américaine de l’époque.

    Le casting est également particulièrement bien choisi, avec en tête d’affiche, l’excellent Morgan Spector dont c’est le premier rôle principal.

    On pourra évidemment noter les piques des auteurs à l’actualité et la Présidence de Donald Trump.

    Le principal problème vient de l’absence de rythme, de la volonté de rendre ce quotidien feuilletonnant dans le mauvais sens du terme, ôtant à l’œuvre tout son intérêt.

    Dans un schéma similaire, l’excellente Watchmen de l’année dernière faisait mille fois mieux, en mettant en exergue le racisme institutionnalisé contre les noirs et les dérives policières, d’une manière plus percutante et beaucoup plus prenant.

    Maintenant, si vous aimez les belles reconstitutions des années 30-40, avec quelques dialogues sans saveurs, pendant que vous remplissez vos mots-croisés, ça peut le faire.
    Jean N.
    Jean N.

    221 abonnés 530 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 25 août 2020
    Tout ça pour ça??? Même en 6 épisodes que c'est long ,mais que c'est long !!!
    Attiré par le sujet de cette uchronie et pas mal conquis par une autre (The man in the hignt Castle) , je me suis dit "on va voir"
    Mais que c'est lent et inintéressant !!!! Bien filmé, bien joué avec un beau casting , ça n’empêche pas que ça n'avance pas ! Le coté " si Lindberg devenait président populiste (Hé hé....)(qu'il soit anti sémite?) et qu'il conclue un pacte de non agression avec l’Allemagne, c'est sous exploités!! On s'embourbe dans une nème persécution des juifs qui se croyaient américains ... Suivi de tous les poncifs du rabbin juif collabo croyant bien faire ,trahi à la fin et du mafieux juif qui gravit les échelons en épousant la fille du parrain...
    Et quand enfin ça s'enflamme un peu au 6ème épisode ....ben c'est fini en 2 phrase!!
    Pour moi c'est raté !
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 288 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 22 mai 2020
    Mini-série en six épisodes, "The Plot Against America" est l'adaptation de l'uchronie de Philip Roth qui imagine l'Amérique pendant la Seconde guerre mondiale dirigée par un président isolationniste et antisémite, le célèbre aviateur Charles Lindbergh.

    Philip Roth, auteur d'une oeuvre immense qui aurait amplement mérité le Prix Nobel de littérature, s'était aventuré en 2004 dans un genre qui ne lui était pas familier : la dystopie. Mais il le fit, comme dans l'ensemble de ses romans, à hauteur d'homme, à travers les yeux de son double autobiographique, le jeune Philip (!) Levin, qui, comme l'auteur né en 1933, n'a pas encore dix ans et grandit dans une famille aimante près de New York, dans le New Jersey.

    Fidèlement adapté par David Simon, le scénariste de "The Wire" et "Treme", "The Plot Against America" ne nous transporte donc pas dans un univers radicalement futuriste façon "La Servante écarlate" ou "1984. On n'est pas dépaysé dans la petite maison de la classe moyenne juive de Newark. Sauf que… l'Amérique ne prend pas exactement dans le livre de Roth la direction vers laquelle F. D. Roosevelt l'avait guidée. Cédant à ses pulsions isolationnistes, elle porte au pouvoir lors des élections présidentielles de 1940 un candidat républicain qui promet aux Américains la paix et flatte leurs penchants antisémites.

    L'Amérique de "The Plot Against America" n'est pas la République de Gilead de "La Servante écarlate" : ni camps de concentration ni a fortiori de Solution finale, mais un climat qui autorise bientôt les pogroms menés par des extrémistes et une discrimination d'État décomplexée, par exemple dans la mise en oeuvre d'un programme "volontaire" de délocalisations des populations juives urbaines vers le Midwest. Ce refus de la science-fiction, cette fidélité à un univers familier rendent la dystopie encore plus crédible et encore plus terrifiante.

    L'offensive de charme de Charles Lindbergh divise jusqu'à la communauté juive : certains choisissent l'exil au Canada, d'autres comme le père de Philip prônent la résistance, d'autres enfin, tels la tante de Philip (Winona Ryder) et le rabbin qu'elle épouse (John Turturro), optent pour la collaboration. En filigrane se tisse une interrogation toujours contemporaine, valable peut-être à différents degrés pour tous les Juifs dans tous les pays du monde : comment être juif aux États-Unis ? La réponse de Philip Roth est claire et sans appel, qu'il martèle dans tous ses livres : la judéité et l'américanité ne sont en rien incompatibles.
    Seskapil
    Seskapil

    8 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 24 août 2021
    Je me réjouissais de voir une nouvelle uchronie, bien que le thème ne soit pas d'une folle originalité. La reconstitution historique est certes très soignée, mais l'ensemble est d'un ennui abyssal. Il ne se passe à peu près rien sur les 6 épisodes que dure la série. C'est lent, ça n'avance pas, sans doute parce qu'on ne nous raconte pas grand chose.
    Une réelle déception que cette série.
    Hubert Guillaud
    Hubert Guillaud

    117 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Excellente série dystopique qui prend le temps de nous exposer ses personnages pour nous faire basculer peu à peu dans une Amérique alternative, en nous montrant les racines du populisme et de l'intolérance. Un récit subtil, sensible et intime sur l'insidieuse montée du totalitarisme, les convictions et les erreurs politiques.
    malioth
    malioth

    38 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    Excellente série: Très intelligente... Merveilleusement interprétée. En espérant que la suite soit produite.
    Eli Zabeth
    Eli Zabeth

    25 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 27 décembre 2022
    Je rejoins l'ensemble des critiques lues ici : série à la fois très bien filmée, super acteurs (malgré Winona encore une fois en nunuche mais bon...), reconstitution soignée, et une idée de dystopie très alléchante... mais il ne se passe malheureusement pas grand chose, c'est très ennuyeux. On se concentre sur le point de vue de quelques personnages un peu archétypaux : le héros qui n'accepte pas ce qui se passe mais veut toujours croire à un sursaut de la société, tiraillé entre son envie de s'engager dans une forme de résistance et le fait de devoir faire profil bas pour protéger sa famille ; les enfants, très bien interprétés, à qui les adultes disent peu de choses et qui prennent peu à peu conscience par eux mêmes de la violence sociétale qui s'est installée si vite ; les juifs "collabo" probablement sincèrement persuadés que c'est la meilleure solution pour que les choses n'aillent pas trop loin quitte à fermer les yeux sur leurs droits fondamentaux, jusqu'à être rattrapés ... Le plus intéressant c'est la mise en scène d'une réalité glaçante : dès lors que le pouvoir est donné à des personnes cautionnant une idéologie fasciste, la société quelqu'elle soit peut très rapidement basculer et les pires travers humains se déchainer sur des minorités tandis que la plupart des citoyens ferment les yeux. Matin brun.
    Pierricdrai
    Pierricdrai

    5 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 29 mars 2021
    David Simon a ses chevaux de bataille. L’un d’entre eux est qu’il est persuadé que l’homme ne règle pas les problèmes, il les déplace et recréé de facto les conditions idéales pour leur résurgence. Ainsi, si la Shoah nous paraît aujourd’hui éloignée dans le temps, il suffirait d’un terrain propice à son éclosion et de quelques graines déposées pour que l’Histoire, une nouvelle fois, bafouille.

    Simon s’attaque donc ici à une adaptation d’un roman de Philip Roth paru au début des années 2000 où celui-ci imaginait son enfance dans le New-Yersey si Lindbergh, un aviateur américain célèbre et populaire mais sympathisant de l’idéologie nazi, avait remporté les élections en 1940 en lieu et place de Roosevelt. On est donc dans ce qu’on appelle une uchronie, une revisite de l’Histoire avec une illustration de ses conséquences. Sacré challenge pour Simon quand on sait que Philip Roth est un des grands romanciers contemporains. De plus, cette fois, c’était cette fois à lui de s’adapter à un univers déjà établi. Enfin, alors qu’il est généralement habitué aux grandes fresques permettant au spectateur de plonger dans des mécanismes complexes, il se voit cantonné ici à un format de 6 épisodes d’une heure.

    Malgré ces contraintes, on retrouve tout de même des similitudes avec ses productions passées. En premier lieu, Simon s’appuie comme à son habitude sur des personnages contrastés pour nous plonger dans cette histoire. Ici, il s’agit de la famille Levin. Herman, le père, travaille pour une compagnie d’assurance tandis que sa femme Bess tient la maison. Sous leur toit vivent leurs 2 enfants, Philip (Roth?), collectionneur de timbres et Sandy, admirateur du héros Lindbergh, mais aussi Alvin, un cousin des garçons, orphelin et rebelle dans l’âme. Bess a également une sœur célibataire, Evelyn, qui cherche l’amour et le trouve auprès du rabbin Lionel Bengelsdorf partisan de la politique « pacifique » de Lindbergh.

    Durant les quatre premiers épisodes, on est surtout en contact avec ces personnages et leurs réactions vis-à-vis d’une situation qui n’aura de cesse de les diviser. On assistera donc aux conflits que génère ce nouvel « équilibre » politique au sein de cette famille. Car encore faut-il percevoir le côté dangereux de la situation qui se drape d’une intention louable : ne pas sacrifier des hommes dans un nouveau conflit armé. Mais même pour ceux qui ont bien conscience des dérives inévitables qui se profilent, la situation n’est pas simple. Faut-il fuir ou se battre ? Et par quels moyens ? Dans ces conditions, il semble bien compliqué de fédérer une famille et encore moins un peuple. Car en prime, au sein même de la communauté juive, certains voient leur intérêt propre et une manière de se mettre en avant dans un contexte inédit.

    Et quant il s’agit de marginaliser une partie précise de la population, il semble primordial pour un gouvernement de s’entourer de pantins faisant autorité dans le milieu visé par ces mesures restrictives. En toute bonne foi, ces derniers portent un message apaisant et persuadent les leurs que les décisions prises sont bonnes pour eux. Pour ce faire, il suffit de flatter l’égo de ces porte-parole opportunistes, leur faire croire que leur voix compte et qu’aucun mal ne sera fait à leur peuple. Inévitablement, en plus de créer des dissensions au sein de la communauté concernée, cela dissipe les craintes et sape toute velléité de révolte.

    Pour renforcer ce sentiment d’impossible cohésion, la construction du récit est ici extrêmement habile et la volonté de Simon de toujours prendre son temps, un vrai atout. Car pour la population juive, la principale concernée par ce revirement de l’Histoire, les choses vont évoluer par petites touches, imperceptiblement. Dès lors, certains critiqueront la lenteur du récit et l’absence de spectaculaire dans une histoire où l’horreur aurait pu trouver sa place. Elle se démarque en cela d’une production comme « The Handmaid Tale ». Mais au final, ce parti-pris est cohérent car ainsi, la menace qui pèse sur eux semble si lointaine qu’une réaction de masse ne paraît pas indispensable.

    Par contre, une fois les pièces du puzzle imbriquées, le rythme du récit, toujours en phase avec celui des événements, va s’accélérer brutalement lors d’un dernier épisode terrifiant où la tension dramatique monte de plusieurs crans. Il est dès lors trop tard pour réagir ou pour fuir. On a tout à coup le sentiment qu’une machine se met en branle et que ceux-là même qui l’ont mis en place (parfois naïvement) sont impuissants à la juguler, dépassés par le monstre qu’ils ont créé. Ils n’ont alors plus que leurs yeux pour pleurer ou du déni à proposer. Car derrière eux, les loups sont prêts à surgir du bois, soutenus par un peuple qui n’attendait qu’une étincelle pour déverser une haine trop longtemps contenue. Gardant sa ligne de conduite, Simon interrompra son récit pour ne pas basculer dans la surenchère et le sensationnalisme. A nous de constater que ce a qui a abouti à cette situation est irréversible.

    Mais cette illustration presque didactique de l’arrivée au pouvoir d’un régime raciste est parcourue dans son final d’éléments narratifs dédouanant certains acteurs de l’histoire. Il est en effet question d’un complot (imaginé à partir d’un fait historique remanié pour la cause du récit) qui suggère que ceux-ci n’étaient que les pions d’une machination qu’ils voulaient atténuer ou dont ils n’avaient pas connaissance. Cela ternit un peu la démonstration.

    Porté par une mise en scène assez virtuose sans jamais être excessive dans ses effets et une direction d’acteurs toujours aussi exceptionnelle, on peut affirmer que Simon a toutefois réussi son pari. Et si le sujet fait froid dans le dos, venant d’un auteur très lucide sur la nature humaine et ses faiblesses, l’avertissement qu’il nous lance est sans appel.

    Une critique série tous les dimanches. Retrouvez l'ensemble de mes chroniques sur le site https://seriephiledudimanche.jimdofree.com/
    N'hésitez pas à aller y faire un tour et à déposer vos commentaires.
    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    9 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 7 juillet 2020
    Une série certes loin de toute légèreté mais qui n'a rien à envier à certains films. Uchronie finement menée, cette adaptation du roman éponyme de Roth est glaçante et très sombre mais parvient en 6 épisodes à réécrire l'histoire tout en prenant la forme d'un avertissement... Quand la liberté est en danger, quand le populisme accède au pouvoir, c'est toute la démocratie qui pourrait ne pas se relever (plus d'infos sur Pamolico, blog de critiques : https://pamolico.wordpress.com/2020/07/07/plot-against-america-david-simon-miniserie/)
    pimpon58
    pimpon58

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 23 avril 2020
    Winona Ryder sublime en épouse nunuche de John Turturo. Dénouement un peu confus qui laisse voir que ça pedale dur pour sortir de la dystopie.
    BeChill_YT
    BeChill_YT

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Adaptation du roman de Philip Roth, The Plot Against America est une nouvelle uchronie qui se déroule en 1941 au cours de la campagne présidentielle américaine. Cette mini-série disponible sur OCS depuis le 16 mars dernier nous présente un peu à la manière du maître du haut château une nouvelle ligne temporelle où Charles Lindbergh alors tenté par les idées d’Hitler et de l’Allemagne Nazie réussi à se faire élire président des Etats Unis contre Franklin Roosevelt contrairement au véritable déroulement de l’histoire. Cette uchronie met en avant les peurs de la communauté juive américaine en s’attardant sur une famille juive perdue dans ce moment essentiel de l’histoire des Etats Unis. On le voit un peu à l’image de l’actualité, il existe un fond malsain dans la culture américaine depuis toujours tiraillée à cause de son passé esclavagiste et ségrégationniste. On retrouve dans cette série de haut niveau de grands noms comme Winona Ryder ou John Turturro le tout dirigé par Burns et Simon qui étaient à l’origine d’une des meilleures séries de l’histoire the Wire également disponible sur OCS.
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