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    Elena
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    3,5
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    83 critiques spectateurs

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    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2021
    Le réalisateur déclare que le diable que vous connaissez pourrait frapper à tout moment. La noirceur est présente partout. C'est anti-Disney. Filmé en studio surtout, le réalisme est criant avec des acteurs efficaces. Le film est convainquant. On peut voir la noirceur et se demander quand le diable va frapper parmi les gens que l'on connait.
    Dourvac'h
    Dourvac'h

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2021
    Elena" [2012], le troisième long métrage d'Andrei ZVIAGUINTSEV est une oeuvre d'une force inouïe : un conte implacable magistralement mis-en-scène. Portrait universel de la férocité glacée d'une société sans espoir. Individualisme régnant, bêtise crasse, absence de sens moral... Et près tout, "Ainsi soit-il." Un film de moraliste qui annonce son "Faute d'amour" de 2017. Un procès habile du matérialisme, de la "pensée pratique" et de la sinistre bondieuserie de façade qui "occupent le terrain" de nos sociétés, faute de mieux à offrir... C'est qu'elle a l'air sympa, la jeune grand-mère Elena ! Elle ne lui veut pas de mal, à son nouveau mari Vladimir : c'est une ancienne infirmière, alors elle le sert - en bien soumise épouse et bonniche (dans une société russe de "gens ordinaires" apparaissant toujours - avec finesse chez Zviaguintsev - comme banalement patriarcale et assez ridicule). C'est-à-dire aussi que Vladimir a tout ce fric que la famille d'Elena n'a pas et n'aurait jamais... Lorsqu'Elena comprend que Vladimir, son homme qui vient de faire un infarctus, ne va pas aider le moins du monde son feignant de fils à elle (père d'un autre feignant), elle commettra l'irréparable. Sans trop de remords, d'ailleurs. Elle saute tranquillement le pas. Elle ira même brûler un cierge devant les icônes de l'Eglise. C'est le règne de l'absurde selon Albert Camus... "Le crime sans le châtiment" (comme l'a écrit finement un critique). Le long plan aux oiseaux qui ouvre le film peut être décourageant, mais il signifie ceci : un clou chasse l'autre, et la famille de feignants alcoolos ne rêvait, au fond, que d'investir le superbe appart' du "riche"... Pour faire quoi de cela ? Rien... Consommer de la bière ou siffler leur stupide vodka, bouffer des chips. Regarder des émissions de téléréalité crétinisantes (pléonasme), s'emm...rder comme des rats morts et s'engueuler à vide sans jamais se poser la moindre question existentielle. Au bas de l'immeuble, le petit-fils chéri d'Elena qui voulait éviter le Service national en Tchétchénie (en soudoyant je ne sais quel pourri - grâce au pognon extorqué au "riche" - pour ne pas avoir à "y aller") se fait tabasser lors d'une expédition punitive entre bande de crétins nodocéphales... Sous le ciel gris, une sorte de centrale nucléaire apparaît comme une apocalypse perpétuelle entre les arbres. Le "châtiment" d'Elena ne serait-il pas de devoir vivre dorénavant en cohabitation avec ces "débiles" sans conscience, qui sont la chair de sa chair ? Film d'un pessimisme total sur notre humaine. Pas de rédemption possible. Pas la peine de chercher un StopCretins.com planétaire... puisque tels des Aliens proliférants, "ils" sont déjà devenus trop nombreux... Sauf qu'Andrei Zviaguintsev est là - qui s'en fout bien, de vexer le Gros public que soigne Poutine : vous avez un fin diagnostic, Docteur Zviaguintsev ! Et votre regard impitoyable est celui d'un poète. Vos interprètes au jeu jamais appuyé : Nadezhda Markina (Elena), Andrei Smirnov (Vladimir), Elena Lyadova (Katerina, fille de Vladimir), Alexey Rozin (Sergeï, fils d'Elena)... Ah, comme l'on a un peu honte - par comparaison - pour tous "nos" comédiens et comédiennes français (surinterprétant à peu près tout, pour être sûrs de bien se mettre le spectateurs dans la poche !) Votre sens du cadrage est une merveille. Votre utilisation des silences ou de la musique de Philip Glass : époustouflante. Alors, on aime votre cinéma qui nous lave le regard. Vraiment. Durablement. Même avec un plan d'introduction intégrant écorce de bouleau et chassé-croisé d'oiseaux sur fond de loggia, qui dure une minute quarante...
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    220 abonnés 2 859 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Film qui n'est pas inintéressant... entre les silences quoi !! EN tout cas ce ne sont pas les dialogues qui étouffent. Il faut être honnête : on s'ennuie un peu ! L'histoire est intéressante, un peu choquante (surtout au milieu du film) mais c'est beaucoup trop mou du genou et beaucoup trop froid pour être émouvant. Le cinéma russe n'est pas le plus remuant qui soit en même temps ! Max m'avait prévenu...
    titicaca120
    titicaca120

    348 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2017
    c'est dur de noter objectivement un film où l'on peut trouver de l'excellent
    mais aussi de l'ennui sur ces plans interminables d'un arbre , d'un train ou d'un nourrisson.
    après l'histoire est assez captivante et l'on sent venir malgré tout la patate, vu les discussions,
    l'état de santé et les projets du malade.
    je viens de voir 4 films me manque plus qu'un pour en avoir fait intégralement le tour.
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Issus de milieux sociaux opposés, Elena et Vladimir vivent ensemble, mariés et ont chacun un enfant issu d'une précédente relation. Pourtant lorsque Sergueï, le fils d'Elena, a besoin d'argent pour payer des études à son fils, Vladimir est réticent à l'idée de subvenir aux besoins de sa belle-famille...

    Le film s'ouvre sur la vision d'Elena, se levant dans son immense et froid appartement où elle fait chambre à part avec son mari fortuné. On découvre peu à peu un couple froid où les tensions sont silencieuses, elle s'occupant surtout des tâches ménagères et usant de sa pension, accordée par son mari, pour aider son fils. Débutant comme une vision d'une Russie déshumanisée sous Poutine, Andreï Zviaguintsev rentre peu à peu dans le thriller, s'interrogeant moralement sur Elena et la mettant face à un horrible dilemme.

    C'est d'abord une femme semblant triste que l'on découvre, servant de bonne à son mari et faisant tout son possible pour aider son fils, lui-même père et marié. Andreï Zviaguintsev prend son temps pour analyser, en finesse, ce personnage et nous y intéresser, mais peu à peu, c'est l'ambiguïté qui va planer sur elle et ses intentions, ce que retranscrit très bien Andreï Zviaguintsev à travers une écriture de qualité, sachant donner de la profondeur et de la consistance aux enjeux et personnages. À travers ce scénario, il aborde aussi, de manière intelligente et pertinente, la situation de la Russie, que ce soit économique ou sociale. C'est cette Russie froide et détruite qui semble ne s'être jamais remise de la fin de l'URSS qu'il analyse et met en avant, que ce soit en arrière-plan ou directement à travers les personnages, leurs conditions sociales ou encore le fossé séparant la richesse et la pauvreté et plusieurs scènes marquantes en témoignent, à l'image de l'effrayant montage final ou des voyages en train où la solitude du personnage se fait totalement ressentir.

    Andreï Zviaguintsev prend son temps pour observer ce pays et met en place une ambiance sombre et clinique. Il met bien en avant ses personnages à travers une belle réalisation, majoritairement composée de plans larges, et en fait ressortir tout l'humanisme ainsi que la consistance, souvent propice à la réflexion. La photographie est adéquate à l'atmosphère mise en place, tout comme la bande originale de Philip Glass et Zviaguintsev dirige formidablement ses acteurs, Nadejda Markina en tête.

    Andreï Zviaguintsev fait cohabiter la justesse et la pertinence de ses propos avec une impeccable mise en scène, permettant de nous immerger dans cette Russie froide et déshumanisée pour y suivre le parcours d'une femme au dilemme de plus en plus ambigu et cruel...
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    94 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2016
    Joli drame du toujours aussi intéressant Andrei Zviaguintsev. Même si pour le coup, il n'est pas à l'origine du scénario, cette histoire de succession vaut le détour tant il a agrémenté ce simple fait divers par sa superbe mise en scène. On est confiné entre deux principaux décors (l'appartement d'Elena et celui de son fils) dont j'ai été surpris d'apprendre qu'ils ont été entièrement constitués en studio. Sacré défi de relevé parcequ'on n'y voit que du feu entre les peintures qui font les extérieurs, les arbres, la lumière, chapeau! Sinon cette oeuvre n'est pas aussi intense que "Le retour" ou "Leviathan" et je trouve un peu dommage qu'il nous laisse libre d'imaginer la fin de cette histoire dont j'aurais bien aimé connaître sa version...
    LiJie
    LiJie

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2018
    Film un peu énigmatique car soit le propos est d'une évidence absolue, soit d'un cynisme total. Il faut souligner l'image sublime (lumière rasante dans l'appartements, froide même au soleil, mouillée, les couchers de soleil sur l'usine dans la banlieue de Moscou (?) sont tous très beau, les mauvais moments se passent entre chien et loup... une mise en scène de qualité, L'actrice parfaite princiaple, Nadejda Markina est parfaite dans le rôle de la mère buttée qui va protéger son poulain coûte que coûte (et ça coûte en effet). Le vieux Vladimir est horrible en nouveau riche qui aime sa tendre fille laquelle n’est pas dupe, cynique, désinvolte. Personne n’a de scrupules non plus, les scènes chez les pauvres sont d'une tristesse à mourir; et attendues. C’est d’une froideur terrible sans beaucoup de sentiments, sans amour, et l'amour filial serait le seul valable spoiler: (la dernière image c'est tout de même le bébé sauvé par la mort du mari d'Elena!)
    . Le film n'est pas non plus une critique sociale sauf peut-être pour dire une évidence du style " L’argent pourri la vie de ces gens". Bref, le film vaut par l'exercice cinématographique, la caméra, le jeu d'acteur mais pas vraiment l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    Film qui a fait sensation au festival de Cannes et est ressorti avec un prix du jury. Le sujet est vraiment prenant et montre la disparité économique du pays. Les riches sont très riches et les pauvres sont très pauvres. Une réalité montrée à travers le personnage d'Elena et de son mari qui lui a une immense fortune. On va suivre la vie plus ou moins banale de ces deux personnages. Vu qu'ils sont à la retraite, leurs journées se suivent et se ressemblent, ce qui se ressent dans le rythme du film qui est vraiment lent, surtout les dix premières minutes où on voit Elena préparer le petit déjeuner. La rythmique montre bien la situation du couple... Mais c'est vraiment ennuyant. Tout le film est lent mais très intéressant. Du coup je ne sais pas trop comment le noter. Je lui donne 3 car il est bon mais ce n'est pas un coup de coeur.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    63 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Premier film visionné (et jusqu'à présent le seul) d'Andreï Zviaguintsev. Dans mes souvenirs ce film dur et froid est porté par l'interprétation d'une actrice Nadezhda Markina, qui incarne avec autant de subtilité que de rudesse ce personnage d'Elena, femme d'âge mûr, qui est prête à tout pour donner un nouveau départ à sa famille. Le fait que Vladimir et Elena se soient rencontrés tard dans leurs vies respectives et possèdent des caractères aussi différents que possibles entraînent inévitablement un climat glacial et tendu, que n'arrangent pas leurs enfants respectifs. Ce film donne une vision assez sombre de la société russe, et plus particulièrement de la haute société, désabusée, cynique et lasse. Crépusculaire, et ambivalent, le propos de Zviaguintsev ne semble pas pouvoir être balayé par un vent d'optimiste. Certains pourront le lui reprocher, mais personnellement j'y adhère. A voir.
    Sylvie M.
    Sylvie M.

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2014
    Une vie de couple en Russie elle modeste lui riche, pour lui une fille qui financièrement n'a besoin de rien car son père a fait en sorte que..., pour elle un fils en couple avec deux fils qu'elle entretient en versant une grande partie de sa pension chaque mois. Pourquoi il travaillerait?
    La richesse, la misère, la violence en Russie.
    Les rôles sont joués à la perfection on es avalé de suite par ce drame que l'on sent inévitable d'une femme soumise qui aime son mari mais qui tuera pour que son fils, son petit fils restent le reflet de la misère en Russie. Bravo à aucune seconde je n'ai pu m'extraire du film.
    Plume231
    Plume231

    3 484 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    J'avoue ne pas explorer souvent le cinéma russe contemporain, et c'est un tort car on peut tomber sur du très bon à l'instar de cet "Elena"...
    D'abord j'ai été surpris d'y entendre une musique qui a pleinement la patte très caractéristique de Philip Glass. Normal puisque le compositeur de la BO n'est autre que Philip Glass lui-même mais j'ai tout simplement été très étonné de le voir ici, mais son style colle parfaitement avec l'atmosphère de l'oeuvre d'Andreï Zviaguintsev.
    Bon autrement, ici plus que le portrait d'une femme ou un drame ayant quelques fois l'allure d'un thriller, c'est plus l'autopsie d'une société que nous montre Zviaguintsev. Dans la Russie actuelle, il y a les nantis et il y a les autres. La protagoniste elle, se situe entre les deux, servant d'intermédiaire, fragile, au spectateur entre ses catégories totalement opposées ou a-priori totalement opposées car prêtes aussi bien l'une que l'autre à commettre le pire, car l'une ne valant pas mieux que l'autre dans une société où l'important est l'argent et la réussite affichée, sans parler de la corruption bien évidemment...
    On ne ressent non plus ni une pleine antipathie, ni une pleine sympathie, pour les personnages ; excepté peut-être la fille d'un précédent mariage de l'époux d'Elena, pourtant d'un premier abord peu sympathique, parce qu'elle semble hors des "fondamentaux" de cette société, aucun ne rattrape véritablement l'autre.
    La longueur et la langueur des séquences peuvent surprendre mais on finit par s'y laisser prendre et puis la finesse de l'écriture et le soin apporté à la réalisation achèvent d'en faire un film à voir absolument.
    Kloden
    Kloden

    114 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 octobre 2014
    Décidément, Andreï Zviaguintsev est un habitué des louanges de la critique. Si son Lion d'Or pour le très beau Le Retour pouvait se justifier, et si je devrais attendre ce soir pour savoir si Leviathan mérite son prix du scénario cannois, le prix spécial du jury décerné à Elena est une pure aberration. Oeuvre d'un cynisme paresseux, jetant sur la Russie d'aujourd'hui un regard pessimiste ultra-caricatural à travers ses personnages de nantis avares et de prolos envieux, cette troisième réalisation a même réussi à me dégoûter moi, spectateur pourtant pas vraiment optimiste quant à la nature humaine et de fait plutôt amateur de films désabusés. Le pire, c'est que si tous ses personnages en prennent pour leur grade, Elena finit par être juste assez insidieusement déséquilibré pour livrer un message de droite haineux et totalement condamnable. Quoique le pire pourrait être toute cette ostentation satisfaite qu'on sent dans la forme, et ses tunnels de plans-séquences fixes qui cherchent la distanciation et prétendent pourtant tout saisir des personnages par le placement des cadres. Alors qu'en fait, la seule impression qui demeure chez moi était celle d'une sorte de voyeurisme à deux francs, qui semblait ne dire que "la voici, la réalité, pure et simple, et pas besoin d'en faire des tonnes pour que sa crasse émerge". Sans connaître la Russie il est vrai, Elena prend donc des airs quand même très marqués d'un film engoncé dans une misanthropie excessive et étouffante, où toute empathie est impossible. Puisqu'il est difficile de croire au pessimisme du propos, plus grand chose ne laisse de prise au spectateur pour s'accrocher face à la lenteur de ces plans qui sonnent faux, quant leur contenu exagéré finit par détourner le dégoût des personnages vers le film lui-même, perdu dans ses excès. En tout cas, si la Russie de Poutine est bien celle d'Elena, Gégé Depardieu est un fieffé menteur. Et il faut bien reconnaître la force de Zviaguintsev pour susciter dégoût et abattement. Espérons que la fois suivante, pour Leviathan donc, il ait juste mis un peu plus de nuances. Il pourrait y gagner en humilité comme en subtilité, et pourquoi pas enfin retrouver la poésie que Le Retour laissait entrevoir.
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    Excellent film qui m'a donné d'en apprendre un peu plus sur la situation sociale en Russie, d'en apprendre sur ses habitants,On peut constater l'écart des classes sociales, le fossé entre ces deux mondes.. L'histoire est captivante par son interprétation remarquable, par sa mise en scène, son ambiance .... J'ai adoré me faire balader par le metteur en scène sur l'impression qu'on a des personnages particulièrement Elena évidemment mais aussi sa belle fille qui paraît abjecte au premier abord et qu'on finit par comprendre, du moins sa méfiance...
    L'image de fin étant la même que celle du début m'a fait penser à la banalité de la situation, que ce genre d'histoires se produisent presque quotidiennement là-bas.
    Un film à voir absolument. Génial.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 avril 2014
    Film un peu décevant.
    Le sujet concerne la lutte des classes, mais le crime commis pour sortir de la pauvreté est autorisé voire encensé et n’est bien sûr pas puni … pas très moral tout ça !
    Très lent, très peu de dialogues, de longs plans fixes, bref on s'ennuie assez vite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Une fable sociale sur l'argent, élément destructeur du lien familial. Si la mise en scène manque un peu de spontanéité, le ton est quant à lui toujours juste, sans complaisance.
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