Derniers Avis : Super 8 - Page 10

vu l'affiche, on s'attend a un film pour adultes, mais je suis tombé sur un film pour adolescents. le film commençait bien mais s'est perdu dans des scènes de parlottes répététives. le filme reste agréable à suivre.

On a vu déjà quelques films avec pour héros une bande d'enfants (Ça et E.T. entre autres du côté des plus anciens et Harry Potter pour les plus récents) et on retrouve dans celui-ci ce qui faisait la qualité de ces références : les enfants à problèmes et néanmoins talentueux, incompris du reste du monde, plus ou moins idiots/drôles et des aventures extraordinaires. Voilà à peu près la tambouille de base. A cela, s'ajoutent des dialogues idiots qui rabaissent le niveau à celui de la sitcom et un scénario assez haletant pour soutenir le rythme malgré quelques raccourcis évidents et on se laisse prendre par cette histoire comme par une bonne paire de pantoufles. Le tout est agréable à regarder, niaiseux mais potable.

Je voulais absolument voir "Super 8" au cinéma et je l'ai manqué (comme ça m'arrive souvent). Mais, voici la chose réparée puisque je viens de me le faire hier soir. Et j'ai été très déçu.
J.J. Abrams, pour son troisième long-métrage, délaisse le scénario premier pour s'atteler au second scénario. Je m'explique. Le premier (des extra-terrestres débarquent sur Terre dans la ville typique de la vieille Amérique : une belle ville ouvrière plantée au milieu de nulle part) fait office de réalisation pour le second (des gamins réalisent un film sur des zombies). En ce sens, Abrams oublie son scénario pour se focaliser sur la réalisation. Et là, nous avons affaire à un déluge d'effets spéciaux certes bien réglés, mais qui ont l'art de rendre invraisemblable l'intrigue. De fait, on décroche, et l'on prend juste du plaisir pour savourer ces aventures au second degré, car le réalisateur n'en est pas à sa première expérience cinématographique (en atteste son premier métrage, "Mission impossible", le troisième du nom, calibré pour être un divertissement sympathique). Après, si l'on inverse les rôles, le second scénario rend hommage au cinéma du premier scénario. Et comme "Super 8" est produit par Spielberg lui-même, nous avons droit à ce cinéma hommage auquel Abrams a vraiment du mal à se détacher. On y voit du "Rencontres du 3ème type" (je n'en ai vu que des extraits), "Les dents de la mer" (pour la non-vision du monstre durant le film qui devrait faire augmenter notre angoisse), mais aussi du "Alien" (sur lequel le monstre se base. De plus, il est même risible, tant on sait quand il va montrer sa tête.), et surtout du "Jurassik park" en pagaille (n'en déplaise à l'attaque du bus).
Sur tous ces points scénaristiques, Abrams s'emmêle ses ficelles, et finalement n'arrive pas à se dégager de ce fameux déjà vu. C'est dommage, d'autant qu'il avait l'air concerné et concentré. Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour sauver ce produit spielberguien, même les meilleurs ont du mal à se dépêtrer de ses poupées russes imbriquées une fois dans un sens, et l'autre, dans l'autre (je pense bien sûr à Elle Fanning, la sœur de Dakota, qui a déjà joué aux côtés de Brad Pitt ("Babel") ou pour Coppola ("Twixt")). S'en est d'autant consternant que la fin fait outrageusement penser à "Intelligence artificielle" et "E.T.". Abrams pense Spielberg, et fait du Spielberg, sans y mettre une patte, un engagement à prouver qu'il est un nouveau maître de la science fiction (ses nouveaux "Star Trek" parlent pour lui), et finalement, il nous pond "Super 8", le film événement de l'été 2011, et il oublie d'augurer le genre science-fiction. C'est vraiment dommage, d'autant qu'il avait moyen de mitonner une de ces super mayonnaises, et l'on ressort, avec d'un côté l'huile, et de l'autre, le vinaigre. La sauce n'a pas pris ! Quel comble !! C'est comme ça, et on ne va pas se plaindre, on a pris un malin plaisir à suivre ces aventures abramsiennes (et fugaces dédommagement pour ces effets visuels bien maîtrisés). Merci Monsieur le réalisateur.
Spectateurs, du déjà vu, on peut zapper.

Un très bon film, mais parfois assez étrange, les enfants jouent très bien et l'esprit alien est pas exagéré. L'intrigue est cohérente et les effets spéciaux pas vraiment présents mais bien orchestrés,

Un deux mes deux film préfèré! Ce film est génial, très bien réalisé, du suspense! On s'y croirait!

Un remake de ET et rencontre du 3E type mais n'est pas Spielberg qui veut. c'est poussif, ça sent le réchauffé au final ce sera vite oublié.

Enfin un film de science-fiction qui ma plu. Et celui-ci m'a même beaucoup ému. J'avais beaucoup aimé E.T., aussi de Spielberg, j'ai encore plus apprécié celui-là. L'acteur principal est incroyable, il m'a beaucoup touché. L'accident de train est très spectaculaire, la musique est captivante, la créature pas trop exagérée. Très bons effets spéciaux, et on se laisse vraiment embarquer dans l'univers de ces ados qui font un film. J'ai juste eu une ou deux incompréhensions, par rapport au monstre, mais sinon vraiment un super film à voir pour tous.

J. J. Abrams réalise ici un très bon divertissement, clairement inspiré des grands classiques de Spielberg, on y retrouve beaucoup d'éléments intéressants : les enfants débrouillards, un côté SF crédible et non exagéré et un très réussi crescendo dans l'action et les sensations fortes !
Les acteurs sont convaincants, ne tombent jamais trop dans le cliché et la réalisation est très propre. Savoir maintenant J. J. Abrams aux commandes de notre Star Wars 7 me donne donc un très bon pressentiment !
Super 8 est un film agréable, un film de divertissement intelligent !

Un très beau film d'auteur rendant un grand hommage aux films de S-F, ET en tête mais, j'ai été un peu déçu par ce film, après avoir vu les Star Trek de JJ Abrams. Néanmoins, ce film reste vraiment très plaisant à regarder avec des jeunes acteurs irréprochables. J'ai été déçu par l'aliénation du film, qu'on n'arrive pas à voir complètement et certaines questions restent inexpliquées. Malgré cela, ce film reste un très bon divertissement.

Mon coup de coeur ciné été 2011 ,va a super 8 hommage au film des années 70 de Spielberg .Le film est une réussite ,produit par Spielberg lui-même .C'est un film de monstre et Abrams ne montre la créature que a la fin du film ,comme il nous avait fait tenir en haleine avec lost ou encore cloverfield qu'il produisait .Ce qu'on retient dans ce film ce sont ces jeunes comédiens ,dont la jeune Elle Fanning vu dans Somewhere au début de l'année et Joel Courtney qui joue son premier rôle et un chemin tout tracé pour des futurs rôle .Un jeune garçon qui a perdu sa mère Joe Lamb ,a un père flic distant et il est amoureux de la jeune Alice il est maquilleur du film de Charles rôle que tient Joel Courtney .Petite surprise au générique du film ,The Case film tourné en super 8 par les jeunes acteurs un film de zombies comique .Ce film ma plu ,par son côté rétro des années 70 et sa s.f hommage au film de Spielberg et puis on passe un très bon mome

Ce film est surement un des meilleurs que j'ai jamais vu ! Juste la performance des jeunes acteurs est époustouflante !!

Avec Super 8, le réalisateur J.J. Abrams livre certainement son œuvre la plus personnelle de sa filmographie en rendant hommage à son mentor, le maître Steven Spielberg, qui est également un des producteurs du film. Et verdict : Super 8 est un très beau film de science-fiction qui rend un vibrant et superbe hommage au cinéma et à celui de Spielberg. Été 1979, dans une petite ville de l’Ohio. Alors qu’ils tournent un film en caméra super 8, un groupe d’adolescents est témoin d’une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Mais ils vont vite comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un simple accident. Peu après, notamment avec l’arrivée de l’armée américaine, des disparitions et des évènements inexplicables se produisent dans la tranquille petite ville, où la police tente de découvrir la vérité. Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer. Sorti durant l’été 2011, Super 8 fut un gros succès pour J.J. Abrams puisque son film qui coûta environ 50 millions de dollars en rapporta plus de 260 millions dans le monde et le tout aidé de critiques très positives. En France, le film rassembla 1 506 877 cinéphiles confirmant ainsi le joli succès du film. Mais pour le réalisateur J.J. Abrams, Super 8 est certainement plus une réussite personnelle que commerciale car son troisième film de sa carrière est, comme nous l’avons dit ci-dessus, une œuvre personnelle et intimiste puisque dans Super 8, le réalisateur rend hommage au cinéma de ce que l’on pourrait appeler son mentor, qui est le grand Steven Spielberg. A la base, les deux hommes ont travaillé ensemble à l’écriture du scénario qui devait au départ rendre un hommage au cinéma tourné en super 8 où un groupe d’adolescents réalise un film amateur dans ce format. Et ensuite c’est Abrams qui a eu l’idée de placer l’action dans une petite ville traditionnelle des Etats-Unis, d’amener des évènements inattendus et terrifiants et le côté science-fiction avec un train transportant quelque chose tout droit venue de la fameuse Zone 51, la base militaire classée top-secret dans le Nevada où il y serait cachée la carcasse d’un OVNI et des documents qui révéleraient l’existence d’une forme de vie extraterrestre dans notre univers. Et quand on voit Super 8, il est difficile, très difficile même, de ne pas reconnaître les multiples références au style du plus grand réalisateur du cinéma qu’est Steven Spielberg, à mon avis bien évidemment. On retrouve tout ce qui fait le « style Spielberg » dans Super 8 : les années 1970, les relations compliqués entre un père et son fils, l’absence maternelle, la bande de copains, les BMX, la musique nostalgique et lyrique et cette passion pour le cinéma aussi. En fait le film de J.J. Abrams est un hommage appuyé à plusieurs films, réalisés et produits, par Steven Spielberg comme Rencontres du Troisième Type bien évidemment, mais aussi E.T. l’Extra-terrestre, Les Goonies ou encore La Guerre des Mondes. Ce film, pour les fans comme moi du réalisateurs, est une véritable mine d’or et un plaisir jouissif à voir aujourd’hui dans les années 2010 un film reprenant de nombreux codes du cinéaste. Super 8 est un film nostalgique des années 1970 et du cinéma de Steven Spielberg et cela montre toute l’admiration que possède J.J. Abrams pour son mentor. Et pour la petite histoire, il faut savoir que c’est ce format de super 8 qui permit la première rencontre entre les deux hommes. En effet, J.J. Abrams et son ami d’enfance Matt Reeves, ont tous les deux présenté leurs réalisations dans un festival de films en super 8. Et les deux garçons, alors âgés de quinze ans, vont se faire remarquer et feront l’objet d’un article dans le Los Angles Time. Et c’est là qu’ils vont attirer l’attention de Kathleen Kennedy, l’assistante de Steven Spielberg, et ils vont se voir proposer de restaurer les tous premiers films réalisés en super 8 par le grand cinéaste durant son enfance. Les deux jeunes hommes ont bien évidemment accepté l’honneur qu’ont leur faisait et ils ont remonté et restauré les films amateurs de Spielberg comme par exemple Firelight ou Amblin’. Mais revenons à Super 8 après cette anecdote qui scella la rencontre entre Spielberg et Abrams. Le scénario du film est très prenant puisque il est raconté d’une façon très nostalgique où J.J. Abrams semble s’être investit avec passion sur son film. En fait, son film se situe entre l’œuvre personnelle et le blockbuster estival car dans Super 8, hormis le magnifique hommage rendu à Spielberg et au cinéma en général, il y a une histoire de science-fiction avec la venue d’un être d’une autre planète dans une ville de l’Ohio suite à un spectaculaire accident de train, une scène qui encore aujourd’hui et pour de nombreuses années gardera toute sa puissance et sa qualité visuelle. Les effets spéciaux du film sont superbes, le design de la créature est pas mal du tout et c’est surtout l’ambiance que je trouve réussie dans ce film, pour celle des années 1970 avec les costumes, les voitures ou encore l’armée américaines de l ’époque, mais surtout pour le monstre car il n’arrive vraiment qu’à la fin. Dans toutes ses précédentes apparitions nous ne le voyons quasiment pas. Mais il reste présent tout le temps car de nombreuses personnes sont enlevées et la peur gagne le spectateur à chaque scène de nuit où il n’y a pas un seul bruit, le suspense continu jusqu’à ce qu’une scène rapide avec un terrible bruit viennent nous faire sursauter sur notre siège pour nous faire comprendre que la créature est toute prête des personnages. Super 8 est un film de science-fiction qui nous parle de courage, de réconciliation entre un père et son fils, d’amitié et de cinéma aussi. Et ce qu’il y a d’intelligent dans l’histoire, c’est de se baser du point de vue des adolescents qui tournent leur film de zombies intitulé « The Case » et nous voyons ainsi des moments de tournage de leur film, comment ils s’y prennent pour les décors, le maquillages, les costumes et la réalisation. C’est très intéressant de voir ceci et cela montre cet hommage rendu au cinéma où des jeunes arrivent à faire un film avec très peu de moyens. Surtout que nous avons la grande chance durant le générique de fin, de découvrir l’intégralité du petit court-métrage de la bande tourné durant les évènements du film. Super 8 est donc un très beau film de science-fiction réalisé par J.J. Abrams où celui-ci réussit à donner un magnifique hommage à son mentor Steven Spielberg et au Septième Art en lui-même. Super 8 est un film nostalgique qui a tout d’un classique de cinéma.

affligeant, choquant, scenario ridicule, je ne m en remet pas. rarement je me suis autant interroge sur la raison d un tel film.

Un scénarios ambitieux qui remplit toutes les conditions requises pour un bon film divertissant, de (très jeunes) acteurs interprétant à merveille le rôle demandé (dans des dialogues non adapté de par leur maturité trop avancé pour un si jeune âge) des effets spéciaux époustouflant. Mais ce n'est pas sans longueurs encore une fois (un peu trop présente cette fois ci).

J. J. Abrams signe un excellent hommage aux films de Steven Spielberg, mais qui dépasse le simple cadre du pastiche. En effet, on a beau penser aux grands divertissements des années 80, "Super 8" sait aussi s'en distinguer et ne pas s'en tenir à la seule accumulation de références cinéphiles. Ainsi, le scénario est classique mais fouillé et bien écrit, et il est surtout mis en valeur par une bande de gamins au talent incroyable. On est touché par la poésie hollywoodienne qui se dégage de l'ensemble, jusqu'à rendre des scènes qui auraient pu être lourdes ou risibles d'une grande beauté – spoiler: la fin, par exemple, avec le médaillon maternel qui s'envole dans les cieux, semble être une bonne définition des gros sabots du cinéma commercial américain, mais ce procédé se révèle ici magnifique.

"Super 8" est aussi une superbe déclaration d'amour au cinéma, puisqu'il fonde l'amateurisme passionné en une véritable source artistique. Il faut se souvenir que "Firelight", le premier long-métrage de Spielberg, fut tourné dans des conditions similaires, et on peut donc y voir une forme de clin d’œil admiratif. L'une des plus belles scènes du film représente d'ailleurs un tournage perturbé parle déraillement d'un train. Là, Abrams déploie son talent pour créer de l'émotion puis s'engager dans une pure démonstration de virtuosité. Le film entier est de cet acabit, provoquant la jouissance cinématographique hors norme qui manque dans la plupart des blockbusters actuels.