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    La Chute de la maison Usher
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    Jérôme H
    Jérôme H

    137 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2009
    Le film est captivant dès le début, le réalisateur a réussit avec brio le double exploit d'adapter une belle oeuvre de Poe et de créer une atmosphère aussi pesante et lourde que le livre.
    Certes le film a un peu mal vieilli mais sa version old school est san,s doute la plus proche possible de la vision de l'écrivain (avec Epstein). Bravo.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 938 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Le cycle de films inspirès des oeuvres de Poe, qui correspond à la dernière phase du Roger Corman artisan de la sèrie B, comprend huit titres dont "House of Usher", sorti en 1960 et produit par American International! Corman rèalise ce classique du genre, assistè par une èquipe très homogène dont les piliers ètaient le scènariste Richard Matheson - auteur de remarquables romans de S.F - et l'opèrateur Floyd Crosby, un vètèran très compètent qui avait ètè responsable, entre autres, de la photo du "Tabou" de Murnau. "House of Usher" repose sur un schèma: on conserve le thème central du rècit de Poe, mais on accentue l'horreur au dètriment du fantastique, ou bien on adapte aux dimensions d'un long-mètrage une histoire conçue sous forme de nouvelle, donc brève! De fait, ce premier d'un cycle de huit films adaptès plus ou moins librement par Poe, apparait avant tout comme une vèritable synthèse du cycle du romancier avec son intrigue tènue et morbide, son ambiance et sa demeure malèfique dètruite par le feu! Vincent Price y est plus que crèdible en jouant le tourmentè Roderick Usher! il est d'ailleurs le seul (il ne faut pas compter sur le fade Mark Damon) dans une oeuvre par ailleurs soignèe de Corman...
    Caine78
    Caine78

    6 000 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2009
    Malgré un début légèrement pesant et une mise en place poussive, cette "Chute de la maison Usher" sait rapidement se faire intrigant et même particulièrement séduisant à bien des égards. En effet, on ne peut être que séduit par la mise en scène très soignée que propose Corman, les couleurs chatoyantes se faisant aussi agréable à l'oeil qu'utile à l'ambiance de plus en plus pesante. De plus, on ressent bien l'esprit de Poe durant les 80 minutes du film tant le scénario sait se faire intrigant et même envoutant parfois, l'idée de la malédiction étant il est vrai particulièrement intéressante. Alors bien entendu on pourra discuter certains aspects (musique un peu trop omniprésente, casting moyen à l'exception du toujours génial Vincent Price), mais grâce à son esthétique de premier ordre et son histoire tout aussi passionnante, "La Chute de la maison Usher" reste encore aujourd'hui un film fantastique de grande qualité, un indispensable pour les amateurs du genre. A découvrir.
    Plume231
    Plume231

    3 469 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2014
    Le pape de la série B, Roger Corman, type capable de bricoler un long-métrage avec deux bouts de ficelle et possédant un pif à talents absolument exceptionnel, était au sommet ou du moins commençait à l'être en inaugurant ici sa "période Poe" avec "La chute de la maison Usher" ; enfin même dans sa globalité la première moitié des années 60 connaîtra le meilleur du réalisateur .
    Au sommet du point de vue de la direction d'acteurs, qui sont ici qu'au nombre de quatre (si on fait abstraction de la séquence du cauchemar !!!), surtout en ce qui concerne le personnage très ambigu joué par le toujours immense Vincent Price dont on arrive jamais véritablement à comprendre s'il est fou ou pas, ou du moins pas totalement.
    Mais au sommet aussi et surtout du point de vue technique avec une belle maîtrise des couleurs et des effets visuels enfumés, avec comme summum la scène où le héros fait un cauchemar.
    Bref un bon cru cormanien...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2017
    Contrairement à la Chambre des Tortures on a là une véritable montée en intensité, partant d’un rêve (quelle séquence ! Esthétiquement folle !) jusqu’au plan final illustrant à merveille la symbolique même du film; alors il y a certes dans la première partie 2-3 scènes qui trainassent un peu mais sinon le mystère autour de la malédiction des Usher est préservé de manière à rester totalement en haleine. Et évidemment l’ambiance fait le boulot, en plus d’acteurs impliqués quant à rendre cette adaptation de Poe lyrique, dramatique et angoissante, avec un Vincent Price en grande forme pour orchestrer la cérémonie, bref sans doute le meilleur Corman que j’ai pu voir pour le moment avec Le Masque de la mort rouge.
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2010
    Qu'est-ce que c'était inintéressant. Une sorte de ramassis de tout ce qu'on peut faire de pire dans les films de série B, avec même pas une once d'humour pour que le tout soit possible à prendre au second degré, non car là on se prend bien au sérieux. Il faut dire que la mise en scène est bien plombante, et fait décidément très poussiéreuse.
    Autre défaut, la musique : afin de créer une angoisse qui n'existe pas, les moments (censés être) de tension ou effrayants sont soulignés par une musique tonitruante sans aucune subtilité, qui renforce ce côté ridicule.
    Face à ce quasi naufrage les acteurs ne sont pas très convaincants, tout comme l'ambiance (ok y avait pas beaucoup de budget, mais que c'est kitsch !) ou même tout le reste. Raté.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    23 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2009
    Je pensais que pour ses adaptations des oeuvres de Ed.Al.Poe, Roger Corman faisait un effort au niveau du scénario pour étoffer le contenue ce qui était loin d'être son souci pour ses autres productions mais force est de croire que le famaux boss de la Série B ne s'est pas non plus fouler pour son adapatation de Poe. La réalisation reste ce qu'elle est; de la série B bien foutue, académique et efficace. Les acteurs s'en sorte trés bien aussi evidemment, le charisme de Vincent Prince et la bonne dynamique de l'acteur qui l'épaule Mark Damon crédibilise l'ensemble. Mais point de reflexion venant de Corman qui se dit auteur lorsqu'il adapte E.Poe et pas de frayeur a aucun moment du film. Donc on s'ennuie pas mal même si tout les artifices faciles du film à petit budget charmes un temps. Insipide car peu appronfondi et pas trés effrayant.
    cylon86
    cylon86

    2 250 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2010
    Le premier film de Roger Corman adapté de Poe que je voie. Et c'est pour moi une excellente surprise. Le Technicolor est tout simplement superbe, le scénario est très bien écrit, les décors sont très beaux et Vincent Price est tout simplement excellent.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    216 abonnés 2 784 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 juillet 2014
    Ca devait faire son petit effet en son temps, c'est totalement inefficace aujourd'hui. Et encore... pour le suspense, on est loin d'un Hitchcock, pour l'épouvante on peut repasser. Tous les effets scénaristiques attendus sont là, la réalisation est insipide et le jeu d'acteurs à la limite du risible.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2015
    Premier film du fameux cycle Poe, La chute de la maison Usher n’est pas le meilleur opus de ce corpus mémorable, mais il présente déjà de nombreuses qualités. Tout d’abord, Corman utilise de manière assez audacieuse la couleur, prenant ainsi la suite de la firme anglaise Hammer. Le risque est de tomber dans le kitsch, totalement assumé ici, notamment lors d’une séquence de rêve assez surréaliste. Ensuite, le cinéaste s’est entouré d’un auteur de renom, l’excellent Richard Matheson pour signer un scénario qui s’éloigne volontairement de l’œuvre de Poe pour trouver sa propre logique. Enfin, conscient de l’étroitesse de son budget, le réalisateur décide de dénoncer l’artificialité de son film en ne dissimulant aucunement les effets spéciaux, ni l’origine picturale des décors (de superbes toiles peintes). Evidemment, le film est symptomatique de l’épouvante old school avec son intrigue qui tire en longueur et un manque de suspense qui est compensé par une ambiance gothique du meilleur effet et l'abattage de Vincent Price, impérial. Le résultat est donc sympathique, mais loin de la maestria du Masque de la mort rouge, meilleur film du cycle.
    AMCHI
    AMCHI

    5 028 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2017
    La Chute de la maison Usher est sans doute l'un des films d'épouvante de Corman qui a le mieux vieilli, cette série B bien faite, soignée dans son genre (le film parvient sans peine à faire oublier son budget car qui dit Corman dit budget restreint) d'entrée de jeu l'ambiance est installée avec maison lugubre, brouillard et personnages énigmatiques dont celui de Vincent Price très bien joué. L'histoire de Poe est scénarisé par le romancier Richard Matheson (qui a écrit entre autres "Je suis une Légende"), je dois avouer que je n'ai jamais lu la nouvelle en question mais j'ai trouvé le scénario passionnant et j'ai toujours apprécié l'ambiance gothique et sinistre de ce type de récit. Un bon film qui souffre peut-être d'un manque de grandeur, La Chute de la maison Usher n'effraie plus de nos jours mais il dégage encore une certaine beauté.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 089 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2022
    Au début des années 1960, American International Pictures, société de production créée en 1950 par Samuel Z. Arkoff et James H. Nicholson s’associe avec le réalisateur/producteur Roger Corman pour relancer à Hollywood le genre épouvante revenu à la mode en Europe grâce à la Hammer qui a ressuscité tout en les actualisant, les monstres de la Universal. C’est donc un cycle consacré très librement à l’œuvre d’Edgar Allan Poe qui s'engage, voyant Roger Corman collaborer étroitement avec Vincent Price qui timidement en 1953 avec « L’homme au masque de cire » d’André de Toth et beaucoup plus franchement depuis le succès populaire de « La mouche noire » (Kurt Neumann en 1958), entame une reconversion dans le film de genre de série B. « La chute de la maison Usher » sera le premier d’une série de huit fims (dont sept avec Vincent Price). Roger Corman a la bonne idée de confier le scénario à Richard Matheson, auteur prolifique et créateur de la fameuse série télévisée « La quatrième dimension ». La nouvelle de Poe étant essentiellement basée autour du portrait psychologique de Roderick Usher, châtelain hypocondriaque vivant reclus avec sa sœur réellement malade auquel le narrateur vient rendre visite, Matheson la modifie adroitement pour lui insuffler tous les ingrédients propres à la rendre attractive pour les spectateurs adeptes des films d’épouvante. Ainsi, en lieu et place du narrateur, c’est un jeune homme (Mark Damon) amoureux de Madeline Usher (Mirna Fahey) qui force les portes du château au sein duquel un Roderick Usher en plein délire mystique et paranoïaque lui fait part de la malédiction qui frappe sa famille. Vincent Price qui se rode à l’univers d’Edgar Poe et à la mise en scène de Corman commence tout de même assez gaillardement son périple, coiffé d’une coupe crantée, d’un blond peroxydé du meilleur effet. Le cabotinage grandiloquent qui fera tout le sel de cette série de sept films commence petitement même si l’on sent que le grand Vincent Price est prêt à lâcher les chevaux dès que Corman lui en laissera l’occasion. « La chambre des tortures » qui suivra, sera le début du grand numéro de "cabot" de Vincent Price qui deviendra dès lors le prince incontesté de l’épouvante jusqu’à sa disparition en 1993. Il faut donc considérer cette honnête mais un peu poussive « Maison Usher » comme le hors d’œuvre d’un festin pantagruélique dont le spectateur amateur du genre sortira repus mais heureux.
    Redzing
    Redzing

    914 abonnés 4 293 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Dans les 60's, Roger Corman réalisa une série d'adaptations d'Edgar Allan Poe à faible budget, qui permit par ailleurs à Vincent Price de se faire remarquer dans le registre de l'horreur. Premier de cet ensemble, "House of Usher" est l'histoire d'un jeune homme arrivant dans une sinistre demeure pour y voir sa fiancée malade, vivant sous la coupe de son frère hypocondriaque. Le film masque bien son faible budget, et propose des décors assez réussis : la maison est dès le départ très inquiétante, que ce soit de l'intérieur ou de l'extérieur. Si la réalisation est simplement correcte, "House of Usher" dégage une certaine ambiance gothique, qui s'intensifie à mesure que le scénario se dévoile. Sans oublier Vincent Price dans un rôle très sinistre qui lui va comme un gant. Une curiosité.
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2012
    La plus célèbre adaptation du classique de Poe. Ambiance gothique et fantastique, Roger Corman met en scène de manière idéale ce genre d'oeuvre. Vincent Price évidemment présent à l'affiche, un vrai plaisir pour amateur de série B.
    benoitparis
    benoitparis

    94 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2007
    La hantise du péché originel (très WASP, White anglo-saxon protestant, très Nouvelle Angleterre) est parente de celles de l'inceste et de la nécrophilie. Et celles-ci sont des ressorts essentiels de la fiction d'épouvante. Ce film annonce un chef d'oeuvre de Maria Bave sur la même thématique : Le corps et le fouet. Sa réalisation a les ridicules d'un film gothique sans grands moyens mais au bout du compte il impressionne parce que par ailleurs il est très bien joué et que l'esprit de la nouvelle d'Edgar Poe est vraiment bien restitué.
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