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    Donoma
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    landofshit0
    landofshit0

    247 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    Donoma a été vendus comme le film qui n'a couté que 150€,c'est déjà très discutable vu qu'il est impossible d'avoir le moindre matériel pour ce budget.Alors je veux bien que tout soit fait dans des décors existants,sans autorisation et avec des acteurs amateurs,mais il reste impossible de tenir un aussi petit budget.Donoma ne ressemble qu'a un film d'étudiant en première année de cinéma croyant qu'il va révolutionner le cinéma.Il n'y a pas de cadrages,la camera bouge tout le temps,le son est une véritable catastrophe,la plupart du temps on ne comprends pas les dialogues.Alors il y a bien quelques petits passages qui fonctionnent,mais alors il faut faire le trie dans tout ce bordel chose que Djinn Carrenard n'a pas fait ou plutôt qu'il ne sait pas faire.Il n'y a absolument rien de maitrisé là dedans,c'est a mille lieux d’être génial.N'importe quel apprenti vidéaste peut sortir ce genre d'étron immature et non écrit,c'est du lelouch en pire.Djinn Carrenard essai de se frotter la nouvelle vague c'est un pétard mouillé.
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    19 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2012
    Je suis sorti de la salle rempli d'émotions et heureux de constater que le cinéma français se renouvelle et d'avoir assisté à la naissance d'un grand réalisateur. Un film qui ne laisse pas indifférent, actuel et riche, malgré quelques imperfections, peut être recherchées. Remises en question permanentes des valeurs tels que la masculinité, la fidélité, l'amitié, l'amour, la communication, la sexualité...Un film d'un genre nouveau, à voir et revoir...
    Cineseba
    Cineseba

    37 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2014
    Le film "Donoma" est une réflexion philosophique sur la communication qui permet aux interlocuteurs de réagir mais aussi qui les perturbe à cause des quiproquos, il montre aussi qu'on peut se communiquer sans voix ... Intéressant mais une seule reproche : sa grande longueur ... Mmmhhh ... Et enfin, un énorme bravo pour sous titrer ce film pour les sourds et malentendants !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 145 abonnés 7 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2011
    On est bluffé, constater qu’avec seulement 150€ de budget, Djinn Carrenard ait pu financer son premier long-métrage sans passer par les organismes habituels, cela force le respect. Car dans une industrie cinématographique comme la notre, ce genre de projet peut difficilement voir le jour, cela prouve bien la détermination de ce cinéaste en herbe qui, durant plus de 130 minutes (!), n’arrêtera jamais de nous surprendre. Djinn Carrenard dresse le portrait de plusieurs protagonistes, tous très différents des uns des autres. On y découvre une étrange relation entre un professeur d’espagnol et son élève, puis ce dernier avec sa copine, cette dernière (athée) se découvre une attirance pour la foi chrétienne (alors qu’au même moment sœur est atteinte d’un cancer) et enfin, on suit les mésaventures d’une femme déçue en amour. Cela fait beaucoup pour un premier film, mais pas de quoi décourager Djinn Carrenard qui y réalise une œuvre criante de réalisme, à tel point que l’on a l’impression d’avoir affaire à un docu/fiction tant les échanges entre les comédiens paraissent vrais, aucune fausse note au niveau de l’interprétation (y aurait-il eu de l’improvisation ?). Djinn Carrenard et ses acteurs nous bluffent littéralement avec ce film choral et nous promettent de belles choses pour l’avenir.
    ffred
    ffred

    1 490 abonnés 3 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    Donoma débarque sur les écrans (enfin deux seulement à Paris) avec une aura de phénomène et un budget annoncé de 150 euros (si c’est vrai chapeau, mais je n’y crois guère, plutôt un joli petit coup marketing…).Et en effet, le film est assez incroyable. Aussi réussi sur la forme que sur le fond. On voit bien que tout cela a été fait dans l’urgence et peu de moyens donc. Il en résulte une image pas très belle et souvent floue, un montage chaotique et un son pas parfait. Mais certains se donnent du mal pour arriver au même (mais mauvais) résultat avec beaucoup d’argent sous prétexte de faire de l’art et de se faire extasier les critiques. Mais on s’y fait bien vite (tout comme aux sous-titres qui attirent d’abord l’œil avant qu’on y fasse plus attention) pour se concentrer sur l’histoire et le jeu des acteurs...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
    lucyinthesky4
    lucyinthesky4

    225 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2011
    Juste fabuleux. À la fois hilarant et bouleversant, un film complètement fauché mais plein d'idées et de vie. J'en suis toute chamboulée.
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 avril 2013
    Ce film s'est surtout fait connaître par son argument marketing d'avoir été "fait" avec 150 euros. Bon, cela semble totatement impossible dans la réalité (enfin si, si on prend en compte que personne n'a été payé et que Carrénard faisait tout) mais force est de constater qu'on a clairement ici un film fauché. Pourtant il ressort de ce film une fraîcheur que je n'avais pas ressenti depuis un bon moment. Les acteurs semblent très impliqués, ont sent qu'ils tiennent à coeur ce projet. La mise en scène est inventive et recherchée. J'ai eu un peu peur de m'ennuyer durant ces deux heures et finalement je n'ai pas vu le temps passer tant les dialogues sont fluides et semblent évident. Une belle surprise.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2012
    Djinn Carrénard parvient à mettre un peu de vent nouveau dans le cinéma français grâce à sa fresque urbaine d’un style unique. A partir de rien, et après avoir lutté pour construire et distribuer son œuvre surprenante, il réussi à nous émerveiller en faisant apparaitre de manière très intelligente les doutes psychologiques et autres déceptions émotionnelles de chacun de ses personnages, tous parfaitement bien interprétés, à travers leurs relations ardus les uns envers les autres, dans un film choral captivant au montage si chaotique qu’il semble parfois presque aléatoire. Le thème du désir est le fil conducteur au centre de chacune de ces histoires passionnantes et habilement emboitées tel un vaste puzzle narratif. La mise en scène, pleine de choix de prises de vues ingénieuses nous faisant partager le peu de moyens technique du réalisateur, est elle aussi une perle d’originalité à ne pas rater. Bref, 130 minutes de pur bonheur cinématographique que l’on ne voit pas passer.
    Christoblog
    Christoblog

    740 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Quand on ne s'attend à rien, on a toujours plaisir à découvrir quelque chose.
    En allant voir Donoma, j'obéissais un peu à l'appel du buzz que tout blogueur un peu consciencieux doit suivre. Donoma était dans mon esprit "le film à 150 euros et aux images floues". Traduisez, un peu cradingue, et probablement agressif et/ou ennuyeux.

    Et paf, le film n'est rien de tout cela, il en est même le contraire, et d'une corvée plus ou moins agréable (cocher la case J'ai vu le film qu'il faut voir), le dimanche soir s'est transformé en pur moment de bonheur cinématographique.

    Commençons par le début. La première scène happe littéralement l'attention. Toute les qualités du film s'y révèlent déjà en bloc : une attention extrême au jeu hypersensible des acteurs, une liberté totale du cadre, de la focale et des mouvements de caméra, un art du dialogue qui captive l'attention en empruntant systématiquement des voies surprenantes.

    L'actrice Salomé Blechmans fait une entrée fracassante dans le film. Elle y sera magnifique de bout en bout, comme les autres femmes du film d'ailleurs. Le talent de Carrenard s'exprime pleinement avec ses interprètes féminines, toutes plus émouvantes les unes que les autres : Emilia Derou-Bernal, une prof d'espagnol embarquée dans un imbroglio diabolique, Laura Kpegli, photographe poétique qui invente un jeu absolument génial, Laetitia Lopez, émouvante en fille blanche de parents noirs. Une prestation collective impressionnante.

    Les garçons sont bien aussi, mais je ne vais pas non plus en tartiner cinq pages, donc hop je passe à l'homme orchestre, à celui qui inspirera systématiquement les remarques du genre Mais y sort d'où celui là ?, Djinn Carrenard, monteur, producteur, ingénieur du son, réalisateur et directeur de la photo de son film. Pour ceux que ça intéresse j'ai trouvé une jolie petite biographie qui en dit plus sur le bonhomme, de ses origines haïtienne à sa carte UGC illimité (qui lui fait définitivement quitter la Sorbonne).

    Vous me connaissez, j'ai souvent la dent un peu dure, mais ici à l'inverse - et ça me fait bizarre de le dire - il y a bien une étincelle de génie dans le travail de ce jeune réalisateur. Le film est complexe, puissant, et tout y semble incroyablement juste. Même les flous semblent tomber au bon moment. On a parfois l'impression de redécouvrir la puissance originelle du cinéma : des cadres qui n'en sont pas, des plans de coupe impromptus, des tangentes bizarres (les personnages revivent une scène en arabe), des plans osés (la superposition d'images dans le train), des inventions évidentes et sidérantes (le son qui s'arrête plusieurs minutes, les plans intégralement noirs dans la cage d'escalier). Tout semble évident et inventif à la fois, traversé par une énergie souterraine qui irrigue le jeu des acteurs, le scénario dans son ensemble, la bande-son (remarquable elle aussi) et le montage. J'ai pensé aux premiers films de Spike Lee, et aussi à la maîtrise de vieux roublard qui ont caractérisé les premiers films du tout jeune Fatih Akin (Head on par exemple).

    C'est beau, c'est émouvant, c'est magique. Alors maintenant, trouvez vous une salle, et allez-y. Et en sortant, convainquez trois personnes d'y aller.

    Plein d'autres critiques ici : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
    Nicolas K
    Nicolas K

    97 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2014
    Oublions les faux-semblants, oubliez les budgets astonomiques, pensons simple.
    "Donoma" résonne ici d'une fraîcheur rare, parsemée d'acteurs/actrices faisant l'amour à la caméra.
    Parfois on rigole, parfois on se déconnecte, parfois on s'attriste, tout y passe. Seules les longueurs du film ne passent pas, tournant parfois en rond.
    Les cartes ont été rebattus en 2009, à savoir si elles n'ont pas dors et déjà été jetées.
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    43 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2014
    Donoma n'est pas une grande oeuvre cinématographique, il y a même des maladresses dans la manière de filmer, mais voilà, il se passe quelque chose, en tout cas pour ma part il s'est passé un truc... Drôle de film franchement, des films comme ça tous les ans il doit y en avoir que deux ou trois ! en fait je les compte sur les doigts d'une main tellement l'univers est décalé : la caméra est spectatrice au lieu d'être actrice de la scène ; les comédiens ont l'air de ne pas être dirigés tout en étant dirigés vu leur degré de folie et le réalisme déconcertant de leur jeu ; on alterne entre séquences humoristiques très drôles ( la folie qui émane des personnages, le langage recherché et en même temps ''légers''...) et celles plus sérieuses avec des réflexions philosophiques très intéressantes... Franchement, drôle d'objet que j'ai pris plaisir à regarder.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    36 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2014
    Ce film est très bon malgré son tout petit budget, 150€ paraît-il, pour le "réaliser"! Comme quoi tout le monde peut faire un film, une caméra, des acteurs amateurs. Mais bon pour faire un film comme Donoma, il faut quand même du talent. Ce qui est chouette c'est que les acteurs sont naturels, y'a eu un seul moment ou j'avais l'impression de regarder une série française à la tv mais sinon j'ai ressenti de l'authenticité et puis certains dialogues sont très bien écrits. J'ai adoré la partie du film ou on vois la relation entre un cancre et sa professeur d'espagnol, j'ai trouvé ça captivant.
    Après j'ai un peu moins accroché au reste mais j'ai passé un bon moment sans me soucier du temps qui passe.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    22 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2012
    Partisan du film-guerilla, Djinn Carrenard a su en étonner plus d'un avec une des oeuvres les plus ambitieuses de l'année 2011. Avec son budget de 150 euros, Donoma se distinguait des autres productions avant même sa sortie. Le destin croisé, on peut se dire que c'est du vu et revu. Malgré tout, Donoma arrive y à apporter une saveur nouvelle avec plusieurs segments parfaitement bien partagés entre les diverses émotions qu'un spectateur peut ressentir au cinéma. Avec une caméra à l'épaule, les plans improvisés et souvent flous résument brièvement l'état d'esprit du film. Des acteurs inconnus, mais pourtant excellents et sentent le naturel à plein nez, sont les personnages de ces histoires de jeunesse contées de façon inédite pour une très grande surprise cinématographique qui ne suscite pas ne serait-ce qu'une once d'ennui et réussit à ne jamais tomber dans le banal. Un réalisateur qu'il nous tarde de revoir dans les salles obscures.
    boueverte
    boueverte

    13 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2013
    les archétypes de ce film me filent de l'urticaire. J'ai préfréré arrêter avant la moitié pour économiser une séance chez le dermato....

    Je mets quand même la moyenne pour l'interprêtation et la réalisation.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Aujourd'hui, tout le monde peut faire un film. Il suffit d'avoir une caméra donnant des images passables, des acteurs amateurs, et de tourner le plus souvent dans des décors intérieurs. Donoma (prénom voulant dire « le soleil est là ») est un scénario chorale parlant d'amour et de sentiments. Une adolescente athée qui cherche des réponses. Un jeune de banlieue qui tombe amoureux de sa prof. Une photographe qui choisit le silence pour sa première relation amoureuse. Il est question dans ce film de beaucoup de choses. De ce qui nous lie, de ce qui nous sépare, de nos différences culturelles, sociales, religieuses. À 30 ans, Djinn Carrenard réalise un premier long d'une très grande maturité, et prend plaisir à filmer les multiples joutes verbales de ses interprètes. Ces derniers sont d'ailleurs tout aussi impressionnant, de sorte que l'on pourrait croire que ce n'est pas leurs rôles qu'ils jouent mais bien une tranche de leurs vies. Ce ne sont pas de simples dialogues qui sont en jeu ici, mais de réelles convictions auxquelles ces gens croient. Filmé en caméra à l'épaule, on note la présence de certains aspects documentaires, où l'objectif est constamment en mouvement, à l'image des idées et sentiments qui traversent l'esprit des personnages. Les trois histoires principales avancent progressivement, sans jamais que l'une prenne plus d'importance que d'autres. Elles arrivent à s'entremêler en arrivant à lier des thèmes similaires qui nous donnent à réfléchir et où chacun peut s'identifier. Donoma a coûté 150 euros, et c'est l'un des meilleurs films français de l'année. Comme quoi, l'argent ne fait pas tout...
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