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    L'Ombre des femmes
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    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Un film très court, tourné dans l'ordre chronologique en seulement 21 jours. Visiblement, une seule prise pour chaque scène, empêche tout droit à l'erreur. "… C’est toujours fondamentalement ce qui se passe au tournage, c’est là que tout se joue vraiment" déclare le réalisateur

    Un budget minimal qui est "la contrepartie d’une totale liberté" avoue Philippe Garrel.

    Le scénario explore l'usure de la vie d'un couple et ses relations extra conjugales. L'ensemble est tourné dans des décors sinistres. Le portrait des hommes n'est guère flatteur. Les femmes semblent rester beaucoup plus perspicaces.

    Tourné en noir et blanc la photographie de Renato Berta reste lumineuse et absolument magnifique. Une voix off, inutile, vient ponctuer ce que nous voyons à l'écran ou ce qu'il n'était pas difficile de comprendre.

    Rien de très nouveau dans le propos et malgré une certaine noirceur, ce film apporte une nouveauté dans tout ce qui a déjà été fait grâce essentiellement à une écriture très personnelle et un Paris loin de tous clichés.
    Dandure
    Dandure

    151 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Attention cet avis contient des spoilers tels que : spoiler: Il doit falloir tourner drôlement tôt à Paris pour dénicher des grands boulevards aussi peu peuplés.
    L'histoire est banale : un adultère. Mais avec ses décors humbles, une voix OFF qui souligne la simplicité des situations, une incarnation sobre d'archétypes féminin et masculin, le choix du noir & blanc, le réalisateur touche à l'essentiel et signe un conte intemporel. Moralité : on peut surfer sur une ancienne nouvelle vague sans se noyer dans le passé.
    nathaliewell
    nathaliewell

    19 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 juin 2015
    Pourquoi je m'obstine à aller en salle voir les films de Philippe Garrel ? J’espère à chaque fois être surprise, touchée, émue, mais je sors immanquablement de la salle avec toujours ce même sentiment d’ennui. Filmé avec des plans qui ressemblent à des images d'amateur avec une camera sur l'épaule. Épaule qui tremble et qui donne toujours, dans tous ses films, un mauvais résultat. Et puis le noir & blanc, toujours. A force on se demande pourquoi ? Et puis toujours la voix off qui doit expliquer au spectateur ce qui ce passe. Ou bien il prend les spectateurs pour des imbéciles, ou bien il ne sait pas écrire un scenario ni même le mettre en scène ?! Si L'ombre des femmes n'est pas le plus mauvais de ses films, c'est uniquement grâce au jeu d'actrice de Clotilde Courau. Sans être la prestation de l'année non plus, elle réussit, elle, à ne pas m'endormir et c'est bien la première fois que je ne m'endors pas dans mon fauteuil en regardant un film de Philippe Garrel tant son cinéma est soporifique ! Une fois de plus les dialogues sont si pauvres, qu'ils en paraissent absents. Une fois de plus il semble ne pas avoir de scenario.Philippe Garrel et son coté je me là joue Truffaut commence vraiment à saouler tant chacun de ses films sont mauvais, ennuyeux et sans intérêt !Il est reconnu pour être un metteur en scène qui ne fait qu'une seule prise et le petit monde d'intellos trouve ça génial ! Ouais bon, ben Philippe, vous savez quoi ? Ne vous prenez même plus la tête à filmer la scène qu'une seule fois ! Ne filmez plus du tout ! Ce sera bien mieux pour tout le monde !Vos films sont tellement prétentieusement mauvais, et ce à chaque fois que je ne m'obstinerai plus à aller voir un de vos films,si tant est que vos petites projections d'1h15 soient des films ! Je serai curieuse de lire un de vos scénarios. 50 pages, ça doit se lire vite !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Ce nouveau film est peut-être le plus féministe de son auteur. Cette "ombre des femmes" est la place qu'on leur accorde traditionnellement, dans le cinéma comme dans les relations amoureuses. Marie est l'assistante (monteuse, scripte) de Pierre dans la réalisation de ses documentaires, elle vit dans son ombre, en "grande amoureuse", ne considérant pas son dévouement comme un sacrifice mais comme un acte d'amour. (...) Stanislas Merhar, trop rare, est épatant, et Clotilde Courau tient là son plus beau rôle, elle qui s'est mise à l'écart du cinéma depuis son mariage princier, un peu comme l'héroïne du film en somme. (...) Subtilement, Garrel abat tous les clichés du machisme ordinaire, sans entrer dans la grande démonstration. (...) L'ultime plan est d'une beauté inouïe et solaire comme jamais dans le cinéma de Garrel, qui signe un de ses plus beaux films.

    LA SUITE :
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2015
    Un film intense dont les acteurs sont au sommet. L'histoire, très simple, est filmée avec une grande justesse et un dépouillement qui rappelle les premiers films de la Nouvelle Vague. Les dialogues, co-écrits avec J-J Carrière, sont très beaux. Le seul petit bémol est le point de vue parfois trop masculin : l'idée que l'homme peut tromper mais pas la femme est franchement idiote et on voit un peu trop les femmes faire la vaisselle et à manger... Mais bon, c'est bien d'une femme dont on se souvient au final ; c'est elle qui domine le film.
    Fritz L
    Fritz L

    162 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2015
    La plus grande force de « L’ombre des femmes » est sans doute sa durée. Suffisante pour exprimer, en jeu de miroirs, sa perception sur la fidélité d’un cinéaste exigeant et savamment étudiée pour ne pas lasser le spectateur. Garrel fait place nette dans sa mise en scène, ne retenant que le sensitif pour ce trio adultérin pourtant classique. Cet ascétisme visuel laisse s’exprimer les corps, bien plus que les émotions, souligne également le dénuement des protagonistes tant matériel que sentimental. La voix of quant à elle, ne fait que confirmer, du bout des lèvres de Louis Garrel, nos impressions. Le scénario et les dialogues sont précis et incisifs, proche d’une certaine théâtralité contrariée fort heureusement par la lumière de Renato Berta (dont le travail extraordinaire de noirs et de blancs contrastés se rapproche du « Rendez-vous » de Téchiné), le son et la musique (Aubert des grands jours) jouent aussi un rôle primordial, insufflant au film le vérisme de la situation. Car il s’agit bien de cela, l’infidélité porte ici plusieurs masques, elle tient au couple mais également à l’individu dans sa perception des et par les autres, Pierre et Manon autant en perte de désir que de confiance et se jouent l’un de l’autre. Pierre, c’est Stanislas Mehrar qui, d’un rôle très ingrat, se révèle avec beaucoup de finesse dans le détachement ou le désabusement. Manon est interprétée par Clothilde Courau, et c’est elle qui emporte les suffrages de l’émotion tant son jeu est précis et juste. Elle exprime vraiment un talent que l’on ne lui connaissait pas jusque là, cantonnée dans des rôles hystérico-comiques (parfois même à son insu). Mais l’esthétique beauté de l’ensemble et ses interprètes impeccables, ne viennent pas pour autant combler totalement la distance posée par Garrel entre le spectateur et lui, une véritable constance dans son cinéma. Sa manière d’appréhender son sujet et de le filmer, à la manière « Nouvelle vague » (on pense à « La peau douce » de Truffaut) dégage une certaine froideur, une distance qui gênera sans doute plus d’un spectateur. Pour ma part, j’ai beaucoup apprécié, peut-être par le fait que ce film là est moins « oppressant » que les précédents. Plus certainement parce que j’ai été touché par l’histoire de ce couple si banale et si admirable en même temps. Une jolie mélodie de vie qui fait appel aux paroles de la chanson de Pierre Barouh pour « Un homme et une femme », à l’ombre de Manon et Pierre restera toujours un goût d’éternité, au nom de leur amour, une ombre va rester…
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2015
    Présenté cette année à la Quinzaine des Réalisateurs Philippe Garrel poursuit son exploration des complexités amoureuses dans son style devenu le sien depuis un moment avec un Noir et Blanc stylisé qui nous ramène indéniablement dans les années 60 de la Nouvelle Vague. On est un peu agacé par une voix Off qui ne sert que des évidences. Par contre le casting n'est peut-être pas parfait. Mais ça reste un joli film, bien vu sur le comment du pourquoi de l'infidélité et surtout sur des conséquences parfois plus dramatiques que les causes.
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Il est parfois difficile de comprendre les critiques dithyrambiques de la critique envers des films d’auteur français terriblement intellos… Et ici on nage en plein dedans : noir et blanc, discussions sur l’amour, trois personnages, pas d’action, … Le genre de film qui plaira certainement et uniquement à une élite de cinéphiles courageux.
    Cependant « L’Ombre des femmes » de Philippe Garrel est tout à fait regardable et ne manque pas d’intérêt à défaut d’être totalement renversant et inoubliable. D’abord parce qu’il dissèque le sentiment amoureux de la plus belle des manières et de façon simple et concise. Le film a le mérite d’être extrêmement court (à peine une heure et quinze minutes !) mais d’aller droit au but. Tout sonne vrai que ce soit dans les dialogues et les situations. On reconnait bien là dans ce classique triangle amoureux, voire carré amoureux, les hésitations des hommes et des femmes en proie à l’amour, ses contradictions, ses jalousies et ses déceptions. Et, fait rare, la lâcheté et les paradoxes de l’homme sont bien mis en avant.
    L’interprétation est également pour beaucoup dans la réussite et la véracité des passions évoquées. Le trop rare Stanislas Mehrar, tout en sobriété et non-dits, campe un homme amoureux mais lâche avec beaucoup de succès. Quant à Clotilde Courau qu’on n’avait pas vue depuis longtemps au cinéma, elle est particulièrement émouvante dans un rôle difficile. On sera plus réservé envers l’objet du désir et de l’adultère, incarné par Lena Paugam, qui manque de mystère et de glamour. Un film très bourgeois et déjà-vu mais dont la synthèse du couple et de ses tourments inspire le respect pour un sujet si rebattu. Et on ne peut nier la beauté glacée du noir et blanc, certes accessoire, mais esthétiquement probante.
    velocio
    velocio

    1 163 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2015
    Mais qu'est-ce qui m'a pris d'aller voir ce film de Philippe Garrel ? Depuis le temps, je devrais savoir que son cinéma n'est pas fait pour moi, que je m'y ennuie profondément et qu'il ne m'apporte rien. "L'ombre des femmes" n'est pas pire que les précédents et j'ai même réussi à trouver 2 ou 3 scènes assez réussies, ce qui doit faire 8 minutes en tout sur une durée totale de 1 h 13 minutes. Mais quand même : une manière de filmer qui est une véritable caricature de ce qui se fait de pire dans le cinéma français se voulant intello ; un scénario sur des histoires d'adultère d'une banalité à pleurer, déjà vu 36 000 fois ; un noir et blanc très loin d'être somptueux ; des dialogues que je n'ose même pas évoquer (Allez ci, on donne un exemple : "qu'est ce qui est le pire, pisser où on prend sa douche ou prendre sa douche là où on pisse ?") ; un acteur principal, Stanislas Merhar, totalement inexpressif ; c'est un peu mieux du côté des femmes, surtout Vimala Pons, mais elle n'a qu'un tout petit rôle.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2015
    J'apprécie assez le travail de Garrel (celui du milieu), et il nous sort là un film tout simple et pourtant assez beau (je ne devrais pas dire pourtant, mais "donc") dans la lignée de la jalousie. Alors j'avoue préférer lorsqu'il tourne avec son fils parce que le jeu de Louis Garrel colle bien au cinéma de son père, il y a une osmose, peut-être à cause du lien parental entre les deux. Osmose que je n'ai pas ressentie ici.

    En fait le bémol que je mettrai au film, qui est sans doute la seule chose que j'irai reprocher au film, mais qui fait que l'on n'est pas en face d'un vrai grand film, mais juste d'un bon film (comme la plupart des autres films de Garrel que j'ai pu voir), c'est les acteurs, alors on a toujours ce jeu un peu "faux" si j'ose dire chez Garrel, quelque chose qui te montre qu'on n'est pas dans la réalité, cependant ça ne marche pas aussi bien que chez Bresson ou que dans la Nouvelle Vague, mais cette fois je les trouve un peu moins convainquant, sans doute car je ne suis pas un grand amateur de Clotilde Courau et que je n'arrive pas à l'oublier dans son personnage. Là où par exemple Louis Garrel se fait oublier, vu qu'il joue toujours un peu le même genre de rôle, ça permet d'y croire, tout simplement.

    Après je trouve Vimala Pons toujours aussi sublime, divine et magnifique ! Et quelque part je trouve ça bien qu'elle ait ce petit rôle, le rôle de l'amie de Courau, parce que si elle avait joué la maîtresse du héros, je n'y aurai pas cru, tu ne peux pas être avec Pons et hésiter avec Courau, ce n'est pas possible, humainement, physiquement. Je sais que les gens font des choses absurdes.

    Il y a des partis pris que je trouve vraiment excellent, notamment une ellipse à la fin, je n'en dis pas plus et on a une révélation au détour d'un dialogue... Un personnage si peu important qu'il n'a même pas droit à une porte de sortie digne, contrairement à un autre qui en a eu une un peu plus tôt dans le film. Et ça veut tout dire sur la relation du personnage avec le héros, comme si ce personnage de comptait pas, comme s'il n'avait jamais compté.

    C'est ça qui est beau et triste... Les personnes pour qui on compte et qui ne compte pas pour nous. D'ailleurs si le film n'est pas traité de manière réaliste dans le jeu des acteurs ça ne l'empêche pas d'être vrai.

    J'aime beaucoup la scène où le héros offre des fleurs à sa femme et là je me suis dit : "ah, mec tu es entrain de te griller, des fleurs, c'est que tu as quelque chose à te faire pardonner" et ça ne manque pas, mais ce qui est habile c'est que ça ne tourne pas comme on aurait pu le prévoir, le personnage de Courau étant soit bien plus fin, soit bien plus naïve que ça (sans doute naïve).

    Si sur le papier ça fait un peu caricature de film d'auteur, ça n'en est pas moins un bon film, d'autant plus que j'aime beaucoup la durée, à peine plus d'une heure, tout est dit, il n'y a rien à ajouter, rien à jeter, on arrive à une sorte de durée parfaite, quelque chose de simple, mais où on ne va pas tirer en longueur pour le plaisir de tirer en longueur, c'est concis et arriver à ça, à ce niveau d'épure, c'est vraiment pas mal !

    Vraiment sympa donc et je pense que la plupart des hommes pourront se reconnaître dans le personnage du héros qui est assez bien écrit (mais dont la gueule ne me revient pas, avec son petit air blasé).
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Après Un été brulant, je ne pensais plus jamais revoir un film de Philippe Garrel. Mais la bande-annonce de L'ombre des femmes m'a intrigué. Et puis j'apprécie Clotilde Courau et gardais un bon souvenir de Stanilas Merhar dans Nettoyage à sec. Il a pris, comme nous tous, un petit coup de vieux, et je ne l'ai pas trouvé très convaincant ici. Par contre, la princesse elle, est vraiment très bien. Plus à l'aise dans ce genre de film que dans un navet comme Babysitting. Mention bien aussi pour la très jolie Vimala Pons (mais le rôle est malheureusement bien court) et pour Lena Paugam, dont c'est la première apparition au cinéma. Quant au film, malgré sa courte durée (1h13), il nous parle de désir, de couple, de jalousie et, plus simplement, d'amour avec une certaine densité et une belle profondeur. Un peu gêné au début par le jeu des acteurs et des dialogues qui me paraissaient sonner creux, l'élégance de la mise en scène et la beauté des images noir et blanc du chevronné Renato Berta (et la belle musique de Jean-Louis Aubert) ont très vite rendu l'ensemble attachant, voir fascinant. Un petite surprise inattendue donc, pour un beau film.
    bsalvert
    bsalvert

    319 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 janvier 2016
    un film lent et qui nous enfonce dans un quotidien que nous en voudrions pas vivre et du coup nous plombe la journée.
    PLV : aux fans de Truffaut avec tous ces films sans rebondissements
    jaja77
    jaja77

    57 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2015
    pas un mauvais film mais pas non plus extra. plutôt pas mal, une histoire simple sans originalité mais bien construit par la bonne interprétation des acteurs puis de bonne images tournées en noir en blanc qui donne une profondeur au film ce qui rattrapes la banalité du scénario.
    missfanfan
    missfanfan

    74 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2015
    Film assez original qui sans être un chef d'oeuvre se laisse regarder les acteurs sont bons ça fait plaisir de revoir le trop rare Stanislas Merhar et finalement le noir est blanc va bien au film ( j'avais un peu peur )
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    55 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Je n’ai pas du tout été sensible à cette histoire. Il est question d’un couple, Pierre et Manon. Pierre prend une maitresse, Manon a elle aussi un amant et l’on assiste aux conséquences. Je reconnais que les interactions qu’il peut y avoir au sein d’un couple paraissent très réalistes. De plus, la manière dont les événements sont vécus par Manon et Pierre et les représentations qu’ils en ont doivent plutôt bien refléter notre société. Mais était-il nécessaire de consacrer un film à cela ? La réalisation très sobre ne m’a pas permis de m’y immerger davantage.
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