Avis sur Le Pacte

Le pacte est un thriller rythmé et efficace. On retrouve un bon Nicolas Cage dans ce film !

un bon film, une bonne intrigue
un acteur juste
un bon moment de cinéma

Sans prètention aucune, un thriller standard très amèricain qui raconte le parcours d'un enseignant entraînè dans des combines louches par une bande de malfrats après le viol sauvage de sa femme! Comme l'indique le titre du film en version originale ("Seeking Justice"), on ne s'ètonnera pas que Nicolas Cage va se faire justice lui-même! Un peu à la manière d'un Charles Bronson! Peut-être que tout-ceci sonne un peu trop « morale plutôt douteuse » mais il y a une prestation impeccable de Nicolas Cage qui encaisse durant deux tiers de film avant de mener la danse! Alors ça compense! En plus c'est produit par Tobey Maguire! Là c'est surprenant! Même si la jolie January Jones ne convainc jamais en femme violèe qui se remet bien vite d'une telle agression, ce thriller de Roger Donaldson ne mènage pas ses coups lorsqu'il s'agit d'être percutant comme cette course poursuite avec le passage sur la rocade! A part ça, Guy Pearce est un mèchant parfait et le final s’achève sur une ombre de mystère! A voir sans prise de tête...

Le Pacte : Très grosse surprise ce film. Vraiment, j’ai était agréablement surprit par ce film qui il faut le dire ma fortement plus. Ah, ouais !!! Franchement, j’ai adoré ce film car il est loin de ces gros blockbusters d’aujourd’hui. C’est un thriller très soigné et bien travaillé. Déjà, j'ai adoré l'idée de départ : viole de la femme de Nicolas Cage, une organisation propose a Nicolas Cage un pacte : il tue le violeur contre 2, 3 petit service. Mais ce que j’ai adoré, c’est que Nicolas Cage symboliquement a fait un pacte avec le diable car c’est organisation qui soit disant rend la justice sont des vrais tueurs et bourreau. Vraiment très bonne idée, très accrocheur, le scenario est bien écrit, captivant comme il le faut et surtout se que j'ai adoré, c'est que l'histoire soit crédible et authentique. Car les personnages sont crédible, humain, des personnes comme tous le monde. Et d’ailleurs dans ce film, il y a un très bon travaille fait sur les personnages (leur émotion, leur réaction, leur colère ainsi que la paranoïa du personnage de Nicolas Cage …). Surtout le personnage de Nicolas Cage et Guy Pearce qui sont vraiment bien travaillé et très intéressants. J'ai était aussi assez impressionné : c’est la réalisation, c'est assez rare de nos jours car ce film est vraiment très bien filmé. On a le droit de très jolie plan de camera posé et efficace et de bon effet de zoom, les plans de camera sont pas rapide comme beaucoup de film en se moment, ils sont calmé, posé, simple et redoutablement efficace, et la mise en scène est très soigné : bravo pour la réalisation. Les acteurs sont tous très convaincant et très juste. Surtout, Nicolas Cage qui est juste énorme car il est très crédible, très humain dans son rôle, vraiment belle performance de ça part : bravo. Il y a aussi Guy Pearce qui est absolument énorme dans son rôle de manipulateur, très culoté et très malin Vraiment, il tient son rôle a la perfection : bravo. Voila, ce film est une pure réussit, rythmé grâce a une intrigue captivant et intéressent a suivre et surtout bien ficelé. Mais aussi a deux, trois scènes d’action vraiment bien fichu qui dynamise le film. Voila un film qui ma conquis et vraiment : c’est un énorme coup de cœur ce film et même un chef-d’œuvre du genre.

Roger Donaldson n'est certes pas réputé comme un auteur du cinéma indépendant américain mais un rapide coup d'œil sur sa filmographie relativement limitée en quantité, une vingtaine de films en 35 ans de carrière, montre une propension de ce faiseur à tenter d'imprimer un peu de caractère à certains de ses meilleurs films comme, "Sens unique", "Cadillac man", "Treize jours" ou "Burt Munro". A travers cette courte liste on peut constater l'éclectisme de Donaldson qui aime se frotter à tous les genres. Ici en compagnie de Nicolas Cage l'acteur à tout faire des studios, il tente astucieusement de renouveler le film de vengeance qui avait emprunté une très mauvaise pente dans les années 80 avec la saga des "Justicier dans la ville" du tandem Michael Winner, Charles Bronson qui faisait en parallèle à un reaganisme triomphant l'apologie de l'auto-défense. Mais "Le pacte" pose plus de questions qu'il n'assène de théories toute faites un peu à la manière du très réussi "La nuit des juges" de Peter Hyams. Sous couvert d’un film de série B standard, Roger Donaldson démontre que l’auto-défense même organisée conduit immanquablement à des dérives totalitaires. Guy Pearce le crâne rasé et diabolique à souhait incarne parfaitement la perversion de ce type d’organisations occultes par l’abus de pouvoir. On peut donc se divertir en visionnant « Le pacte » sans se voir imposer des théories plus ou moins fumeuses sur les bienfaits supposés de la loi du talion. Merci monsieur Donaldson.

Ce film est tout de même moins nul que ne le laisse supposer la critique. Certes Nicolas Cage n'est pas au mieux de sa forme, la mise en scène manque de subtilité et d'humour, mais ça se laisse tout de même voir. Les insupportables poursuites en bagnoles, qui semblent faire partie du cahier des charges de tout blockbuster, ne sont pas trop longues et le scénario ménage tout de même quelques rebondissements. Réalisée par un meilleur metteur en scène, cette histoire peu crédible aurait pu néanmoins faire un bon film. Sur le plan idéologique, ce film ne fait pas l'apologie de la "self justice" et tend plutôt à la dénoncer, ce qui le distingue de la vague des films ultra sécuritaires.

Je vais finir par croire qu'il porte la poisse... Alors que l'on avait quitté Roger Donaldson sur l'excellent « Braquage à l'anglaise », voilà que ce dernier revient avec Nicolas Cage... et que le film n'est pas bon. C'est surtout tellement banal... Car si cela ne démarre pas trop mal, on sent rapidement que l'on va avoir droit à un thriller poussif, bourré de facilités et de rebondissements déjà vues, le tout peu soutenu par un rythme défaillant. Ba ouais, mais c'est qu'il devient vieux Nicolas : il suffit de le voir courir au petit trot alors que deux mecs sont juste derrière lui afin de le buter pour s'en convaincre. Alors effectivement c'est sympa de retrouver les jolies actrices de « Mad Men » et « Dexter » January Jones et Jennifer Carpenter dans des seconds rôles, mais cela est bien maigre, surtout qu'on ne sort jamais vraiment de cette impression de téléfilm luxueux sans grand intérêt, comme en témoigne un méchant que l'on aurait aimé nettement plus charismatique, même s'il est pourtant l'un des éléments les moins négatifs. Au fond je me dis pourtant que je suis un peu sévère, car après tout il y a des films autrement pires que celui-ci, mais le résultat apparaît tellement anecdotique qu'on a bien du mal à dégager ne serait-ce qu'une réelle qualité. A moins donc d'être un fan invétéré de ce bon vieux Nicolas, un « Pacte » que l'on évitera de signer sans regrets...

Le Pacte fait partie des récents films mal-aimés par Nicolas Cage lui-même avec Le Dernier des templiers, Effraction, Hell Driver ou Bangkok Dangerous. Je ne le suivrai peut-être pas jusque-là pour Le Pacte. Au moins, pour sa première partie. Un homme aux abois, une société secrète lui proposant de l'aide pour venger sa femme, une lente descente aux enfers. Vu la lenteur de la justice, ses décisions parfois estimées comme étant trop laxistes, c'est très possible qu'un jour des citoyens se transforment en bourreaux d'où de potentielles dérives spoiler: (Simon, un des responsables si on peut parler de hiérarchie, devenant vite incontrôlable)
. La paranoïa nous atteint vite car n'importe qui peut faire partie de cette organisation quel que soit son statut professionnel. La deuxième partie où on voit Cage jouer les enquêteurs est plus laborieuse : infiltration, recueil d'indices, interrogatoires. Bof. C'est emballé avec suffisamment de métier par l'expérimenté Roger Donaldson pour que ce ne soit pas un ratage complet. Juste un petit thriller un peu trop sage qui aurait mérité d'aller un peu plus loin.

On ne va pas bouder notre plaisir devant cette Série B d’action certes prévisible et aucunement originale. Le Pacte (2011) ne promettait rien de nouveau dans le genre du vigilante-movie, si ce n’est une histoire de complot orchestrée par une mystérieuse organisation secrète dont les membres (tous ou presque) ressembleraient à s’y éprendre à des skinheads. L’histoire en elle-même n’a absolument rien d’originale à nous offrir, on préfèrera alors se rabattre sur les motivations de l’organisation secrète, mais malgré les incohérences/invraisemblances de certaines scènes, il faut bien avouer que Roger Donaldson parvient à nous divertir le temps du film. Nicolas Cage nous évite son habituelle loufoquerie capillaire et s’avère relativement correct dans son rôle de professeur d’anglais qui du jour au lendemain doit faire face au viol de sa femme. January Jones de son côté ne sert pas à grand chose, ce qui est fort regrettable il faut bien l’avouer. Par contre, on sera agréablement surpris de retrouver Guy Pearce dans le rôle du bad guy, on ne l’aurait pas imaginé ainsi et le rôle lui va parfaitement. Au final on est devant un pur divertissement, on ne s’attendait pas à autre chose alors il n’y a vraiment pas de quoi faire le difficile.

Même si la tournure que prend la carrière de Cage peut prêter à sourire, faut se les taper ses films, parce que bon, le dernier templier c'était déjà pas super intelligent, et là c'est encore pire (bon Hell Driver ça passait). On part d'un concept très à la mode : la loi du talion, se faire vengeance soit même, thématique atemporelle, mais qui semble ici déjà bien éculée, tant le film n'apporte rien à la question et se résume à un thriller bancal, avec plein de scènes complètement téléphonées sans vraiment qu'elles possède le moindre sens. C'est débile. Cage fait du Cage… Guy Pearce est assez charismatique, mais bon ça ne va pas sauver le film, tant c'est vide. Les rares scènes d'actions sont brouillonnes, tout sauf intéressantes.
Mais le pire reste le scénario, qui ne se refuse aucun cliché, et sert une histoire inintéressante au possible. Parce que bon l'heure quarante cinq du film il faut se la taper. C'est insupportable, et le pire c'est que c'est niais, le pauvre Cage qui est gentil, qui ne veut de mal à personne, pff, c'est pathétique. Mais surtout ridicule, lorsqu'on le voit s'arrêter près d'une voiture de police qui le suivait pour voir si les policiers ayant eu un accident sont encore envie, c'est juste risible. Tout ça pour que le personnage identifie bien Cage comme le héros bien manichéen.
Et tout le film est comme ça, Cage est gentil, il fait parfois des choses mauvaises, mais attention, il ne l'a pas fait exprès. Bordel, c'est moi ou ce film manque complètement de couilles ? C'est juste ridicule.
Et ce n'est même pas drôle, c'est rien du tout, juste de la merde. Rien à sauver.

J'ai bien aimé ce film, que j'ai trouvé en fin de compte très aux prises avec les enjeux actuels de nos sociétés. L'action se déroule à la Nouvelle-Orléans, qui fait partie des villes américains sinistrées, et qui cumules les poches de pauvreté et d'exclusion. Toutefois, ici on est du point de vue d'un professeur qui habite dans un appartement relativement cossu, va à des fêtes ou à des expositions etc...bref qui fait partie de cette bourgeoisie bohème participant à la gentrification de nombreuses villes. Le film présente le choc entre ces deux mondes qui se côtoient: celui, festif et heureux du "quartier français" de la Nouvelle Orléans, gentrifiée et vitrine touristique; et d'un autre coté les collèges avec des élèves qui répondent au profs si ce n'est pire, les agressions, les mails décrépis voire abandonnés...Au carrefour entre ces deux mondes, il y a cette société secrète de redresseurs de torts, on pourrait même parler de milice secrète, qui est de plus en plus impressionnante de par son ampleur au fur et à mesure que l'on progresse dans le film...en fait elle touche tellement de monde que c'est comme si cette organisation était vue un peu comme la seule capable de redresser, de relever la société. le film insiste toutefois surtout sur les dérives probables que générerait un tel type d'organisation; avec justement Nicolas Cage qui se dresse, bien esseulé contre cette organisation tentaculaire...

Je m'attendais nettement à pire, c'est finalement un bon scénario avec quelques rebondissement

C'est censé être un thriller, où est le suspense ? Tout est prévisible de A à Z, aucune surprise. Tout ce que l'on prévoit arrive, limite je pouvais prédire les répliques avant qu'elles ne soient prononcées. Si c'est un plaidoyer contre l'auto-justice, c'est fichu car vraiment trop ridicule comme histoire. Il y a une scène au début pompée sur Death Sentence avec Kevin Bacon, un film bien meilleur sur le même sujet. Cage n'est plus qu'un acteur commercial, dommage. Quant à Guy Pearce, c'est à peine si on le reconnaît, et son rôle est grotesque.

Une fois de plus Nicolas Cage s'est fourré dans un sacré pétrin. On ne s'ennuie pas, mais un scénario banal, a moins qu'on ne croit pas aux complots.

Un scénario tiré par les cheveux , malgré la présence du toujours excellent Nicolas Cage , tout cela
fonctionne à l'ordinaire .