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    Les Flics ne dorment pas la nuit
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    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    514 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    C'est un film profond et grave qui ne peut laisser personne indiffèrent tant il est bien fait et tant il aborde lucidement la vie réelle des policiers de Los Angeles dans les années 1970. Nous avons d'ailleurs là l'explication de taux élevé de suicides qu'il existe dans cette profession plutôt méprisée, bien qu'indispensable au fonctionnement de nos grandes cités. Aucun reproche ne peut être fait et la mise en scène est à la hauteur des propos avec des scènes d'actions dans lesquelles rien ne nous est caché, il n'y a quasiment pas de zones obscures. Les deux héros, remarquables comédiens sont excellents, ils ne cherchent jamais à briller et se comportent simplement. The new centurions est un des films qui nous place le mieux devant la réalité que nous cherchons trop souvent à occulter. La vie est loin d'être idyllique et, jeune ou vieux, les problèmes changent mais demeurent, il faut constamment faire face. Les comportements de Kilvinsky et de Roy sont d'une grande richesse pour ceux qui les ressentent, nous quittons ici le cinéma pour la vraie vie. Ce drame terriblement pessimiste nous engage à rechercher d'autres façons de vivre que celles que l'on rencontre dans les métropoles.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2014
    A coup sûr, un des meilleurs films de Richard Fleischer. Un film noir qui plonge dans les coulisses de police de Los Angeles, allant au plus près du terrain, saisissant le quotidien et la vie de policiers laissés à l'abandon dans la capitale du crime désorganisé. Le résultat est saisissant, criant de vérité, porté par un George C. Scott au sommet de sa gloire. Du très grand cinéma bâti sur un scénario solide et une mise en scène nerveuse.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    Un film policier qui mise totalement sur le réalisme et le pessimisme, ne voulant pas faire dans les codes hollywoodiens classiques. Un parti-pris intéressant pour un résultat qui l'est un peu moins. George C. Scott est excellent en flic à l'approche de la retraite et donne à l'ensemble ses meilleurs moments ce qui fait que quand son personnage n'est plus là ça devient moins intéressant en dépit de la présence de Stacy Keach mais qui a un personnage qui ne parvient pas à être aussi fort. Le rythme inégal ne parvient pas à rattraper les choses.
    selenie
    selenie

    5 416 abonnés 6 011 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2017
    Pas de gros Parrain de la pègre ou de tueur en série ici mais juste le boulot quotidien de flics de base où le drame peut surgir plus simplement d'un différend familial ou d'un simple contrôle routier. Ce film, trop méconnu, a pourtant clairement influencé un genre qui offrira plus tard des films à la thématique similaire comme "Colors", "L'Elite de Brooklyn" ou encore "End of watch". Si routine il y a il faut se rappeler que c'est la routine qui tue. Une once d'humour nécessaire pour avaler les difficultés du job et pourtant un fort pessimisme empreint de fatalité hante le film. A voir et à conseiller.
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2012
    Peut-être moins passionnant et percutant que l'on ne pouvait espérer, cette plongée réaliste dans le quotidien de la police vaut le détour. Au risque d'apparaître parfois un peu banal, Richard Fleischer refuse le spectaculaire pour nous offrir un film à forte dimension humaine, sans héroïsme à deux balles et où les personnages sont constamment crédibles, que ce soit dans leur vie de famille ou leur espoirs. On préférera toutefois la seconde partie, tant la tournure relativement pessimiste qu'elle prend permet à l'oeuvre de nous intéresser encore plus aux événements, d'autant que certaines scènes font forte impression. Pas de quoi crier au génie donc, mais un témoignage convaincant sur la police, ni idéalisé ni assombri, réalisé avec talent et joué avec conviction : un bon cru.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Après avoir vu "Les Flics ne dorment pas la nuit", il est sûr et certain que la manière de percevoir le métier de policier va changer. En effet, le film de Richard Fleischer est tellement noir et pessimiste que l'on en vient à être quelque peu versatile. Le cinéaste nous montre le quotidien des flics de Los Angeles qui patrouillent aussi bien de jour que de nuit et qui font la chasse aux prostituées, au macs et autres délinquants. Film basé sur le démonstratif, "Les Flics ne dorment pas la nuit" a aussi un caractère psychologique. Pour preuve, on assiste à la dépression et à la tombée progressive dans l'alcoolisme de cet étudiant qui était tellement enthousiaste. Après des début en fanfare, le retour à la réalité et la rentrée dans le rang peut être très dure à encaisser. Mais il y a un énorme problème: après le retrait du personnage de George C. Scott qui est d'ailleurs toujours aussi excellent et charismatique, le film devient nettement moins bon et Stacy Keach ne peut combler le vide laissé par l'absence de Scott. Dommage, il y avait matière à faire mieux...
    Estonius
    Estonius

    2 448 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juin 2018
    Fleischer est un cinéaste surdoué, son problème c'est qu'on ne l'a jamais considéré comme un auteur, il est donc obligé de faire avec des scénarios qui sont parfois très bons, parfois moins bons et parfois bizarres, comme ici : on nous clame que c'est un film montrant la vie des patrouilles policières de nuit avec réalisme, j'invite ceux qui n'ont que ce mot de réalisme à la bouche à revoir la scène spoiler: où une junkie traine un policier coincé à l'extérieur de sa portière et qui s'en sort avec juste avec des égratignures ou dans un autre genre celle du divorce express
    .. Le personnage jouée par George C. Scott est imprévisible, un jour il fait une arrestation au faciès, le lendemain il prend le parti des clandestins contre les marchand de sommeil, je veux bien croire qu'il y ait des personnages complexes mais à ce point faut pas pousser non plus… par ailleurs le film n'ayant ni enjeu, ni véritable fil conducteur on s'y ennuie pas mal.
    globi C.
    globi C.

    8 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2016
    Un film qui se veut réaliste sur le métier de simple flic dans les quartiers pauvres Los Angeles. Du policier qui ne vit que pour son métier à celui qui le fait juste pour l'alimentaire. Le film est plutôt bien réalisé avec quelques bons acteurs on retrouve même Pontcherello avant qu'il ne passe le permis moto. Cependant l'ensemble a vieilli et il manque un fil rouge pour maintenir un peu plus l'intérêt. Le réalisateur a bien essayé de s'intéresser plus particulièrement à deux flics mais cela arrive un peu tardivement et trop timidement
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2018
    Un film dur et puissant qui laisse peu de place à l'optimisme, mais qui nous offre un très bon moment de cinéma.
    AMCHI
    AMCHI

    5 014 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2013
    Fleischer aborde le quotidien des patrouilleurs de la police de L.A. de manière pessimiste même si deci delà il se permet des instants plus légers (avec les prostituées ou encore l'homosexuel interpellé) ; je trouve que Les Flics ne dorment pas la nuit a plutôt bien vieilli sans temps mort ce polar réaliste se suit sans jamais s'ennuyer. Les flics sont attachants et on découvre le côté peu reluisant de leur boulot, un Fleischer qui serait dommage de négliger dans son filmographie même s'il manque le truc pour faire de Les Flics ne dorment pas la nuit un film vraiment marquant mais c'est bien mené et les quelques scènes de fusillades sont efficaces.
    Y Leca
    Y Leca

    20 abonnés 903 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2021
    La dure vie des flics de LA la nuit. Hyper réaliste et très déprimant en ce qui concerne son impact sur leur vie de famille, leur santé mentale et physique.Ne donne pas envie de devenir Starsky ou Hutch. Le titre français est ridicule.
    cylon86
    cylon86

    2 247 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Relativement méconnu dans la vaste filmographie de Richard Fleischer, ''Les Flics ne dorment pas la nuit'' est pourtant un grand film, chronique désabusée du quotidien des policiers de Los Angeles. Quotidien retranscrit ici avec un sens du détail particulièrement soigné et ce d'autant plus que le film s'inspire d'un roman d'un ancien policier et que l'on sent que chaque scène regorge de détails qui ont été vécus par l'auteur du roman ou par ses collègues. Maniant l'ellipse pour mieux nous happer dans le temps et la durée, ''Les Flics ne dorment pas la nuit'' nous conte le parcours de Roy Fehler (Stacy Keach, à l'interprétation fiévreuse), jeune flic qui s'engage tellement dans son métier qu'il s'y perd pendant longtemps. Ayant été formé auprès du vieux briscard Kilvinski (George C. Scott, impérial) qui a construit sa carrière selon sa propre loi et à qui la retraite ne réussira pas, Fehler est un homme découvrant les horreurs de son métier, faisant face aux coupables comme aux victimes ainsi qu'aux aléas de la vie qui font qu'on peut se faire tuer en service simplement en se penchant à la vitre d'une voiture. Retranscrivant parfaitement ce quotidien chaotique et imprévisible, le film distille un pessimiste assez angoissant mais n'en demeure pas moins parfois un peu plus léger, la mélancolie et l'espoir planant de temps en temps au-dessus de ce monde brutal que seuls les policiers semblent pouvoir comprendre sans pour autant parvenir à faire quoi que ce soit pour vraiment empêcher la noirceur humaine de tomber sur autrui. Avec une mise en scène au cordeau et d'impeccables interprètes, ''Les Flics ne dorment pas la nuit'', sorti un an après ''French Connection'' vient compléter le film de Friedkin dans sa description réaliste d'un monde sans pitié où il n'y a pas de loi qui tiennent, si ce n'est celle de Murphy. Ou de Kilvinski.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Richard Fleischer avec quelques autres comme Robert Wise, Franklin Schaffner, Robert Aldrich ou Mark Robson fait partie des réalisateurs dont la reconnaissance aura été tardive en raison principalement de leur positionnement générationnel. Coincés entre les grands anciens de l'âge d'or d'Hollywood venus pour certains du muet (John Ford, Michael Curtiz, Howard Hawks, Billy Wilder, Raoul Walsh,...) et la nouvelle génération biberonnée à l'Actor's Studio (Sidney Lumet, Sydney Pollack, Martin Ritt, Arthur Penn,...) qui assurera la transition avec ceux du nouvel Hollywood (Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Brian de Palma,..), ils ont dû œuvrer dans le système des studios alors que ceux-ci subissaient les premiers coups de boutoir de la concurrence télévisuelle. Leur formation classique où les échelons menant jusqu'à la réalisation se gravissaient par l'apprentissage de différents métiers au sein des studios, les a donc préparés à un très grand éclectisme comme en fera preuve pendant plus de quarante ans Richard Fleischer, fils de Max Fleischer un des pionniers de l'animation, célèbre producteur de Popeye et de Betty Boop. Rapidement devenu un spécialiste du film de genre notamment du film noir qui était très en vogue à ses débuts en 1946 ("Bodyguard", " Armored Car Robbery", "L'énigme du Chicago Express"), Fleischer enchaîne westerns, péplums, films de science-fiction, d'aventure et comédies. Cette grande faculté d'adaptation qui n'a jamais sacrifié la qualité lui vaudra comme à Robert Wise le qualificatif un peu péjoratif de "bon faiseur". Les critiques pour définir en tant qu'artiste un réalisateur aiment en effet trouver dans son œuvre une ligne directrice claire ce qu'ils ont eu bien du mal à discerner dans la filmographie foisonnante de Richard Fleischer (52 films). Celle-ci est pourtant parsemée de pépites rarement reconnues en leur temps hormis "L'étrangleur de Boston" en 1969 qui proposait une image à front renversé du rôle de dilettante sympathique que tenait jusque-là Tony Curtis. En 1972, le réalisateur est un peu au creux de la vague, "Tora ! Tora ! Tora!" tourné en 1970 ayant été un fiasco financier faisant suite aux échecs de "Barabbas" (1962) et de "L'étrange docteur Dolittle" (1967), autres films ambitieux. Il se lance donc dans une série de films à petits budgets retrouvant ainsi l'énergie de ses débuts. "Les flics ne dorment pas la nuit", sa deuxième collaboration avec George G. Scott ("Les complices de la dernière chance" en 1971) est en réalité la chronique d'une brigade de flics de Los Angeles où se côtoient trois générations. La description au son du clairon de l'entrainement quasi-militaire des futures recrues ouvre le film. Un incipit qui en dit long sur le décalage entre la théorie et le quotidien beaucoup plus banal et anecdotique qui attend Roy (Stacy Keach), Gus (Scott Wilson) et Sergio (Erik Estrada), trois nouveaux promus débarquant dans un commissariat de Los Angeles où il sont aussitôt confiés à des plus anciens pour transmission du savoir, des pratiques et des valeurs. Roy ancien étudiant en droit qui ambitionne de monter rapidement dans la hiérarchie fait équipe avec Kilvinski (George G. Scott) flic blanchi sous le harnais pour qui le travail semble tenir lieu de béquille à une vie personnelle en déshérence alors que sonne bientôt l'heure de la retraite. Le scénario qui adapte un roman récent de Joseph Wambaugh ("The new Centurions"), écrivain alors encore en poste comme simple policier à L.A est principalement introspectif, déjouant tous les codes habituels du film policier. Ainsi pas d'intrigue suivie de bout en bout destinée à valoriser le courage de flics sortant du rang mais plus prosaïquement la litanie des interventions quotidiennes d'agents chargés de faire régner un semblant d'ordre en jouant le plus souvent un rôle de médiateurs comme lors d'une intervention relevant de la routine où il leur faut séparer un couple habitué aux explications violentes et alcoolisées en les incitant à jouer la scène du divorce la main portée sur l'insigne du policier de faction. Dur apprentissage de la réalité pour ces trois jeunes flics qui découvrent que le danger bien présent est principalement sournois, survenant presque toujours au moment où l'on ne l'attend pas. C'est ainsi que certains comme Kilvinski se sont édictés leurs propres lois, préceptes de bon sens pour tenter de parvenir sain et sauf à la retraite. Objectif un peu dérisoire de toute une carrière qui se révèle rarement salvateur pour le policier en bout de course ayant le plus souvent largué toutes les amarres avant ce stade ultime. C'est donc à la fin de la journée devant un café, une bière ou un sandwich que ces hommes désarmés face à la vacuité de leur mission prennent ensemble le recul nécessaire pour continuer à accepter de vivre avec la mort qui rôde comme le leur rappelle chaque matin le passage dans le couloir où sont accrochés les portraits de leurs frères d'armes tombés dans les rues de la grande cité. Triste sort en vérité que celui des policiers dont personne d'autre qu'eux-mêmes ne peut comprendre ce sacerdoce mal rémunéré qui les éloigne de leur famille, amenant les plus faibles à se laisser corrompre pour sortir de cette condition peu valorisante hormis sur les écrans de cinéma. C'est ce vague à l'âme souvent tu que Richard Fleischer rend admirablement dans ce film humaniste qui constitue sans doute son travail le plus abouti, parvenant à saisir le grand George Scott et Stacy Keach dans toute leur humanité. Humaniste mais aussi politique, le film se termine par une allusion directe aux émeutes raciales de Watts qui enflammèrent Los Angeles en août 1965, symbole selon Fleischer d'une plaie qui n'est pas prêt de se refermer. On en a malheureusement la confirmation dans l'Amérique du XXIème siècle. A noter la musique de Quincy Jones.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 981 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mai 2018
    Du cinéma qui nous plonge dans un univers très dur, surement très réaliste sur le quotidien des policiers des grandes cités. Malgré l'humour qui sert de soupape, c'est le portrait de personnages dévorés par leurs métiers, qui passent d'idéaliste à au pire cynique, en quelques années, quand ils ne viennent pas à l'idée de se transformer en ange exterminateur. Des erreurs aux conséquences parfois dramatiques, des arrangements avec la population en passant par un maximum de psychologie car c'est cela avant leur travail pour apporter la quiétude dans les grande métropoles, calmer les relations conflictuelles, gérer les injustices, et veiller au danger qui peut survenir . C'est donc plutot un hommage à ce métier indispensable La mise en scène est très précise, de la direction des acteurs aux décors de la ville. Une oeuvre très sombre mais pleine de coeur.
    this is my movies
    this is my movies

    616 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2016
    L'un des meilleurs film sur le métier de policier, une véritable référence aux USA et dont certaines péripéties se retrouvent au gré de quelques séries du genre. Adapté d'un livre écrit par un ancien flic, le scénario est toutefois une fiction parsemé d'anecdotes qui révèle toute la complexité et la dureté du métier de flic dans les rues. Le vétéran R. Fleischer en profite pour faire un film âpre, dur et violent, sans concession et porté par des acteurs absolument magnifique, la légende G. C. Scott en tête. Le look du film est intemporel malgré quelques traits caractéristiques de l'époque et on ne s'ennuie pas. Un très grand film, un incontournable du genre et une référence. D'autres critiques sur
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