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    Elle s'appelle Ruby
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    3,8
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    205 critiques spectateurs

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    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    Six ans après le succès incontestable de "Little miss Sunshine", le couple formé Jonathan Dayton et Valérie Faris réalise une nouvelle comédie surprenante. Écrite et interprétée par Zoe Kazan, elle aussi accompagné par son mari, Paul Dano, cette rom-com, réunissant les éléments scénaristiques du mythe de Pygmalion, de Frankenstein et de la série "Code Lisa", n’a pas le mordant du précédent film. A partir d’un pitch facile, qui aurait pu être la source d’une potentielle réflexion sur la création artistique, vont se multiplier, et aussi rapidement s’essouffler, des situations forts amusantes, après quoi les bonnes idées comiques ne tiendront que dans son casting pleins de seconds rôles prestigieux et dans une bande originale aussi française que vintage, et ce jusqu’à la fin la plus convenue possible.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Quel ennui ! Quelle mièvrerie ! Quelle horreur ! J'ai compté toutes les secondes qui m'ont séparé de la fin. L'idée est originale ( quoique ... ) mais la façon dont cela a été traité est tout sauf réussi. Film allègrement surnoté sur allociné.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Les auteurs de Little Miss Sunshine reviennent avec un film dont le point de départ ressemble à celui d'un roman de Musso, à moins que ce ne soit de Levy. Malgré tout, on attend une étincelle pour cette comédie on ne peut plus romantique qui conte les amours d'un écrivain pour son dernier personnage féminin, soudain incarnée. A vrai dire, on attend toujours. En dépit de quelques subtilités de scénario qui évitent de trouver le temps long, Elle s'appelle Ruby souffre cruellement d'un manque de pétillance et d'aspérités, coincé dans une mignonne bulle sentimentale dépourvue de la moindre intensité. Le personnage de l'écrivain, joué par un acteur bien trop jeune, n'est pas crédible une seule seconde et sa créature de papier, même en chair et en os, n'a pas le charme suffisant pour redonner des couleurs à cette bluette inoffensive.
    camille504
    camille504

    12 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Un Paul Dano impeccable de délicatesse et sensibilité. Une Zoé Kazan charmante. Un film néanmoins un peu décevant non pas par le sujet mais par le mauvais goût de ces américains qui veulent toujours convaincre qu'ils sont cool, à l'aise avec le sexe, alors que pour le public français ce n'est que vulgaire ou ridicule.. Paul Dano réussit l'exploit de ne pas être un canon de beauté genre Brad Pitt ou Jude Law tout en étant complètement craquant ! Une bonne soirée quand même malgré les faiblesses...
    nikolazh
    nikolazh

    52 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Un film au postulat original et plutôt agréable dans sa première moitié, drôle et relativement légère, qui slalome ensuite entre le gentiment ennuyeux (la scène chez les parents du personnage central font un peu office de remplissage) et le carrément raté (le pétage de plomb de l'écrivain). La fin finit cependant de rattraper l'ensemble, mais on ne peut s’empêcher de penser que l'auteur est passée là à coté d'un sujet en or et qui aurait mérité une écriture tantôt plus explicative, tantôt plus poétique. Un peu frustrant du coup, mais pas totalement déplaisant.
    130580
    130580

    77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2012
    Scénario original subtil intelligent les acteurs sont excellents les frontières entre l imaginaire la fiction et le réel s enchainent s imbriquent le suspens est vif ...l'émotion
    est palpable ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Film rafraichissant, drôle ettrès bien réalisé. Une BO de fifou. Bref, à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Très bon film, se démarque aisément de la plupart des affiches actuellement au cinéma.scénario original et très bien réalisé.
    Lili-00006
    Lili-00006

    4 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    Après le carton innatendue de Little Miss Sunshine en 2006, le duo de réalisateur Jonathan Dayton et Valérie Faris s'était fait pour le moins discret ces dernières années. On attendait donc avec impatience ce Ruby qui, même s'il n'est pas le petit bijoux espéré, reste un film charmant dans le lignée du cinéma indépendant made in Sundance. On y retrouve Paul Dano, garçon mutique de Little Miss Sunshine, dans la peau d'un écrivain voyant du jour au lendemain apparaître dans sa vie la femme idéale qu'il a crée. Ecrit et interprété par la compagne de ce dernier Zoé Kazan, révélation du film, Elle s'appelle Ruby mêle habilement réalité et fantastique avec ce fantasme d'écrivain devenu réalité, atteignant son paroxysme dans une scène incroyablement puissante valant à elle seul le détour. De seconds rôles savoureux, Annette Bening et Antonio Banderas parfait, à une BO so french, ce film qui avait tout de la petite pépite indé ne parvient hélas pas à faire oublier son aîné, certainement à cause de quelques longueurs qui aurait put facilement être évité.
    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    Scénario original de l'année! Simple, beau, puissant, poétique, fantaisiste et fantastique! Un couple magique qui fonctionne parfaitement bien à l'écran; une émotion palpable de tous les instants. Un film ultra référencé, ce qui le rend vivant et interactif! Malgré un rythme soutenu et aucune baisse de régime, la mise en scène pêche un peu par manque d'inventivité et de fraicheur! C'est bien dommage parce que l'on aurait tenu là un vrai petit chef d'oeuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    Un super film, romantique, "poétique", qui se voit avec délicatesse et plaisir !
    ............. et le film devint exactement comme je l’ai écrit et imaginé.
    Claire undefined.
    Claire undefined.

    4 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Après Little Miss Sunshine, qui ne m’avait pas transportée malgré les critiques fort enthousiastes, Jonathan Dayton (un clin d’œil à la ville d’origine de Ruby ?) et Valerie Faris ont de nouveau co-réalisé ce film et dirigé le couple à la ville que sont Paul Dano et Zoe Kazan (cette dernière ayant écrit le scénario).

    Une histoire de couples en bref !



    L’idée de départ (une sorte de Pygmalion des temps modernes) est très bonne : un personnage imaginé par l’écrivain à succès Calvin (en panne d’inspiration depuis son premier roman classé best-seller) prend vie sous ses yeux, et devient Ruby, sa petite amie rêvée.



    Tourné dans des maisons d’architectes, et des panoramas enchanteurs de Californie du Sud, le film est un concentré de tout ce qu’on peut imaginer en matière de cinéma américain indépendant !



    Les acteurs ne sont pas antipathiques (le duo principal, et le frère sont décalés et plutôt drôles), mais le film s’essouffle assez rapidement, manque virer au thriller pendant quelques instants (instants de trop à mon goût), et on attend la fin.



    Avant de clore, la petite anecdote du chien qui fait de la dentelle avec un livre m’a fait sourire car rappelé fortement les agissements de mon chat en ce moment. Je ne souhaite y voir aucun message caché !



    Restent quelques considérations sur le couple assez intéressantes, comme la limite en amour dans ce qu’on aimerait que l’autre soit.

    On passe un petit moment plutôt divertissant et on en ressort sans traîner le film derrière nous comme un boulet de noirceur (en ce moment, il y en a !).

    D'autres critiques sur: http://clairedanslessallesobscures.over-blog.com/ (commentaires bienvenus!)
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Elle s’appelle Ruby est de ce genre de films qui se laissent regarder mais qui ne laissent qu’un pâle souvenir. Le scénario est sans grand intérêt et n’est pas si bien exploité par une réalisation sans imagination. Même Paul Dano est un peu effacé…
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    Y'a pas à tortiller, ça doit être mon mauvais fond : je préfère 100 fois qu'on me raconte l'histoire d'une mère de famille débordée, d'un père raté, d'un fils autiste et militariste, d'un oncle suicidaire et d'un grand-père défoncé plutôt qu'une jolie histoire d'amour, quand bien même celle-ci présente la particularité de confronter le créateur et sa créature. Je parlais hier pour "Do Not Disturb" du charme de l'inconnu dans les avant-premières, et des motifs qui peuvent me pousser à y aller ; pour "Elle s'appelle Ruby", pas besoin d'autres raisons que l'envie de voir ce que Jonathan Dayton et Valerie Faris allaient faire après "Little Miss Sunshine", dont j'annonçais il y a sept ans qu'il allait devenir culte, et ce n'est pas mon neveu qui me contredira !
    Le changement de tonalité entre les deux films est-il dû au changement de scénariste ? Délaissant Michael Arndt, Jonathan Dayton et Valerie Faris ont choisi Zoe Kazan (petite-fille d'Elia Kazan) qui joue aussi le rôle de Ruby et dont c'est le premier scénario. Elle a raconté que c'est la vision d'un mannequin gisant dans les rues de New York qui l'a renvoyée au mythe du sculpteur Pygmalion donnant vie à sa statue Galatée et qui lui a donné l'idée de cette histoire. Ce thème n'est pas nouveau, de Hermione dans "Le Conte d'hiver" de Shakespeare à "Frankenstein" de Mary Shelley, jusqu'à "My Fair Lady", évoqué par la vision sur un écran d'Audrey Hepburn dans "Sabrina".
    Calvin Weir-Fields est donc une sorte de J.D. Salinger qui accepterait de faire des conférences, et son rattachement aux clichés littéraires du siècle passé est symbolisé par son usage d'une machine à écrire Olympia, bien plus cinégénique que le Macbook qu'il achète à la fin. Victime du traumatisme de la page blanche, il va voir une autre figure du cinéma de la fin du siècle dernier, un psy joué par Eliott Gould, acteur qui incarna en son temps bon nombre de psychopathes. Sur ses conseils, il écrit une nouvelle où il donne vie à un personnage de ses rêves, sans se rendre compte du double sens de l'expression "donner vie".
    Le début du film, très sage, se traîne en longueur, entre des scènes d'exposition pour bien situer le dégré de coincitude de l'écrivain, et l'apparition de la créature qui ne donne pas davantage de rythme, la multiplication des scènes "Mon Dieu, j'y crois pas", seul ou avec son frère ne faisant qu'étirer un récit où il ne s'est rien passé d'autre que l'irruption d'un personnage de papier dans la vie de Calvin. La visite à la mère (Annette Bening), ex-housewife en polo devenue New Age au contact de son sculpteur de compagnon (Antonio Banderas) n'arrange rien, bien au contraire, tant on se vautre dans des situations et des personnages caricturaux empruntés à "Meet the Fockers", c'est dire la légèreté.
    Quand Ruby commence à vivre par elle-même, loin de la jeune femme rêvée qu'il a inventée, il tente de modifier son attitude en transgressant la règle qu'il s'était lui-même fixé, à savoir en décrivant sur sa machine le comportement qu'il souhaite retrouver. C'est cette partie la plus intéressante, à la fois par le potentiel comique qu'elle possède, l'exagération des qualités de soumission ou de bonheur de Ruby donnant quelques scènes où on retrouve l'énergie potache de "Little Miss Sunshine", mais aussi par la réflexion qu'elle induit sur la représentation fantasmée qu'on peut se faire de l'autre dans le couple, et qui ne correspond jamais à son attente et à son besoin.
    Malheureusement, ce dérèglement chaotique ne dure pas, et le récit rejoint vite les rails de la comédie romantique, avec une happy end qui efface toute la pertinence du propos. Dans le rôle de Calvin, le Lorànt Deutsch américain semble flotter dans son costume d'écrivain bien sage, loin de la fièvre inquiétante d'Eli Sunday dans " There will be blood" et Zoe Kazan, compagne dans la vie de Paul Dano, apparaît plus comme un double féminin de Calvin que comme une créature fantasmatique. Notons pour mémoire une curiosité : après la présence de Marcel Proust dans le scénario de "Little Miss Sunshine", c'est la B.O. qui fait référence à la France, avec Plastic Bertrand (Bon d'accord, il est belge), Sylvie Vartan (Bon d'accord, elle est Bulgare) et Holden. A mi-chemin entre la comédie romantique et la comédie tout court, "Elle s'appelle Ruby" ne trouve jamais son propre style et encore moins le rythme qui faisait la qualité de "Little Miss Sunshine", accident heureux ou "Attrape-Coeurs" du duo ?
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    On sort de ce film détendu et le sourire aux lèvres !
    Un vrai bonheur !
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