Claire Simon signe ici un documentaire sur la vie d'une dénommée Mimi Chiola. Cette femme, que la réalisatrice connaît de longue date, y décrit ses amours et revient sur les scènes qui composent son roman personnel.
A l'appel du Front de libération nationale (F.L.N.), des milliers d'Algériens venus de Paris et de toute la région parisienne, défilent, le 17 octobre 1961, contre le couvre-feu qui leur est imposé. Cette manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre.
Rassemblant plus de 35 intervenants, philosophes, sociologues, économistes, magistrats, médecins, universitaires et écrivains, Notre Monde propose un espace d’expression pour travailler, comme nous y enjoint Jean-Luc Nancy à « une pensée commune ».
Au volant de sa mini-fourgonnette, Gianfranco Rosi est parti à la découverte de la GRA (Grande Raccordo Anulare), plus connue sous le nom de Grand Contournement de Rome. Derrière le vacarme continu, un monde invisible...
Alors que la seconde Intifada plonge les Israéliens dans la terreur et les Palestiniens dans le dénuement et la frustration, Avi Mograbi, cinéaste israélien, croit pourtant en la force du dialogue.
L’histoire de la Palestine et d’Israël s’articule autour de représentations, d’images et de clichés. Mais parmi tous ces symboles véhiculés et admis, un seul est commun aux deux : l’orange. Raconter l’histoire des Oranges de JaffaTM, c’est raconter l’histoire de cette terre à travers un récit riche et plus bouleversant ...
Enfant, le cinéaste trouve chez ses grands-parents une série incomplète de cartes postales photographiées dans le village de sa famille durant la guerre civile espagnole. 20 ans plus tard, il recherche les 23 cartes qui manquent à la collection.
Exilé républicain à Bobigny, Daniel Serrano, aujourd’hui âgé de 91 ans, se bat depuis son pavillon de banlieue pour réhabiliter la mémoire de son frère Eudaldo, fusillé en 1941 à l’issue de la guerre civile espagnole.
Un documentaire sur un cinéma qui a la particularité d'être situé sur une zone géographique et humaine marquée par la guerre, la Shoah, le chaos post moderne, la libération de la femme.
Martin revient sur les lieux de son enfance. Ces lieux sont maintenant ensevelis par une gigantesque décharge à ciel ouvert. Seule sa cabane est toujours là, un ancien abri pour les ouvriers agricoles de l'époque, maintenant à la lisière de la décharge.
Ce documentaire illustre la complicité qui existe entre religieux et certaines familles, qui préfèrent fermer les yeux sur les agissements des prêtres afin que leurs enfants puissent être éduqués.
En 2002, mon frère Bernard qui vit à Boston s’est remarié. Toute la famille est venue au mariage, la famille de l’enfance : papa, maman, et les trois enfants, on n’a emmené ni les conjoints ni les enfants.
De la tempête à Sotchi, d'Irina et des cinquante autres victimes, il n'y a aucune trace. Un an plus tard, Guillaume s'y rend pour savoir ce qui s'est réellement passé ce mois d'août 2006, mais il disparaît en abandonnant ses dessins et son journal dans la chambre 255 de l'hôtel Primorskaïa.
Pendant trois ans, Waste Land suit l’artiste brésilien Vik Muniz de Brooklyn, où il vit, à Jardim Gramacho en banlieue de Rio de Janeiro. Dans la plus vaste décharge du monde, il retrouve son Brésil natal pour un projet artistique inédit : photographier les « catadores ».
Ce road movie sur les pas de Primo Levi est aussi une peinture de cette nouvelle Europe encore reliée aux restes de l'Union soviétique, ses mouvements neo-nazis, Tchernobyl, les villages d'immigrés...
Paulo de Figueiredo, un mercenaire portugais de 66 ans s’exprime sur son passé et nous livre un récit personnel et officieux sur les conflits auxquels il a assisté dans divers pays et continents, à la marge de deux mondes : celui du pouvoir et celui des révolutions.
Des hommes et des femmes, nés dans l'entre-deux-guerres. Ils n'ont aucun point commun sinon d'être homosexuels et d'avoir choisi de le vivre au grand jour, à une époque où la société les rejetait. Ils ont aimé, lutté, désiré, fait l'amour.