Derniers Avis sur L'Astragale

ce sont ces "acteurs" nouvelle génération qui mâchouillent leur texte et donc on perd les trois-quarts des dialogues mais bon, le niveau de l'histoire étant largement en dessous de la ceinture, ce n'est pas très grave !

Le noir et blanc du film qui cherche à nous faire plonger dans l'ambiance de ces années là ne réussit pas à nous sortir de l'ennui terrible ressenti.
Il ne se passe rien..
C'est pourtant une histoire vraie qui aurait pu être exploitée en profondeur.
Un vide sidéral s'est emparé de moi lors du visionnage de ce film.

Une très belle maîtrise du noir et blanc qui rappelle les plus grands films. Mais le scénario est mal ficelé, le montage aussi, et la bande son un désastre, on perd la moitié des dialogues , susurrés, mal enregistrés.On ne croit pas du tout à Leila Bekhti dans son rôle de prostituée, de petite frappe , elle est trop lisse, aucune fêlure en elle .Très mauvais casting. Elle joue à côté dur rôle. On s'ennuie très vite, il ya un manque de rythme certain. n'ayant pas lu le ivre , il m'est difficile d'avoir la référence exacte. Mais en tout cas cet opus est soporifique.

Superbe rôle pour Leila Bekhti, dans une œuvre élégante et sensible à l'image léchée notamment grâce à sa photographie en noir et blanc.

ll s'agit de la deuxième version en film du best-seller d'Albertine Sarrazin près d'un demi-siècle après l'effort de Guy Casaril avec Marlène Jobert et Horst Buchholz. Généralement les premières versions françaises sont filmées en noir et blanc et leur remake en couleur. Curieusement c'est l'inverse en ce qui concerne l'Astragale. Une amélioration par rapport à la première version ?. Oui et non. La mauvaise réputation de Guy Casaril va à son encontre et ternit son L'Astragale qui est pourtant saluée par la critique en 1969 et un grand succès qui faire connaître Marlène Jobert. La version de Brigitte Sy a une superbe réalisation en noir et blanc, poétique (regardant du côté des années 30 Réalisme Poétique) et il en va de même pour le scénario, les dialogues sont, tour à tour de l'argot parisien ou des phrases très maniérées avec un vocabulaire bien choisi ce qui a du sens car Sarrazin avait son baccalauréat (diplôme d'études secondaires ce qui n'était pas habituel à l'époque principalement pour une fille). Dans cette version Leïla Behkti ne fait pas oublier Marlène Jobert et Reta Kateb se trompe dans le rôle de Julien. Leur histoire d'amour devait se terminer tragiquement en 1967 quand Albertine est décédée par négligence dans un hôpital. Cette version oublie un point essentiel, le parcours de Sarrazin qui ressemble à un mélodrame. L'attitude de défi de Sarrazin contre la société bourgeoise, contre la répression sexuelle (elle a osé embrasser une fille sur la bouche en prison), elle est la première femme qui a raconté ses années de prostitution, tout cela est passé sous silence dans les efforts de Brigitte Sy. Il faut suivre le livre comme un chien (à commencer par l'évasion d'Albertine de prison et sa rencontre avec Julien). Car il ne suffit pas d'avoir affaire à un personnage Reda Kateb au physique racé. Le livre de Sarrazin n'était pas largement diffusé à l'époque rebelle de la fin des années 60. Les lecteurs de l'écrivaine peuvent jeter un coup d'œil. Ce n'est pas un mauvais film du tous mais certains peuvent le trouver un peu vieux jeu...

L’histoire de cette femme tragique est intrigante, la galère de sa vie raconte ses périples, la fin est touchante.

« C'est plus facile de tuer un corps, qu'un souvenir ! » D'après un roman autobiographique d'Albertine Sarrazin, "L'astragale" est un petit os du pied lègèrement surestimè! Histoire d'amour et de cavale entre une èvadèe de prison et un mauvais garçon! spoiler: Dans ce film, Leïla Bekhti a mis un pied bloquè dans la vie d'un voyou incarnè par Reda Kateb! Un os qu'Albertine se brise en s'èvadant de prison! Julien la recueille, la soigne, la cache! ils s'aiment mais c'est un voyou, et elle, une rebelle en fuite! Des amours en fuite ? Des amours hors-la-lois plutôt! Tout la surprend, tout l'intrigue et elle se fiche de souffrir quand elle fait le tapin à la sauvette!
Bekhti (mèdiocre, une fois de plus) ne transcende jamais l'histoire et la vie hors du commun d'Albertine Sarrazin! On a beaucoup d'admiration pour un personnage dont la vie a ètè particulièrement difficile! il est fort dommage qu'il ne se passe rien artistiquement parlant car l'affiche donnait vraiment envie! Restent heureusement la maîtrise du noir et blanc, la qualitè des dialogues et la prestation impeccable (quoi qu'un peu courte) de Kateb! On notera que cette version 2015 a dèjà ètè portèe à l'ècran par Guy Casaril en 68, avec Marlène Jobert et Horst Buchholz...

Une belle histoire d'amour mise en scène par Brigitte Sy qui confirme après son excellent "Les Mains Libres" en 2010. Filmé dans un magnifique noir et blanc qui colle parfaitement à cette histoire d'amour compliquée entre cette jeune femme en cavale interprétée par une magnifique Leila Bekhti et le toujours excellent Reda Kateb, on rentre facilement dans le film qui pourtant manque un peu de rythme. Grâce à sa mise en scène toute simple, Brigitte Sy a su parfaitement mettre en valeur les deux acteurs pour les rendre de suite attachants. C'est simple, c'est beau, c'est bien joué... Que demander de plus ?!?! Personnellement, mes attentes sont totalement comblées !

"L'astragale" est une histoire d'amour originale au cœur de cette France d'antan, mis en valeur par un duo de qualité (je n'aurais pas pensé relever la prestation de Leïla Bekhti, aussi désagréable soit-elle), une réalisation soignée (dotée d'un noir et blanc loin d'être désagréable), et un scénario tout autant appréciable. Un film qui comble notre soirée, mais qui ne restera pas pour autant bien longtemps dans nos mémoires.

un film lent porté par des acteurs qui se donnent à fond, mais dont le rendu peine à accrocher le spectateur.
PLV : vous ne le verrez pas deux fois

Si le noir et blanc confère à l'oeuvre une certaine classe et lui apporte une dimension relative à une époque difficile, le rythme peu soutenu du film de Brigitte Sy fait que nous ne somme pas spécialement emporté. C'est dommage vu la très bonne interprétation d'ensemble du casting.

En 2015, il y eu le fils, le père. Je demande désormais la mère, quelle famille ! Surtout que, les 3 films sont exquis (Les deux amis, L'ombre des femmes). Femme, donc, de ce foyer foisonnant d'inventivité, choisit, comme le mari, le noir et blanc. Sous le ton d'une adaptation enflammée, le rôle d'Albertine, prénom aussi désuet que garçon manqué, porté par la sublime Leïla Bekhti. Oui, sublime car on ne voit qu'elle. Transperçant l'écran, se réinventant sur chaque scène, tapant toujours où on s'y attend pas. A ce titre, je vous conseil fortement "Nous trois ou rien", ou là encore elle brillait de mille feux. L'astragale est donc, un petit os du pied. Dommage, car en regardant l'actrice, on aurait plutôt signé pour l'appellation d'un Leviathan ravageant tout sur son passage.

Interprétation brillante des deux acteurs. Le noir et blanc nous remet directement dans l'époque. L'amour des deux protagonistes n'est pas assez décrit ou laissé en filigrane.

En utilisant un noir et blanc des années soixante, Brigitte Sy espérait peut-être nous faire gober le genre Nouvelle Vague. Malheureusement le scénario n’est pas à la hauteur et se casse très souvent la figure. On y ressent pourtant quelques fois une certaine émotion, mais on le doit à la force d’un Reda Kated poignant. De son côté, le charme de Leïla Bekhti n’a pas su délivrer la prestance nécessaire à son rôle de prostituée pour nous séduire. Le film se situe dans une période de guerre et jamais celle-ci n’est évoquée. L’Astragale est vraiment trop sur la retenue pour nous captiver.
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J'ai vu un film... électrisant et très fort, porté par Leila Brekhti et Reda Kateb... Il s'agit d'un reconstitution d'une époque vue à travers les yeux d'une jeune fille qui fait tout pour échapper à la prison. Le film de Brigitte Sy est inspiré du roman d'Albertine Sarrazin avec une mise en image en noir & blanc d'une très grande qualité. Les textes découverts au fil du film touchent et émeuvent, et la situation des personnages nous prend aux tripes. C'est un beau film sur une prisonnière en cavale, une prostituée, une insoumise et plus que tout une amoureuse,