Derniers Avis : 12 hommes en colère - Page 20

Ok ce film est vieux... Mais quand on prend le jeu des acteurs il fait vraiment... amateur.
Je sais ce film a plus d'un demi siècle mais quand même.
C'est une bonne pièce de théâtre. Mais sa place au cinéma me laisse perplexe. Et qu'on ne me sorte pas que c'est faute de moyens techniques ! King Kong de 1933 ça c'est du cinéma ! A la limite Le voyage dans la lune de 1902 fait presque plus "cinéma" que 12 hommes en colère.
Et puis la fin est un peu trop prévisible, dès la deuxième minutes ont est fixé.
Bon je laisse quand même un 3 car j'imagine je j'ai encore trop peu d'expérience pour le juger et avec un film qui prône des valeurs telles que spoiler: la clémence et le bénéfice du doute..

Oui le point positif du film c'est son message !

Bref, très bonne pièce de théâtre. A réserver aux cinéphiles avertis.

Un film excellent où l'on ne s'ennuie pas un instant même si la quasi-totalité de l'histoire se déroule dans une seule sale. L'humanisme est au rendez-vous avec l’exceptionnel Henry Fonda qui comme à son habitude s'impose en tant que personnage juste et combattif.

12 Hommes en colère, voilà donc le Sidney Lumet par excellence, son premier film d’ailleurs, alors adapté d’un scénario original de Reginald Rose ; une œuvre caractérisée de monument cinématographique, un classique intemporel et unique en son genre… vraiment ? Eh bien oui, tout bonnement oui : quelle expérience brillante à tout point de vue, tant dans son propos que dans sa mise en scène foutrement efficiente ; le simple fait d’avoir aussi bien résisté aux affres du temps en dit déjà long sur sa qualité intrinsèque, mais il convient de lui rendre hommage plus en détails. Il y a d’abord ce respect de la règle des trois unités, pas forcément important au premier abord, mais ce huis clos long d’une heure trente passionnant de bout en bout nous en fait prendre pleinement conscience : 12 Hommes en colère fait beaucoup avec peu, pour un résultat tenant du chef d’œuvre. La direction du jeune Lumet d’alors est ainsi d’une illustre efficacité, entre le sentiment croissant d’oppression, et la trame avançant avec une logique implacable au fil des délibérations, elles-mêmes captivantes et remarquablement bien écrites, on en oublie même le visuel en noir et blanc tant celui-ci n’a que peu d’importance ; la simple salle de débat nous happe donc en son sein avec une facilité déconcertante, aucune once d’ennui au programme, l’excellente intrigue s’opère avec une logique faite d’éloquence et autres joutes verbales remarquables. Mais il n’y a pas que l’intelligence des dialogues, bien au contraire, 12 Hommes en colère arborant un propos moral fort comme pas deux, de quoi faire réfléchir chacun sur la notion de justice, son appréhension ; le fait d’user de personnages tous différents, tel un échantillon parfaitement représentatif de la population américaine d’époque, est également d’une pertinence folle, d’autant que ces derniers sont tous interprétés à la perfection. La performance de Henry Fonda et des autres jurés concourt donc à cette réussite tant méritée du long-métrage, qui à l’aide seule de son scénario si bien construit, cohérent même, aura fait date dans l’histoire du cinéma contemporain, à bien des égards… 12 Hommes en colère est donc un plaidoyer vibrant, fort d’un discours astucieux, à l’image d’un vote à l’unanimité réfléchis et éloquent en la matière. Une référence indémodable.

Un huis-clos souvent imité mais au grand jamais égalé, le meilleur film incontesté de Sidney Lumet. Le scénario nous prend aux tripes pendant toute la durée du film, pas de musiques particulières et cette œuvre se passe quasiment toujours dans une seule pièce pour débattre sur le sort d'un jeune homme accusé de meurtre vis à vis de son propre père. Interprétations fiévreuses et dialogues exceptionnels, Henry Fonda y est magistral je pense qu'il n'y a rien à dire sur ce film. L'un des meilleurs films de tous les temps, c'est trop frais des films de cette envergure on aimerait franchement en voir beaucoup plus souvent dans nos salles obscures. Avec plus de 55 ans au compteur, 12 Angry Men continue d'époustoufler le spectateur par son réalisme et ses diverses qualités irréprochables. Ça mes amis cinéphiles, c'est de l'immense cinéma avec de l'intelligence pure, un mythe, l'un des 50 films à voir avant de mourir. Si quelqu'un lui trouve un minime défaut je serais le premier à être présent, un sans faute pour un film parfait, car si la ''perfection'' n'existe pas, ''ce mot'' n'existerai pas également.

Une leçon de cinéma, je n'ai pas vu le temps passé.

Un grand classique, dont on parle encore plus de cinquante ans après, et à raison. Pour sa première réalisation, Sidney Lumet donne une véritable leçon de mise en scène, prouvant que le cinéma peut bien se passer de décors faramineux, effets spéciaux et autres artifices. Avec une simple table et douze chaises, on peut tenir en haleine son public pendant une heure et demie, pour peu qu’on dispose d’un scénario en béton et de dialogues percutants. Le film ne se réduit d'ailleurs pas à une simple critique du système judiciaire américain, mais analyse l’ensemble de la société au travers de douze personnages. Chacun des onze jurés a une raison différente de considérer l’accusé coupable, et certains n’en démordront que poussés au bout d’eux-même. Racisme, traumatisme personnel, manque d’intelligence, ou encore versatilité, Lumet nous offre une vision implacable des raisons conduisant à la condamnation d’un homme à mort. Seul le douzième juré, incarné par le grand Henry Fonda, conserve l’objectivité nécessaire, et il va convaincre un par un ses condisciples que la culpabilité de l’accusé n’est pas certaine. Le film a de surcroît l’intelligence de proposer un côté enquête très subtil, avec des petits détails que n’aurait pas renié Hercule Poirot lors des différentes reconstitutions. On est véritablement happé par l’affaire, et on suit sans peine les différents cheminements qui conduisent les protagonistes à modifier leur vote. L’analyse psychologique est implacable, et on est bien en peine de trouver le moindre détail incohérent. Le casting impeccable et la mise en scène parfaite parachèvent cet authentique chef d’oeuvre. A voir et revoir encore, le modèle du genre.

"12 hommes en colère", malgré ses 57 ans d'âge, sonne toujours terriblement juste. Sidney Lumet signe là une oeuvre impressionnante de justesse et d'intelligence. A travers un débat qui s'installe entre 12 jurés sur le sort d'un jeune homme accusé de meurtre et risquant la peine de mort, il expose une critique remarquable de notre système judiciaire et du rôle des jurés. Alors que 11 d'entre eux sont favorables à l'exécution de l'individu, le 12ème lutte pour l'acquittement. Non pas parce qu'il le pense innocent, mais parce qu'un doute subsiste en lui sur sa culpabilité. Et ce doute, il va réussir le transmettre par son raisonnement à ses interlocuteurs, mais aussi au spectateur. C'est là le vrai tour de force de "12 hommes en colère" : mettre en lumière les défauts des jugements à la va-vite et/ou basés sur des préjugés, nous faire prendre conscience de l'importance du rôle de juré. Et qui de mieux que Henry Fonda pour incarner ce "sauveur", cet homme qui ose s'opposer aux autres pour un doute, qui ne se laisse pas berner par l'effet de groupe ? Eh bien personne. Son jeu est absolument exceptionnel, rarement un personnage n'a été aussi convaincant. La mise en scène de Sidney Lumet, très efficace, ainsi que les dialogues savamment travaillés permettent également aux 11 autres protagonistes de montrer tout leurs talents d'acteurs qui s'avèrent remarquables. Chacun à sa propre personnalité, sa propre psychologie, ce qui fait également de ce huis-clos sans temps mort une parfaite représentation de la société. "12 hommes en colère" est donc bien un chef d'oeuvre intemporel qui n'a rien perdu de sa puissance originelle, et qui mériterait d'être plus régulièrement diffusé.

Super film,
Malgré qu'il soit sortie en salle en 1957 reste d'actualité.
Il nous montre combien les hommes peuvent être influençable et dépendant de leurs préjugés.

Une remise en question complète sur le système judiciaire et le pouvoir de persuasion des individus. Comment la vie d'un homme ne peut tenir qu'à u' fil. Avec un Henry Fonda grandiose.

Absolument superbe! La mise en scène est d'une efficacité remarquable et les acteurs sont terriblement convaincants. L'usage des effets "atmosphériques" (lumières, températures variables) pour souligner la montée et l’acmé de la tension dramatique est plein de subtilité. Et d'un point de vue argumentatif, ce film est un modèle inégalé. Je l'ai peut-être vu 5 fois, et je le reverrai sans problème.

12 Hommes en Colère, un classique du cinéma qui a été le premier film d'un futur grand réalisateur, j'ai nommé Sidney Lumet.

Un réalisateur issu du monde de la télévision, c'est grace à elle qu'il se fait connaître et réalisera plus tard Un Après-Midi De Chien, La Colline Des Hommes Perdus, Serpico et bien d'autres encore.

Pour son premier long métrage Lumet se lance dans l'adaptation cinématographique d'une pièce de théâtre écrite par Reginald Rose.

Sidney Lumet livre aux spectateurs un film entré dans la légende grace notamment à son casting cinq étoiles mais surtout grâce à un huis clos parfaitement maîtrisé par Lumet.

Le film est un huis clos à lui tout seul, hormis la salle du tribunal au début du film et les marches du parvis du même tribunal à la fin, l'action se déroule dans un seul et même endroit.

Qui dit huis clos dit atmosphère, une atmosphère étouffante du fait de la chaleur caniculaire renforcé par la délibération de ces douze hommes qui tiennent la vie d'un homme entre leurs mains.

Un film qui ne change quasiment jamais d’endroit doit avoir un casting à la hauteur de la tache.

Pour cela Sidney Lumet s'entoure d'acteurs de qualité, Henry Fonda qui est ici l'un des producteur et qui fut également à l'initiative de ce film, Lee J. Cobb l'éternel lieutenant Kinderman dans L'Exorciste, John Fiedler, Jack Warden, Martin Balsam, E.G. Marshall, Jack Klugman, Ed Binns, Joseph Sweeney, Ed Begley, George Voskovec et Robert Webber.

Le sujet de départ est simple mais grâce notamment aux dialogues entre ces douze hommes le film devient une oeuvre puissante et intemporel........................................

Un film magnifique où Henry Fonda dans son costume blanc d'ange salvateur fait des merveilles. Un film réussi et sous tension où l'on sentirez presque la chaleur étouffante qui règne dans le film

Sans aucuns doutes un des grands films du cinéma. Toujours aussi juste malgré son âge, il a la marque des plus grands films. Tout, de la mise en scène, au cadrage, passant par le scénario et le jeu des acteurs est réussi.
Ce qui est incroyable dans ce film, c'est qu'il réussi, malgré les contraintes techniques qu'il s'impose (tout le film ne se déroule que dans une seule pièce puisque l'on suit la délibération des jurés) à nous captiver pendant 1h30 tout en nous décrivant la société, sans pourtant faire de caricatures, et en nous posant de réelles questions sur notre propre vision de la justice. On aime les personnages, on s'identifie et on les comprend, tous, sans exceptions, malgré leurs divergences d'opinions et d'horizons. Un grand film, très loin des films d'actions de nos jours, que l'on peut pourtant voir et revoir sans s'ennuyer.

Vraiment, chapeau bas à vous, M. Lumet.

Douze homme en colère est un petit bijou du 7ème art, on y retrouve beaucoup d'aspect philosophique. L'un de ses principale aspect est l'effet de groupe très bien présenter ici, l'ors du débat pour savoir si l'accusé est coupable ou non, onze des hommes affirment que le jeune homme est coupable et l'autre s'oppose a cela, et il ne dit pas que l'homme est innocent, mais il dit qu'il liu est impossible de savoir si l'homme est innocent ou coupable, ainsi il veut pas prendre le risque de condané un innocent et doute, il doute, car dans la vie, il n’y a jamais rien d’aussi clair et d’aussi certain. Il y a assurément quelque chose de faut dans les preuves. Les onze autres, au contraire, pensent détenir la vérité seulement parce qu’ils sont plus à penser la même chose. Un autre fait important du film est que l’accent a été mis sur l’attitude des personnages plutôt que sur le débat. Chaqu'un de ses hommes a une personnalité différentes, et les onzes qui croyait le jeune homme coupable le pense tous pour des raison différentes, mais qui seront une a une démenteler par le douxième homme, à l’aide d’éléments importants de l’histoire qui avaient été vite passé et peu approfondis. Bref, un excellent film en noir et blanc que je recommande vivement.

12 hommes en colère est un excellent huis clos, moi qui adore les huis clos j'ai forcement apprécié celui ci, une base dans le cinéma du genre, un film porté sur les dialogues, 1h30 de dialogue, donc faut pas nous sortir un texte et une histoire à la noix, là il s'agit du jury d'une cour d'assises, 12 hommes donc chargés de délibérer si un jeune a oui ou non tué son père, 11 de ces hommes le déclare coupable et un non coupable, donc forcement la tension va monté et l'affaire va être décortiqué.
Le film étant assez court ne subit aucune longueur, l'histoire est toujours captivante, le casting est très bon, même si j'ai vu le film en VF, j'aurais préféré une VO mais j'ai fais avec ce que j'ai pu, l'affaire est intrigante et très prenante, la réalisation est simple mais suffisamment efficace pour un huis clos et la mise en scène est très bonne également.