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    Dallas Buyers Club
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    928 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    7 432 abonnés 8 825 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2014
    Dallas Buyers Club raconte l'histoire vraie de Ron Woodroof qui apprend un peu par hasard qu'il est atteint du Sida surnommé à l'époque la maladie des gays et des drogués ce qui est dur à accepter pour lui car il est homophobe et va ressentir tout ce qu'il a pu faire subir, les moqueries et le rejet. Ce qui était au départ un business pour faire du fric va devenir petit à petit un vrai combat de la part de Woodroof et va beaucoup apporté aux malades. C'est un film touchant sans tombé dans le pathos c'est bien fait c'est vrai que j'en attends toujours beaucoup des films autant plébiscités mais c'est un très bon film on apprend des choses et surtout ça repose sur l'extraordinaire performance de Matthew McConaughey autant pour sa performance d'acteur que pour sa transformation physique.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 028 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2014
    Dès le dèbut, on sait qu'on est en prèsence d'un grand film! Et si un long-mètrage mèritait ce titre, c'est bien celui-là! Pourtant l'exercice ètait pèrilleux! Les films inspirès de faits rèels sont semès de piège! Difficile en effet de ne pas tomber dans le bon sentiment liquoreux ou la morale à sens unique! Or jamais "Dallas Buyers Club" ne tombe dans aucune de ces chausse-trapes! Une donnèe explique peut-être cette funambulesque rèussite! C'est trop rare pour ne pas être signalè mais il y a ici deux acteurs èblouissants qui jouent avec les tripes, deux performances exceptionnelles et tellement hors normes en même temps qu'on en reste bouche bèe d'admiration! Dans une ambiance à vif, aux images sophistiquèes, Jean-Marc Vallèe fait dans le drame fortifiant et dèchirant, à l'ètat brut! Pour le rèalisateur canadien, pas d'autre issue que de faire confiance à ses comèdiens! A commencer par Matthew McConaughey qui prend son personnage de cow-boy dèjantè atteint du sida à bras le corps! Un vrai cowboy dans le genre, vèritable bad boy typique du Texas vivant à fond la caisse : Sex, drugs & rodeo...sans oublier l'alcool à foison! Ne laissez pas trainer votre portefeuille, il le volera! Cet homme à femmes, ce mec fendard, est en quelque sorte un antihèros! C'est le mec dont on tombe amoureux alors qu'on pense que ça n'arrivera pas! Rarement l'Oscar du meilleur acteur n'aura ètè aussi fort au niveau de la prouesse physique! En transsexuel adorable, Jared Leto, mèconnaissable et oscarisè, nous bouleverse ègalement, guidè par son dèsir de briser son image une fois de plus ("Chapter 27"). Mais sans que jamais rien ne soit gratuit et surtout sans jamais tomber dans la caricature (Rayon, il / elle est restè(e) humain(e) et rèaliste, facile à ècouter). Leto dressant le portrait d'une vraie personne, pas d'un clichè ou d'un stèrèotype, d'un homme qui a choisi de vivre en tant que femme! Quant à Jennifer Garner, elle mèritait aussi un Oscar pour son rôle de mèdecin qui a dèdiè toute sa vie à sa carrière et qui, à prèsent, dèdie sa vie à la recherche d'un mèdicament contre le problème du VIH (elle participera aux essais qui ont lieu à l'èpoque). Mais la beautè plastique de ce film n'est pas l'arbre en bonne santè qui cacherait une forêt malade! A cet ègard, une scène de "Dallas Buyers Club" est suffisamment èloquente : les papillons de nuit qui viennent se poser sur McConaughey! La paix rèdemptrice ne semble plus très loin pour Ron Woodroof, ce « fou » , cet outsider dont l'allure et le visage ravagès par le virus ne souillent en rien sa rèputation! Une histoire de courage exemplaire, celle d'un cowboy activiste très reprèsentatif des gens qui ont entendu parler de cette horrible maladie qu'est le sida sans pour autant en savoir assez...
    The Rotisseur
    The Rotisseur

    40 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2014
    Attention mesdames et messieurs, chef-d’œuvre en vue ! Dallas Buyers Club me faisait saliver au vu de la bande-annonce. Et que dire ? Que de bonnes choses. La moralité est excellente et tout ceci est apporté par l'excellente interprétation des acteurs choisis dans ce film. La réalisation et la mise en scène sont fluides et apportent une énorme bouffé d'air frais malgré le fait que le sujet traité dans ce long-métrage soit extrêmement sensible. Dallas Buyers Club est à voir par absolument tout le monde !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juin 2014
    Un bon film. La métamorphose physique et le jeu d'acteur de Matthew McConaughey sont à saluer, ainsi que la surprenante prestation de Jared Leto. Mais même si le film est intéressant, il doit principalement son succès aux interprétations incroyables des 2 acteurs. Un peu long parfois, mais à voir !
    cyril.lebars
    cyril.lebars

    5 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2014
    Un film socialement intéressant et plutôt réussi.
    Malgré la dureté du contexte, on ne tombe jamais dans des déferlements de sensiblerie ni dans des clichés anti ou pro homosexuels.
    A travers les yeux de ce cowboy mi arnaqueur mi don juan, on délaisse d'emblée nos éventuels partis pris, avec une pointe d'humour bien agréable et on découvre avec un regard neuf ce dramatique phénomène de société, l'apparition du sida dans les années 80.
    Ca vaut le détour.
    yohanaltec
    yohanaltec

    89 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2014
    Dallas Buyers Club est un chef d'oeuvre, porté par deux comédiens dans des immenses prestations (Matthew McConaughey et Jared Leto ont eu l'oscar). Un film très américain réalisé par un français. La classe.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    26 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2014
    En s'attaquant à plusieurs sujets (la séropositivité dans les années 80, l'arrivée de l'AZT, la main-mise des laboratoires pharmaceutiques ou des organismes de certification), Jean-Marc Vallé met au centre de son étonnant film un texan cow-boy antipathique, vulgaire, racoleur, à l'hygiène de vie douteuse et malade, doté d'une étonnante rage de vie malgré les ravages des symptômes de son sida. De l'abattement suite à l'annonce jusqu'à sa transformation en médecin Robin des Bois à la fois roublard, ambitieux et vecteur d'un message sensé et réaliste, "Dallas Buyers Club" est une histoire vraie, passionnante, implacable qui a le mérite d'être constamment juste, sans mélo ni sentimentalisme. Filmé à l'épaule, décors et costumes: tout est très réaliste et signé avec soin. Que dire des prestations magistrales de McConaughey et Jared Leto, bouffeurs de pellicule, dont le jeu d'acteur et la transformation physique sont remarquables: le sujet du film n'en avait pas besoin, le dessert parfois tant on les observe, mais restent bluffantes. Le film se termine juste à temps alors qu'il commençait à tourner un peu en redondance. Mais quand le clap est final, il laisse une impression addictive d'avoir passé un excellent moment de cinéma.
    aymericl
    aymericl

    14 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2014
    Ce Dallas Buyers Club est un chef d'oeuvre de vérité et d'émotion. Les deux acteurs principaux jouent magnifiquement bien, la mise en scène est splendide. Les récompenses reçues pour ce film sont parfaitement méritées. On ne peut sortir que bouleverses d'une projection telle que celle la.. A voir absolument!
    g0urAngA
    g0urAngA

    65 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2014
    Inspiré de faits réel, le film raconte l'histoire de Ron Woodroof, un cow-boy raciste, homophobe, accro au sexe et à la drogue, à qui l'on diagnostique le SIDA et annonce 30 jours d'existence.

    C'est Matthew McConaughey avec vingt-cinq kilos de moins, affaibli, presque effrayant, l'exact opposé des playboys qui l'ont fait connaître qui s'occupe de camper le personnage. L'acteur y est incroyable ; toujours juste et touchant. Idem pour Jared Leto, qui n'a plus à prouver son immense talent d'acteur. Leur amitié et collaboration improbable sera finalement presque le coeur du film, une approche originale et forte, même si ici la partie judiciaire passe complètement à la trappe.

    Rien de tel en effet pour explorer un sujet aussi délicat que les ravages du SIDA que de se concentrer sur une personne ayant le virus et de vivre son combat à travers lui...
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    98 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2014
    Ni Matthew McConaughey ni Jared Leto n’auront volés leurs Oscars respectifs, soit meilleur acteur et meilleur acteur dans un second rôle. Le dernier film du cinéaste Jean-Marc Vallée, pas foncièrement captivant, dans la forme, offre tout de même des interprétations parmi les plus belles depuis bien des années, confirmation, si besoin, de l’immense talent de son acteur principal. A lui seul, le comédien porte le film sur ses frêles épaules, pour l’occasion, faisant suite à une perte de poids dantesque. Mais la prestation n’est pas uniquement physique. Matthew McConaughey est littéralement passionnant à observer, à écouter. Fidèle baroudeur texan, employé de station pétrolière dans les années 80, voilà que notre cowboy délavé apprend qu’il est atteint du VIH, le sida, une maladie considérée alors comme fruit d’un vice, celui de l’homosexualité, celui de la débauche. Incapable d’accepter ce fait et vite rejeter par sa communauté, Ron Woodroof, soulignons que les faits sont véridiques, survivra bien d’avantage longtemps que prévu en contournant les prescriptions en termes de soins.

    Jean-Marc Vallée dresse le portrait d’une époque ou le sida explose dans le monde entier. La maladie est cruelle, meurtrière, les médecins sont incapables d’y faire quoique ce soit si ce n’est tenter de réserver une fin digne aux malades. Mais par-dessus tout, le lobbysme américain du médicament, organisation tentaculaire insinuée dans les institutions gouvernementales, ne voit pas d’un très bon œil les malades qui ne se contentent pas, ou même qui refusent, le traitement prévu. Ayant trouvé plus efficace les frontières américaines passées, Ron Woodroof en tête, un petit groupe de mourant se lance dans la contrebande de protéines et autres médicaments. Voici en somme l’histoire de capitalisme face à la maladie, d’un système qui pense argent face à des mourants que l’on considère de toute part comme des désaxés sexuels. Le thème n’est certes pas très enjôleur, voir tristounet, mais jamais le film de Jean-Marc Vallée ne bascule vers le larmoyant, le mélodrame gratuit.

    Le combat mené par des malades en pleine rébellion contre l’industrie pharmaceutique américaine est d’autant plus captivant qu’à la tête de cette vendetta se trouve Ron Woodfoof, illustre hétérosexuel adepte de toutes les substances possibles et imaginables. Si le combat d’éthique pour la livraison de médicaments constitue ici le nerf de la guerre, n’oublions pas de saluer cette vision qu’offre le cinéaste sur l’approche, disons publique, de cette terrible maladie. Avoir le sida, au Texas dans les années 80, semblait vouloir dire homosexuel ou drogué. Ron Woodroof, avant de devenir le distributeur numéro un de médicaments illégaux à Dallas, va énormément souffrir de cette discrimination. Au fil de son évolution, au fil de ses rencontres, cet être dur et renfrogné aura après la tolérance, notamment aux travers de son amitié avec un travesti toxicomane, l’excellent et méconnaissable Jared Leto.

    En somme, s’il est un film engagé, Dallas Buyers Club ne s’apparente jamais à une simple biographique académique. Toujours neutre lorsqu’il traite son sujet, l’excellent ton adopté par le cinéaste permet au talent des acteurs d’exploser, sans jamais laisser la moindre place à la gratuité des émotions. Les personnages sont si développés psychologiquement que rien n’est offert sur un plateau. C’est sans doute un peu le handicap du film, trop distant d’une certaine facilité à laquelle Hollywood nous aura habitués. Parfois un peu lancinant, le film de Jean-Marc Vallée est une véritable réussite, une très belle réalisation, sans doute parmi les meilleurs de l’année écoulée. 16/20
    Raphaël O
    Raphaël O

    121 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2014
    Basé sur une histoire vraie, ce biopic est superbement écrit, excellemment mis en scène et interprété par un casting de choix, dont Matthew McConaughey, exceptionnel.
    Un chef-d'œuvre de tolérance et de vérité.
    Petiot L
    Petiot L

    28 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2014
    L'ultra - réalisme par des acteurs d'une maigreur incroyable . Une partie de l'histoire du sida , pour la mémoire . Avec des supers comédiens et même un peu d'humour .Tres touchant .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Un très bon film et des acteurs bluffants ! Mention spéciale pour Jarred Letto...
    Ludovic B.
    Ludovic B.

    23 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Excellent film, touchant, rythmé, fort... Magnifique. Foncez !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 juin 2014
    Pour comprendre l'importance de "Dallas buyers club", il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Au milieu des années 80, le virus du sida fait des ravages dans le monde entier et l'ensemble du corps médical est dans l'impuissance la plus totale face à l'ampleur de l'épidémie. Les malades qui se savent condamnés ont parfois recours à des traitements expérimentaux ou alternatifs, avec plus ou moins de réussite. C'est de cela dont il est question dans "Dallas buyers club".
    A vrai dire, rare sont les films qui traitent d'un tel sujet et on peut comprendre à quel point il est difficile pour le réalisateur de ne pas tomber dans le cliché ou le mélodrame. Malheureusement, ce film ne fait pas exception à la règle.
    Pourtant, la première demie-heure du film est parfaite, très intense et rythmée, mais ensuite le film s'enfonce dans une espèce de réflexion philosophique sur le rôle de l'industrie pharmaceutique qui selon moi est totalement à côté du vrai sujet. Du coup, il est difficile de s'impliquer puisqu'on est tenu par la main par le réalisateur et l'émotion n'est plus aussi palpable qu'au début. Au final, le film est sauvé par l'originalité du sujet et par la prestation de Matthew McConaughey, qui depuis son rôle dans Mud a totalement changé de ligne directrice et de statut et qui a bien mérité son Oscar.
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