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    Numéro Une
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    Claudine G
    Claudine G

    180 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2017
    Le thème du film est très intéressant, dans la mesure où il est encore d'actualité dans bien des entreprises. Il est certain, sans être féministe, que les directeurs de sociétés ou autres qui ont le pouvoir sont machos. Entre une homme et une femme; leur choix se fixera plutôt sur l'homme, la femme pouvant tomber enceinte, avoir des enfants et donc un degré d'absentéisme plus important. Et tout cela avec parcours universitaire et grandes écoles à l'identique. Emmanuelle Bedos et les autres acteurs de ce film sont tous excellents. Mais trop de clichés, de plus des images qui viennent du passé, qui s'entremêlent avec la réalité font que ce film devient beaucoup moins intéressant et à la fin, que l'on devine, carrément lassant.
    Michel C.
    Michel C.

    234 abonnés 1 371 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Un film très sympa - reflet du monde sexiste des affaires - on ne peut dire le contraire et porté extraordinairement par Emmanuelle Devos .... que je retrouve là dans tout son art !! J'avais été un peu déçu par des rôles précédents, je dois dire qu'ici elle est LE rôle !!! Bien entendu, un peu cliché, mais le ton est juste, les dialogues top ! Par ailleurs ED est très bien entourée : Sami Frey - un plaisir, Suzanne Clément ( la canadienne qu'on voit pas mal ces temps ci et c'est très bien !!), Richard Berry, Benjamin Biolay. Bravo à Tonie Marshall pour cette réalisation moderne, un peu froide, mais tellement réaliste !!**
    titicaca120
    titicaca120

    347 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    une belle évocation de cette femme haut placée et compétente
    dans son entreprise pour accéder au sommet de la hiérarchie
    en prenant les rênes d'une entreprise du CAC 40.
    tout y passe la misogynie les coups bas les mensonges et les trahisons.
    porté par d'excellents comédiens et une grandiose Emmanuelle Devos
    un film important qu'il faut découvrir.
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Tonie Marshall signe un récit banalisé et balisé dans lequel le fait que l'héroïne soit une femme reste finalement peu décisif. En effet, le film insiste très lourdement sur le fait qu'il faut un réseau d'influence propre hors tout d'un coup ce n'est pas d'être une femme qui empêche la nomination mais bien le fait que Emmanuelle Blachey soit hors des hautes sphères, que son bras ne soit pas assez long. La dimension féministe s'atténue donc logiquement et repose uniquement sur quelques saillies sexistes. Mais malgré tout le film à un atout de belle teneur, les dialogues. Ca reste un bon film, qui à contrario de son héroïne, est un film divertissant à défaut d'être ambitieux, intéressant à défaut d'être audacieux.
    Site : Selenie
    Michael D
    Michael D

    16 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Film un peu naif et caricatural sur le monde de l entreprise, Emmanuelle Devos n est pas tres convaincante en future PDG (elle n affiche aucune ambition, elle est quand meme tres cool pour une femme qui a autant de responsabilite, elle ne travaille presque jamais, a plein de temps...

    Le sujet du film est flou sans doute parce que l ecriture du scenario n est pas acheve. Un film francais en somme...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Un film dans l'air du temps qui dénonce le plafond de verre et les intrigues du pouvoir avec les politiques de déstabilisation. Un bon jeu d'acteurs notamment pour Emmanuelle Devos. On passe un bon moment.
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2017
    Numéro Une est certes un film féministe mais Tonie Marshall nous présente également la façon dont l'entre-soi des privilégiés se partagent le monde sans aucune légitimité, ni mérite; un monde d'héritiers et de courtisans détestables se plaçant au-dessus de la mêlée de la population. C'est cet engrenage qui rend Numéro Une indispensable. Bien sûr, le fait qu'il s'agisse d'une femme est loin d'être anecdotique. Emmanuelle Devos campe une brillante femme d'affaire, humaine et ambitieuse. Elle est entourée de Suzanne Clément et Anne Azoulay, parfaites en lobbyistes aux méthodes aussi détestables que leurs homologues masculins (elles n'ont pas vraiment le choix à vrai dire). Le machisme de ce milieu, comme de nombreux autres, est montré avec finesse. On n'oublie pas les très belles partitions réservées aux 3 hommes : Sami Frey en vieil homme plein de bon sens, Biolay en opportuniste immonde et Richard Berry en homme de pouvoir sans morale.
    evivier
    evivier

    426 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2017
    Un bon thriller qui illustre sans pathos les défis d'une cadre dirigeante pour se hisser en haut dans le monde des grandes entreprises. Emmanuelle Devos et Richard Berry sont excellents et joue à la perfection avec le bon dosage de subtilités, de doutes pour éviter la caricature du monde de l'entreprise ou la misogynie. Une belle surprise qui change des blockbusters américains ou des mauvaises comédies françaises. Bravo à la seule réalisatrice française césarisée pour ce film tout en finesse qui nous rappelle que l'égalité homme/femme a encore un bout de chemin à faire.
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2017
    Tonie Marshall propose, avec « Numéro Une », un film ambitieux sur le plafond de verre et le monde de la Haute Industrie. Pour se faire, elle s’est attaché les conseils de Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde et spécialiste du monde politico-industriel. Sachant ça, et connaissant un petit peu le travail de cette journaliste opiniâtre, je suis bien certaine que ce que je viens de voir à l’écran est assez proche de la réalité des choses. Tonie Marshall propose un film assez long, près de 2h sur un sujet pas franchement glamour, il faut bien le reconnaitre. Les arcanes du pouvoir, les coups fourrés, le lobbying dans les salons dorés et autour des petits fours, ce n’est pas le sujet le plus passionnant du monde de prime abord. Malgré quelques petites choses à la marge, son film est bien tenu, équilibré et on ne décroche pas. Elle essaie quelques petites choses au niveau du son, de la musique ou de l’image (utilisation du flou) pour illustrer son propos, ça ne fonctionne pas toujours mais en tous cas ça ne fait pas « maniéré », c’est au service de son propos et la plupart du temps, c’est pertinent. On peut regretter quelques scènes qui tirent en longueurs ou quelques digressions dont on ne comprend pas bien l’intérêt, j’y reviendrai. Mais dans l’ensemble, « Numéro Une » est un film classique dans la forme, sans chichi et plutôt facile à suivre. Emmanuelle Devos est très bien dans le rôle éponyme d’Emmanuelle (un prénom mixte, bizarrement), pas glamour mais élégante, souvent en talons plats ou en tailleur pantalon, on sent chez ce personnage une tendance à vouloir se fondre dans la masse de ceux qui l’entourent et ceux qui l’entourent (le film l’illustre très bien par petites touches) est exclusivement masculin. Je l’aime bien, Emmanuelle Devos, elle est crédible dans ce rôle et lui donne une sorte de force intérieure tout à fait pertinente. Autour d’elle, les personnages sont assez écrits, plutôt bien croqués, plutôt subtilement écrits pour ce qui est des hommes : pas de gros machos improbables, mais plutôt des petits misogynes inconscients dont le machisme se réveille très vite, surtout lorsqu’ils se sentent en danger, dépassés, stressés. Comme s’ils chassaient le naturel derrière leurs jolis costumes mais qu’il revenait au galop à la moindre contrariété ! Richard Berry est très bien, dans les quelques scènes qu’il a il fait le job. Samy Frey en père malade est plus insaisissable encore, on a du mal à savoir quelle attitude il adopte face à sa fille unique. Quant à Benjamin Biolay, je ne vais pas redire ici tout le bien que je pense de son jeu d’acteur inexpressif et de son interprétation atone ! Il est censé jouer un homme à femme, faiseur de roi, manipulateur et expert en trahison et coups fourrés : on fait un effort pour y croire. Les femmes sont également bien servies par des comédiennes de talent : Suzanne Clément, Anne Azoulay et surtout Francine Bergé dont le rôle aurait mérité un peu plus de développement. Cette lobbyiste (ah, le lobbying, ce vilain mot que l’on ne prononce jamais en France parce qu’on ne veut surtout pas que ça existe, que l’on camoufle sous l’appellation plus snob de « Club d’influence ») au caractère bien trempé aurait mérité plus de développement, que l’on sache d’où elle vient, ce qui la motive à être si dure. Le scénario, aussi clair que possible sur un sujet pareil, souffre de quelques petits manques de ce type là, parfois il s’égare sans que l’on comprenne bien pourquoi (l'histoire de la noyée) et il s’encombre d’une histoire de mère disparue en mer qui vient parasiter le propos. Que faut-il comprendre ? Que si la jeune Emmanuelle avait eu une mère présente et aimante, elle n’aurait pas ce parcours ? On ne sait pas, le film est flou sur le passé de son héroïne, ou alors il est involontairement ambigu. De la même façon, la relation qui lie Emmanuelle et son père (philosophe en retraite, universitaire, très éloigné du monde des affaires) est mal exploitée : a-t-elle ce parcours professionnel en réaction à un père distant, trop occupé par les concepts et les idées pour s’occuper d’elle ? Mais je ne veux pas être trop dure, parce que le film pose quand même assez bien et très clairement les enjeux : la place des femmes au pouvoir, le prix exorbitant qu’elles doivent payer pour y accéder, ce fameux plafond de verre, symbole du machisme résiduel occidental après 2000 ans de domination masculine quasiment sans partage. Et puis, Tonie Marshall nous épargne quelques lieux communs aussi, spoiler: comme les enfants qui tournent mal parce que leur maman est trop occupée ailleurs (un grand classique !). Ici, les enfants d’Emmanuelle ont l’air d’aller très bien et de vivre tout cela avec insouciance. Seul son mari, inquiet et victime collatérale du combat, va morfler un peu (beaucoup) et son couple, à la fin du film, bat sérieusement de l’aile
    . Mais « Numéro Une », malgré ses petits défauts, ses digressions un peu étranges, ses petites lacunes, a le mérite de jeter une lumière crue sur un machisme encore très présent, un machisme de pays riche, un machisme diffus, presque inconscient, caché, et tout aussi détestable que le machisme vulgaire du harceleur de rue.
    papalou
    papalou

    14 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2017
    En s’inscrivant dans la lignée de ses productions cinématographiques investiguant autour du plafond de verre que subissent la moitié de l’humanité, le nouveau film de Tony Marshall « Numéro Une » théâtralise la misogynie, la course, la bataille, les coups bas et les éléments de langages discriminatoires voire humiliant pour arriver au sommet d’une entreprise du Cac 40 ! « Ici le problème n’est certes pas le patron, mais le fait qu’il soit si rarement une patronne — Luc Chessel dans Libération — » ici joué par Emmanuelle Devos.
    La bande-annonce nous promet du sensationnel dans les hautes sphères des entreprises nationales : « il n’y a que trois choses qui meuvent les hommes, le pouvoir, le sexe, et l’argent ».
    Pourtant la réalisatrice de « Venus Beauté » et sa coscénariste Marion Doussot appuyée par Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde se sont longuement documentées et préparées pour l’écriture de ce projet au départ imaginé en une série intitulée « Le Club », puis transformé en long métrage unique.
    Le récit, le montage et dans une moindre mesure la mise en scène souffrent de ce changement de format : une série permet d’approfondir les caractères les mobiles et les stratégies des personnages avec des coups de théâtre ; une saison permet d’inscrire l’intrigue dans le temps et de la développer.
    Au cours de la première partie, le scénario montre très bien les petites humiliations quotidiennes subies par des femmes qui, même aux plus hautes fonctions, doivent composer avec un sexisme qui ne dit pas son nom, une défiance quasi systématique et des réflexes d’un autre âge. Les dialogues de la réunion sont remarquables de réalisme. Puis la conversation dans la voiture entre Emmanuelle et son PDG, la proposition de promotion de second ordre, voire humiliante au regard de la réussite magistrale qu’elle enregistre au quotidien…
    Dès le début des hostilités pour le pouvoir, les situations deviennent superficielles, et caricaturales. À mon sens il y a une erreur grossière de scénario, lorsque l’héroïne doit gérer une crise au sein de sa propre équipe et mettre à pied un de ses très proches collaborateurs ; elle la mène d’une manière décalée par rapport à son habileté tactique supposée, voire comme une novice.
    Ce film s’est construit autour d’un concentré des turpitudes d’une prise de pouvoir ! Cela explique les coups de théâtre inutiles, notamment le décès de la mentor féministe (joué par Francine Berger), des digressions pataudes vers la sphère de l’intime — à noter les passages en noir et blanc de « La nuit du chasseur », vision de la victime assassinée et noyée par ce pasteur défroqué — d’encombrer par une description grossière du backgroud maternel ou encore les dialogues psychanalytiques entre Emmanuelle Blachey (Emmanuel Devos) et son père (Sami Frey). Ces détails sont tellement présents que je me suis interrogé sur la densité de son travail et responsabilité.
    Il reste une réalisation impersonnelle et un scénario consensuel qui ne parviens pas éclairer les différentes motivations de ces femmes à prendre des risques. Tonie Marshall manque l’occasion d’explorer des pistes expérimentales de forme de management et de pouvoir. Et de répondre à la question encore uniquement effleurée : « et les femmes qu’est-ce qui les meut dans cette course de dirigeants ? » Le casting était d’ailleurs prêt à porter ces questionnements et expérimentations avec une Emmanuelle Devos totalement dimensionnée pour incarner ces autres voies.
    De plus la réalisatrice est la seule femme à avoir eu le césar du meilleur film avec « Venus Beauté » en 2000. dans le monde du cinéma français, où on compte une femme réalisatrice pour quatre hommes alors « Quel est le prix à payer pour devenir Numéro Une » mme Tonie Marshall ?
    « Efleuré » est vraiment ce qui reste en mémoire de ce long-métrage sur les pratiques sexistes et manipulatoires de l’ascension du mont Olympe par le management des « entreprises du CAC ».
    Car personnellement je n’ai pas cru un instant à cette bataille. Parce que le mobile de l’héroïne n’est pas clair, et qu’il manque un compétiteur, le célèbre troisième « Homme ».
    Au final je reprends la conclusion de Luc Chessel dans Libération « A ne pas vouloir taper trop fort sur la classe qu’il décrit, le film renonce du même coup à être corrosif sur la question du sexisme, en faisant comme si les deux sphères ne se recoupaient pas. Cette naïveté feinte mine la prétention au réalisme de son scénario et du jeu de ses acteurs : on se moque ici de quelqu’un, et le public, un temps séduit par la bluette libérale, comprend vite qu’il s’agit, une fois de plus, de lui-même ».
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    Devant ce film très chic , avec un scénario très téléphoné avec un Benjamin Biolay, on connaît la fin . Des acteurs , tous jouent, une partition juste ( des revenants comme Sami Frey , Francine Bergé , Bernard Verlay) sont obligés de dire des dialogues improbables . Des décors high tech , des restaurants branchés , des soirées à l'opéra , tout est glam ; mais rien ne sonne juste . J'ai trouvé le film poussif , avec des inexactitudes : un film faussement militant sur la femme .... Je ne suis pas la cible sans doute , mais je reconnais que Tonie Marshall , à partir d'un scénario filandreux fait le job et Emmanuelle Devos donne de l'éclat et de la nuance à son personnage et montre une qualité d"actrice qui renvoie la balle à ses partenaires avec gourmandise .
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    Numéro une se termine par un petit goût d'inachevé. Peut-être par manque d'audace, tant le film semble parfois édulcorer son thème principal, le célèbre plafond de verre, plutôt par peur de paraître trop offensif et féministe et de verser dans la caricature. Tonie Marshall a préféré la subtilité et n'a pas déclaré la guerre des sexes dans ce microcosme d'hommes qu'est la très grande entreprise. Numéro une fourmille d'informations mais elles ne sont pas toutes de valeur égale pour alimenter une intrigue qui avance par à coups et de façon feutrée. Au moins y voit-on ce qui meut tout ce petit monde là, le pouvoir, principalement, et surtout les moyens pour y accéder et le conserver, à savoir les réseaux d'influence, y appartenir et s'y montrer constituant le socle indispensable à toute progression dans la hiérarchie (plus que la compétence, serait-on tenter de dire même si cela ne gâte rien d'en avoir un peu). Dans ce marigot, le portrait de l'héroïne détone un peu, par sa fragilité et ses traumatismes pas vraiment enfouis. Cela enrichit le portrait du personnage principal mais en même temps perturbe le récit dans le sens qu'il le rend moins percutant et incisif. Emmanuelle Devos s'épanouit dans un rôle taillée à sa mesure qu'elle maîtrise à la perfection. Les hommes qui l'entourent, cyniques et malins ne déméritent pas (Berry, Biolay) avec à part Sami Frey que l'on toujours heureux de voir (l'un des grands élégants du cinéma français avec les disparus Rochefort et Rich). Du côté des femmes, Suzanne Clément et l'étonnante Anne Azoulay tiennent bien leur partition mais on aurait aimé les voir davantage.
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    Le film est bien réalisé et bien interprété et l'histoire est intéressante.
    On nous montre bien la dure réalité du monde des dirigeants avec les manoeuvres, les bassesses, les difficultés pour une femme d'accéder au pouvoir.
    Cependant, je trouve que ce film manque de profondeur, de mordant.
    Ce n'est pas très percutant.
    Dans l'ensemble cela reste terne et plat et c'est dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    ça ressemble à du house of cards en allant bien bien moins loin dans les magouilles des hautes sphères de ce pays, où l'on voit bien que l'on est pas nommé pour ses compétences mais par son réseau d'influence et les coups bas qui vont avec.
    Le film est assez lent.
    N'étant ni une femme, ni proche de cadres hauts placés j'ai du mal à percevoir le fameux plafond de verre sexiste, dans le film je ne trouve pas que ce soit tant le fait que c'est une femme qui la bloque mais le fait qu'elle soit en dehors des réseaux d'influence.
    Les remarques sexistes qu'on lui fait aurait autant pu être remplacée par d'autres types d'insultes si c'était un homme il me semble.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    384 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    Portée par une exceptionnelle Emmanuelle Devos et des seconds rôles tout aussi impliqués, le film dépeint une réalité sans pour autant sombrer dans les clichés. Tonie Marshall évite le manichéisme facile dans ce qui aurait pu se transformer en une énième guerre des sexes entre les agneaux féminins et les loups masculins. Dénoncer le sexisme oui, mais avec subtilité, élégance, justesse. L’impact n’en est que plus fort.
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