Derniers Avis sur La Rafle

Très déçue ... C'est vrai que réaliser un film sur un événement aussi complexe et aussi tragique est difficile. Mais il y a tant d'erreurs !! Si vous voulez vous renseignez sur le sujet, écoutez plutôt les podcasts de Radio France, lisez des livres, des témoignages etc. Je suis tellement déçue par ce film c'est terrible ...

C'est un film que j'avais vu à sa sortie, à l'époque, je l'avais trouvé irréprochable, impeccable, parfait... J'adorais ce film. 14 ans plus tard, il reste bien, c'est un bon film, mais y'a des tonnes de défauts que je n'avais pas remarqué avant, comme les énormes clichés qui tuent le film. Les personnages qui cherchent à nous tirer la larme, chaque phrase, chaque action, chaque réplique, c'est fait pour nous attendrir et c'est franchement énervant à la longue, même les scènes en famille banale, c'est calculer pour te tirer la larme, c'est vraiment aberrant. Surtout qu'ici, nous n'avons pas besoin de ça, l'histoire en elle-même est bien assez horrible et triste pour rajouter une couche épaisse de "gnagna"

En fait, on dirait "un film pour enfants" où il faut absolument exagérer les traits des gentils et des méchants pour que les enfants comprennent bien. Hitler est à 2 doigts de lâcher un rire diabolique avec des cornes sur la tête.

Très belle reconstitution , très émouvante , les décors et les costumes réussissent à nous plonger dans une partie de ce qu'a pu être la Rafle.

Cela aurait pu être un chef d'oeuvre selon moi , malheureusement , le film est beaucoup trop édulcoré par rapport à la réalité.

4/5

Dur, très dur. Surtout pour un républicain tel que moi. C'est un peu l'antithèse de "La liste de Schindler" ou comment la France a craquer. C'est un film très bien fait qui, certes, n'évite aucun clichés mais ne tombe jamais dans le pathos.
Le courage des uns n'effaçant pas la cruauté ou l'absence ...

Ce film est une réussite. Il raconte l'une des périodes sombres de l'histoire français à savoir la rafle du Vel d'Hiv du 16 et 17 juillet 1942.

Je ne vais pas m'attarder sur l'histoire, la suite tout le monde la connaît... En ce qui concerne le film, je l'ai trouvé très réaliste.

La vie en société à cette époque est bien exposée, on découvre des décors réalistes (notamment pendant l'introduction, et le Vél d'Hiv identique aux photos en ligne car il n'existe plus, et le camp), ça fait très authentique. Les acteurs sont bons pour la plupart mais surtout Mélanie Laurent qui tire son épingle du jeu, j'ai adoré son personnage. Les images sont bouleversantes, et la bande son magnifique.

La Rafle est film poignant, difficile de retenir ses larmes, à voir et à revoir pour ne jamais oublier ce que des milliers de personnes ont vécu et ce qu'on ne veut plus jamais voir se reproduire.

J'ai toujours apprécié les films historique ou basé sur des faits réels, ca amène de le culture et une forme de documentation importante en peu de temps. La rafle nous fait cela, une épouvantable histoire en 1942 malheureusement sur des faits réels. Ca fait froid dans le dos. J'ai mis la note de 8/10.

L'échelle émotionnelle sur ce film est folle!
Peur, désespoir, puis joie et espoir, et encore et encore.
Je ne sais pas si ce film est crédible par rapport à la réalité, mais il fait le taff, Mélanie Laurent est au top ainsi que Jean Reno, beaucoup d'émotions, c'est un film à voir !

Le film qui a permis a gad elmaleh de faire voyager plus d'enfant que ses spectacle , a defaut de mettre des etoiles dans les yeux la manche du blouson en a fait les frais, la denonciation et la nourriture kasher sont aussi proche que jennifer lopez et ben affleck.
Je fus moins combative que simone veil pour aller a cette seance.

D'un point de vue formel, il y a à mon sens quelques maladresses à vouloir appuyer sur certains éléments du scénario pour restituer le contexte d'ensemble (inclusion des personnages historiques au cœur du pouvoir), quand un récit cantonné au plus près des victimes de cet épisode effroyable et honteux de notre histoire nationale aurait suffi, et aurait même selon moi gagné en force. Il n'empêche que, dans sa démarche, Rose Bosch souligne avec conviction les lâchetés comme les courages de simples citoyens emportés par cette folie industrialisée. Additionnant les petits et grands faits, avec une galerie d'interprètes dans le juste équilibre entre sobriété et émotion, le film dépeint, parfois avec un peu trop de simplicité, le cynisme autant que l'incompréhension ou l'abnégation face à l'événement dramatique qui se noue. Sujet fort abordé avec cœur, à la démonstration par moments un peu trop chargée mais essentielle.

J ai rarement pleurer dans ma vie mais ce film ma fait pleurer j ai un peu honte des francais apres avoir vue ce film

Les choses se sont passées comme ça. Petit à petit. Une chose après l'autre. Avec la complicité des autorités françaises, de la police, des collabos. L'exécution des ordres, l'absence totale de réflexion des citoyens sur l'absurdité de la situation. La Rafle fait dans le réel, en montrant ces petites détails qui font la grande Histoire. Y compris du côté de l'occupant. On y voit par exemple Adolf Hitler recevoir une injection (sans doute de cocaïne) juste après une allocution à la radio. On voit aussi avec quel empressement les autorités nationales se sont appliquées à aller chercher les Juifs chez eux, en pleine nuit de cet été 1942. Face à leurs interrogations, un policier n'hésite pas à dire : "Je vous donne ma parole d'officier que vous ne quittez pas la France." On sait bien qu'il en sera tout autrement. Hitler pendant ce temps-là, dans une soirée mondaine, refuse de boire de l'alcool et de manger de la viande. Vegan avant l'heure. Au milieu de ce qui doit rester un souvenir dans nos mémoires, une réplique en forme d'ultime espoir : "Ils peuvent te priver de conservatoire, mais ils ne peuvent pas te priver de ton talent." Aucun des enfants du Vel'd'hiv qui sont montés dans les trains, n'est jamais revenu. Un film à voir pour ne pas oublier.

Excellent film, qui laisse derrière lui une longue réflexion. Film historique avec une belle réalisation.

C’est simple cette réalisation rappelle celle d’un épisode d’Hélène et les garçons. Il plane dessus une naïveté sur la réalité de la condition humaine qui révèle l’amateurisme et l’immaturité de la réalisatrice. Les scènes qui s’enchaînent sont théâtrales et caricaturales, elles sont mal jouées , à peine crédibles et préfabriquées pour faire pleurer sous les chaumières mais provoquent plutôt l’hilarité parfois; les bâtiments rafflés sont les pages du catalogues de la comédie française, remplis de mauvais acteurs "has been" comme d’habitude; à côté de Chouchou Gandhi est le diable en personne et Geoffroy le Hardi fait passer docteur Queen pour Petiot. Et décidément avant l’occupation allemande, la France beigne dans une romance à la Marcel Pagnol, on y est très proprement fringué pour la gloire de mon père et on s’interroge sur le sexe des anges. Il ne fallait pas plus que cette grotesque mascarade manichéenne pour déshumaniser les juifs du véld’hiv et transformer en mythe ce fait historique.
C’est made in France, c’est pas beau, c’est pas bien, mais c’est Bosch quand même...

Rafle quel film a voir ne serait-ce que pour le fait historique quel époque les acteurs
les hommes sont les ennemis de l'homme

Il relate la rafle du Vél' d'Hiv' des 16 et 17 juillet 1942 lors de laquelle la police française a arrêté à leur domicile treize mille personnes fichées comme juives dont quatre mille enfants, parmi lesquels Anna Traube et Joseph Weismann, deux des rares survivants à la déportation à Auschwitz qui s'est ensuivie.
Pendant l'été 1942 la France est sous l'occupation allemande, les Juifs sont obligés de porter l'étoile jaune ; Dans le quartier de la Butte Montmartre, deux familles juives vivent comme les autres habitants de ce quartier, à l'exception près qu'étant juifs, ils appréhendent l'arrivée de la Gestapo. À Paris, les avis sont partagés, certains veulent protéger les Juifs en les cachant alors que d'autres comme la boulangère préfèrent les insulter, les injurier, et les rabaisser.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet, leur destin bascule à la suite d'un accord entre les nazis et les autorités françaises sur l'arrestation et la déportation des nombreux Juifs, accord qui débouche sur la rafle du Vélodrome d'Hiver. Le quartier de la Butte Montmartre n'y échappera pas, en effet la famille de Joseph Weismann, un enfant juif d'une douzaine d'années, et leurs voisins sont arrêtés après avoir tenté par plusieurs moyens d'y échapper. Le père de Joseph aurait pu échapper à cette arrestation si Joseph ne l'avait pas malencontreusement dénoncé alors que sa mère s'était prétendue veuve auprès de miliciens.
Le tournage commence le 15 mai 2009 au pied de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre,
en passant par le jardin du bois de Boulogne où discutent Philippe Pétain et Pierre Laval à propos des enfants juifs que les Allemands ne veulent pas
Les acteurs et l'équipe partent au début juin en Hongrie à Budapest où a été reconstitué à un quart le vélodrome, puis numérisé pour donner l'illusion d'en avoir un entier, dans lequel furent détenus des milliers de raflés des 16 et 17 juillet 194219. Il se termine le 13 août 2009.
les lieux de tournage du film a paris sont :Montmartre, 18e arrondissement, au pied du Sacré-Cœur, place Saint-Pierre
Avenue Junot, 18e arrondissement. 40 rue Durantin, 18e arrondissement. Rue de l'Abreuvoir Place Dalida, 18e arrondissement 18e arrondissement,
Rue Girardon, 18e arrondissement, Square Suzanne-Buisson, 18e arrondissement
Place Constantin-Pecqueur, 18e arrondissemen Pont de Bir-Hakeim, 16e arrondissement Jardin du Luxembourg, 6e arrondissement, Centre hippique du Touring de France, dans le jardin du Bois de Boulogne, 16e arrondissement.
un film pour l histoire pour ne jamais oublié