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4,0
Publiée le 31 juillet 2011
Sortit en pleine période d'effervescence du sujet banlieue et largement occulté par le très populaire "la haine",le film de Thomas Gillou a gagné en justesse au fil du temps ce que le film de kassovitz a perdu en crédibilité. Car si le premier a pu tant fédérer à l'époque sur son postulat de critique sociale au détriment du second,c'est avant tout grâce à sa mise en scène tape à l'oeil plutôt que par la profondeur de son propos. Une raison supplémentaire pour (re)découvrir ce petit film sans prétention,mais autrement plus en phase avec le sujet qu'il traite,au vu d'une actualité et d'un recul suffisant,pour prendre toute la mesure de son discours à sa juste valeur.
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3,0
Publiée le 8 janvier 2014
Surfant sur le succées de la haine Thomas Gilou donne moins de force et de maestria à son film mais arrive tout de même à livrer un film honorable et beaucoup plus regardable que d'autres productions françaises. 14/20
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2,5
Publiée le 17 janvier 2014
Un autre rail de haine. Dans la même année, en 1995, il y à eu La Haine de Kassovitz. Raï quand à lui, est une réalisation de Thomas Gilou (La vérité si je mens). Le sujet est similaire, la cité, les confrontations, des injures, la drogue, la difficulté sociale, bref, mais cela ne vaut pas le Kasso. On y trouve du bon quand même, pas mal de passages forts grâce aux exécutions des protagonistes, notamment Samy Naceri qui impressionne avec un grand naturel son petit monde. C'est ici également que vous trouverez les débuts au cinéma (et même la fin...), de l'actrice X Tabatha Cash.
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1,0
Publiée le 24 février 2012
Raï (1995), c’est un drame social sur la banlieue, les cités difficiles avec des jeunes qui dealent, volent, se droguent, vandalisent, bref rien d’extraordinaire, sauf qu’ici, durant 85 minutes, ils passent leur temps à s’engueuler, s’insulter et à se taper dessus. Un scénario inintéressant, pourtant pas si désagréable à suivre (heureusement), mais niveau interprétation, il ne faut pas être trop exigeant, entre Tabatha Cash (qui tente une reconversion après l’univers du X) et Samy Naceri (qui s’avère être tout bonnement exaspérant). Un mois jour pour jour après l’excellent La Haine (1995) de Mathieu Kassovitz, toute comparaison entre ces deux films s’avère inutile, deux films sur le même sujet, dont le premier est définitivement culte alors que le second s’oublie sans grand regret.
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0,5
Publiée le 29 août 2009
Quelques semaines après la sortie de "La haine" de Kassovitz voilà un ersatz qui fait pâle figure. Caricatures où la psychologie s'arrête juste là où il faut pour les ados bas de plafond ; Tabatha Cash comme panneau publicitaire prouve le peu d'imagination de la production... A oublier !
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4,0
Publiée le 21 avril 2021
Malgré le fait que les personnages passent leur temps à hurler du début à la fin, le film est sympa à suivre et très poignant. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
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4,0
Publiée le 3 juillet 2008
film qui résume la vie des jeunes banlieusards dans les quartiers avec une musique kiffante et des acteurs qui tiennent la route....respect à Samy Naceri qui défonce tout à l'intérieur...
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4,0
Publiée le 21 août 2009
ce film n'a que 15 ans, mais il représente si parfaitement un monde qui a disparu depuis ! Des filles arabes non voilées, ou des femmes dont le voile ne couvre même pas les cheveux, comme les mamans, sorties du bled, de mes copains de classe arabes, il y a 30 ans...
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3,0
Publiée le 31 octobre 2017
A priori, Raï ne dispose pas des atouts séducteurs de ses prédécesseurs: ni la facture léchée et les ambitions esthétiques de Kassovitz ni l'âpreté et l'aspect démo de contrebande du film de Richet et Dell'Isola. Banlieue ou pas banlieue, Raï s'inscrit dans la logique des films de Thomas Gilou, cinéaste dépourvu de prétentions, si ce n'est celle de communiquer avec son public par les émotions les plus simples et les moins faisandées. Il faut donc regarder Raï à l'aune de Black micmac: un même regard chaleureux sur les rites, les travers et les particularismes d'une de ces communautés qui forment le tissu de la France contemporaine, une vision à hauteur d'homme, une veine comique qui essaye d'éviter aussi bien le cynisme supérieur que la complaisance grasse.
faiut prendre ce film à plusieurs degrés au dessus, tous els films qui parlent de communauté raciale tombent forcement dans les clichés c'est juste pour passer le temps ce film à 2 dinnars
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3,0
Publiée le 18 mars 2012
samy naceri est géniale et ma fait rire et pété un plomb nan mais il déchire avec poisson, les autres acteurs sont pas des plus transcendant mais sa passe encore. agréable a regardé quelque bon passage.