Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
dimanche 27 juin 2010 - 00h00
A l’occasion de la sortie de "Dog Pound", le nouveau film de Kim Chapiron, retour sur les thématiques les plus ancrées dans le film de prison, un genre cinématographique spécifique. Dossier réalisé par Laurent Schenck
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Les films de prison font la part belle aux personnages bien détestables comme on les aime ! Qu'ils soient du côté des détenus ou de l'administration, certains d'entre eux sont restés gravés dans les annales de par leur sadisme et leur cruauté poussés à l'extrême. A titre d'exemple, on peut citer les directeurs de prison dans Les Evadés, Haute sécurité, Faut s'faire la malle et Plein la gueule, qui non seulement se comportent de manière despotique envers les détenus, mais qui en plus profitent de leur statut de haut fonctionnaire pour commettre des actes illégaux... Un comble pour des personnes à la tête d'une institution sensée protéger la société !
Chez les matons, les choses ne sont guère plus réjouissantes, comme on le voit avec Les Démons de la liberté, Papillon, Haute sécurité et bien d'autres, puisque, pour certains d'entre eux, l'acharnement sur les prisonniers constitue une sorte de passe temps. Quant aux détenus, ils ne sont pas irréprochables pour autant... César Luciani, le chef de la mafia corse dans Un prophète, utilise le héros Malik comme son esclave; Weber, dans Haute sécurité, passe son temps à martyriser le personnage de Sylvester Stallone; quant à T-Bag, le célèbre psychopathe de la série Prison Break, il attend avec impatience l'arrivée de nouveaux détenus pour leur mener la vie dure... Chaque film de prison possède son prisonnier sadique et cruel qui, bien évidemment, va donner du fil à retordre au héros...
Par rapport à l'évolution de ce type de personnage, on remarque qu'il s'agit de plus en plus d'un détenu, contrairement aux vieux films où il était plus souvent question d'un directeur ou d'un maton. Bien sûr, il s’agit là, comme pour tous les autres thèmes sélectionnés, d’une tendance générale, pas d’une vérité absolue s’appliquant à tous les films (par exemple Zonzon est un film de prison plutôt récent, mais il accorde tout de même de l’importance aux scènes dans lesquelles des surveillants martyrisent des détenus...).
Du côté des films américains des années 90 et 2000, ce sont surtout les prisonniers rattachés à des gangs "Blancs" racistes ("La Fraternité aryenne") qui endossent les rôles de méchants : Les Princes de la ville, American History X, L' Effet papillon, Haute sécurité, sans oublier, pour les séries, Oz et Prison Break (la palme du détenu le plus vicieux revenant sans nul doute à Vern Schillinger d’Oz !). Ces prisonniers tatoués, racistes, grossiers, sadiques, violents et violeurs y sont représentés comme des individus complètement irrécupérables, dont la cruauté ne connait aucune limite. Le gang corse d'Un prophète se rapproche d’ailleurs de ce modèle, tout comme les trois bourreaux de Dog Pound…
Chez les matons, les choses ne sont guère plus réjouissantes, comme on le voit avec Les Démons de la liberté, Papillon, Haute sécurité et bien d'autres, puisque, pour certains d'entre eux, l'acharnement sur les prisonniers constitue une sorte de passe temps. Quant aux détenus, ils ne sont pas irréprochables pour autant... César Luciani, le chef de la mafia corse dans Un prophète, utilise le héros Malik comme son esclave; Weber, dans Haute sécurité, passe son temps à martyriser le personnage de Sylvester Stallone; quant à T-Bag, le célèbre psychopathe de la série Prison Break, il attend avec impatience l'arrivée de nouveaux détenus pour leur mener la vie dure... Chaque film de prison possède son prisonnier sadique et cruel qui, bien évidemment, va donner du fil à retordre au héros...
Par rapport à l'évolution de ce type de personnage, on remarque qu'il s'agit de plus en plus d'un détenu, contrairement aux vieux films où il était plus souvent question d'un directeur ou d'un maton. Bien sûr, il s’agit là, comme pour tous les autres thèmes sélectionnés, d’une tendance générale, pas d’une vérité absolue s’appliquant à tous les films (par exemple Zonzon est un film de prison plutôt récent, mais il accorde tout de même de l’importance aux scènes dans lesquelles des surveillants martyrisent des détenus...).
Du côté des films américains des années 90 et 2000, ce sont surtout les prisonniers rattachés à des gangs "Blancs" racistes ("La Fraternité aryenne") qui endossent les rôles de méchants : Les Princes de la ville, American History X, L' Effet papillon, Haute sécurité, sans oublier, pour les séries, Oz et Prison Break (la palme du détenu le plus vicieux revenant sans nul doute à Vern Schillinger d’Oz !). Ces prisonniers tatoués, racistes, grossiers, sadiques, violents et violeurs y sont représentés comme des individus complètement irrécupérables, dont la cruauté ne connait aucune limite. Le gang corse d'Un prophète se rapproche d’ailleurs de ce modèle, tout comme les trois bourreaux de Dog Pound…
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