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    El Reino
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    3,9
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    232 critiques spectateurs

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    Philippe P
    Philippe P

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mai 2019
    Film difficile à suivre.... Très bavard. Scénario parfois improbable... Le "tous pourris" s'inscrit en filigrane... Cela devrait plaire !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 avril 2019
    El Reino est un thriller politique époustouflant avec un rythme frénétique, une BO incroyable et des scènes hallucinantes ! En 2h15 on ne s'ennuie pas une seconde !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2020
    Malheureusement El Reino est probablement fait pour les Espagnols. Un début assez déroutant, gênant et trop de bla bla. Ce n'est pas le rythme typique de la cinématographie espagnole comme nous l'aimons tous. Même sujet ennuyeux sur la corruption pendant deux heures et même message "tous mauvais". Mais pourquoi le tremblement constant de la camera sans raison. Je me suis senti nauséeux tout au long du film. Donc je diffère ça sur la réalisation que je suis forcé de considérer comme mauvaise. Et lorsque vous pensez que quelque chose est sur le point de se produire le film se termine. Mon conseil profitez de ces 2 heures et passez-les en famille ou allez marcher...
    tonton29
    tonton29

    20 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2019
    Entreprise louable mais quelle est le véritable but du réalisateur et donc du film ? Montrer la collusion des pouvoirs politiques, économiques, médiatiques? En clair enfoncer des portes ouvertes ! Tous pourris et quand ça craque, il faut un fusible, un bouc émissaire qui va endosser tout pour les autres et protéger le système mafieux ? Qu'il faut se méfier de tous quand on entre dans le système, et surtout de ceux qui paraissent les plus sûrs et fidèles ? Que même ceux qui ont la foi et veulent améliorer le système sont corruptibles ? Que dès qu'on peut tirer la couverture à soi on se protège ou on fait le buzz ? Que le Peuple a le droit de savoir mais pas trop quand même car un Peuple ignorant est plus facile à manipuler ? Tout ça on le sait ! Alors reste un bon thriller haletant ou le piège se referme mais avec toujours une lueur d'espoir au bout du tunnel . . . Pourri mais pas trop, j'ai une bonne conscience et on m'aurait menti à l'insu de mon plein gré . . . On suit les déboires avec finalement espoir que ça s'améliore mais sinon musique pas adéquat et scénario un peu entortillé comme les ficelles tortueuses des arcanes du pouvoir. Pas du cinéma grand oubli (justement, le oubli aime savoir tout en restant dans une ignorance crasse, tant qu'elle a du divertissement comme au temps des Romains !!) Mais le cinéma ibérique a au moins le mérite de taper là ou ça dérange et a tendance à faire de bons films.
    antoinedoisnel6
    antoinedoisnel6

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Tout simplement époustouflant. Tendu, brillamment mis en scène, un des chocs de l'année. A voir absolument.
    parlica
    parlica

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2019
    Vraiment un excellent moment ! Une tension quasi-permanente, des prises de vue différentes, un acteur convaincant et une très bonne bande son ! Du vrai cinéma ;-)
    Asm31
    Asm31

    6 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2019
    film monumental!!!
    bluffant , envoûtant ...
    une réalisation superbe
    une musique endiablée et adaptée qui suit le rythme du film
    et un final Whaoo

    allez y !!!!
    Benjamin Braddock
    Benjamin Braddock

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2019
    Un film coup de poing sur la corruption politique en Espagne à la frontière entre la série Baron noir et La Isla Minima.
    Rodrigo Sorogoyen fait preuve encore une fois d'une grande maîtrise à la réalisation et s'impose désormais comme un des virtuoses du thriller au cinéma.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Un thriller politique espagnol captivant et ultra-tendu, à la mise en scène virtuose, avec une intrigue qui monte en puissance pour nous offrir quarante dernières minutes suffocantes, d'une intensité folle, porté par l'interprétation excellente d'Antonio de la Torre.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2019
    Déjà auteur du puissant « Que Dios nos perdone », Rodrigo Sorogoyen récidive avec « El reino », thriller politique implacable, tellement intense qu'on ne se préoccupe rapidement plus de savoir s'il est crédible ou pas (preuve qu'il l'est un minimum, malgré quelques moments « énormes »). Pourtant, il m'a fallu un peu de temps pour rentrer dedans : le souci est qu'il y a beaucoup de personnages et de noms, si bien que pendant longtemps j'étais un peu paumé pour savoir qui faisait quoi, qui était qui, quel rôle avait-il dans le parti... Cela gêne la compréhension du scénario et sa construction, ce qui est assez dommage. En revanche, personne ne peut nier la redoutable efficacité de la machine une fois lancée, sans doute un peu « too much » comme évoqué précédemment, mais dotée d'une tension parfois à la limite du supportable : moi qui suis pourtant assez stoïque, dans la dernière ligne droite j'étais presque à me planquer derrière mon fauteuil tant l'action est suffocante, la réalisation, l'utilisation du cadre, la musique lui donnant une ampleur incroyable spoiler: (non mais cette scène dans la maison d'un ponte du parti : quelle dinguerie!!)
    . Du coup, cela veut aussi dire que tout ce qui s'est passé avant (c'est à dire la grande majorité du film) n'est pas aussi captivant, cette plongée aussi bien au cœur de la politique que des politiques (tous brillamment interprétés, mention spéciale pour le toujours excellent Antonio de la Torre, Josep Maria Pou et la subjuguante Bárbara Lennie), tous deux dans ce qu'ils ont de plus mensongers, odieux, cyniques, sans doute jusqu'à la caricature, tout en gardant une probable (grande) part de vérité. Ainsi, ce qui aurait pu être une pénible réflexion sur le pouvoir (pas au plus haut sommet de l'État, mais pas si loin) devient une œuvre intense, pouvant presque rappeler, à certains égards, les meilleurs Costa-Gavras. Réussir à nous attacher à cet anti-héros véreux prêt à tout pour sauver sa place n'était pas chose aisée, le cinéaste y parvient brillamment. Et si la fin est un peu (beaucoup) brutale, elle est aussi à l'image du film : tranchante, imprévisible, cinglante. Sorogoyen, un nom définitivement à suivre de près.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2019
    Une seule vision risque de ne pas être suffisante pour apprécier El Reino à sa juste valeur. Et si l'on y va en étant fatigué ou préoccupé, la séance a des chances de tourner au supplice, tellement le film requiert une forte attention, ne délivrant ses informations qu'avec parcimonie. Une deuxième projection, donc, sera nécessaire, où tout ne s'éclairera pas cependant d'un seul coup, des éléments du récit restant opaques, mais où les grandes lignes apparaitront clairement autour d'un homme politique corrompu, désormais aux abois et ne pouvant sauver sa peau qu'en mouillant ses coreligionnaires. El Reino s'attache dans un premier temps à décrire un milieu, celui d'affranchis, auquel, par définition, le commun des mortels a du mal à accéder, voire même à en comprendre ses rites et ses usages. A cet instant-là du film, la virtuosité de la mise en scène semble un peu vaine et n'être là que pour faire oublier les méandres filandreux de son intrigue. Mais à partir du moment où l'étau se resserre sur son héros déshabillé de son immunité, le thriller devient haletant et qu'importe si l'on ne maîtrise pas tous les tenants et aboutissants de cette sombre affaire. Le film ne fait qu'accélérer dans sa dernière ligne droite avec trois séquences successives époustouflantes, dans un appartement andorran, sur la route et sur un plateau de télévision. Ce n'est d'ailleurs qu'au moment du dénouement que l'on parlera enfin de morale et d'honnêteté, ce qui laissera bouche bée notre politicien pourri (tautologie ?) et le spectateur estourbi. Est-il enfin utile de préciser que Antonio de la Torre se révèle une fois de plus époustouflant dans un rôle d'une complexité rare où il occupe l'écran près de 130 minutes sans discontinuer ?
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Après le (formidable) « Que Dios nos perdonne », Rodrigo Sorogoyen nous propose de poursuivre son autopsie de la société espagnole en jetant une lumière crue sur la vie politique de son pays et la corruption qui la gangrène. Même si son film est long, plus de 2h10, il est remarquablement tenu grâce une mise en scène qui n’hésite pas à emprunter les codes du film policier et du film d’espionnage. Long travelling, scènes filmée de loin comme dans un téléobjectif, musique électronique parfaitement bien utilisée, jusqu’au duel final dont je reparlerais et qui pourrait presque s’apparenter à un duel de western ! Rodrigo Sorogoyen a compris que, pour que l’on soit happé par un film qui parle de corruption, de pots de vins, de trafic d’influence et de faux et usages de faux (et encore, je n’ai pas tout retenu !), il faut une réalisation dynamique, un montage serré et des dialogues qui font mouche rapidement, sinon on décroche. Il parvient à tenir son film sur la longueur, alors que ce n’était pas gagné d’avance et il parsème le suspens, la violence, la tension nerveuses par petites touche, comme on sale ou on poivre un plat. Quelques scènes fortes se détachent, mais c’est surtout la spirale infernale, qui happe Manuel, qui happe en mêle temps le spectateur. On a l’impression qu’il ne s’en sortira jamais, tout ce qu’il tente se retourne contre lui, même quand il croit enfin avoir la main, le boomerang lui revient, c’est imparable, et ça donne une impression de spirale infernale assez efficace. Il y a beaucoup de seconds rôles bien campés dans « El Reino » mais je ne vais parler ici que d’Antonio de la Torre. Cet acteur, qui déjà impressionnait fortement dans « La Isla Minima », « La colère d’un homme patient » et surtout « Que Dios nos perdonne », est ici parfaitement impérial. Ce n’est pas évident d’incarner Manuel Lopez-Vidal, il est de toutes les scènes, il doit incarner un homme profondément malhonnête et parfaitement antipathique, et en même temps nous donner envie qu’il s’en sorte, qu’il échappe à son destin pourtant parfaitement mérité. Rendre les méchants sympathiques n’est pas facile, et Antonio de la Torre sait le faire, il l’a déjà prouvé et le prouve une fois de plus. Oui, les hommes malhonnêtes aiment leur femme et leur fille, oui ils sont sincèrement blessés quand leurs amis les trahissent, oui, ils pleurent lorsque le sort s’acharne et pourtant ils ne sont pas autre chose que les artisans de leur propre malheur. Cette ambivalence est bien rendu à la fois par le scénario et par l’acteur principal du film. Le scénario, je dois bien le reconnaitre, est assez complexe à comprendre pour qui ne connait pas bien la vie politique espagnole. Le film n’est pas évident d’accès et le premier quart d’heure est même confus, on a du mal à comprendre vite les enjeux, et il faut bien 20 bonnes minutes pour qu’on commence à y voit un peu clair. J’imagine que si l’on faisait visionner « Baron Noir » par le public espagnol, il aurait sans doute du mal lui aussi à entrer dans le propos ! D’ailleurs, on peut rapprocher un petit peu les deux fictions, qui abordent les questions de corruption et de trahisons politiques par le même angle. Disons-le tout net, le scénario est complexe et nécessite une attention soutenue pendant plus de deux heures, on peut malheureusement décrocher par moment. Un tout petit plus de clarté aurait parois été la bienvenue. Impossible de savoir quel parti est mis en cause dans « El Reino » pour une raison toute simple : il n’est jamais question d’idéologie, d’idées ou même de principes, il n’est question que d’argent, de pouvoir, de postes à pourvoir et d’ambitions personnelles. Du coup, on peut y voir le PSE comme le PPE, selon les convictions qui sont les nôtres. Même la région où se déroulent les faits est mal définie, on comprend que c’est au bord de la mer mais c’est tout ! Le film ne met pas tellement en scène le problème régionaliste, alors que c’est un marqueur très fort de la politique espagnole, là encore pour brouiller les pistes. Ce qu’on comprend bien, en revanche, c’est l’étendue de la corruption qui gangrène le système politique espagnol et l’adage imparable qui veut que tes amis les plus proches sont les plus dangereux. Les coups bas ne viennent pas de l’autre camp, mais toujours du sien. Il est facile et inévitable de penser à telle ou telle affaire française (l’affaire Fillon, l’affaire Cahuzac) et de la mettre en miroir. spoiler: Manuel Lopez-Vidal cherche à se sortir de l’engrenage qui le broie en faisant tomber tout le monde avec lui, une tentation compréhensible mais qui ne le rend nullement plus sympathique. Assumer : non, faire amende honorable : du bout des lèvres, il navigue depuis tellement longtemps dans le marécage de la corruption qu’il n’intègre pas le fait qu’il est coupable et non victime. La scène finale, en forme de duel et qui se termine d’une façon si abrupte qu’elle laisse interloqué, met parfaitement en image ce que je viens d’écrire : quand on est coupable depuis trop longtemps, on oublie qu’on l’est, le Mal devient la normalité et quand les choses s’enrayent, on n’imagine plus se remettre en question.
    Avec « El Reino », Rodrigo Sorogoyen autopsie la vie politique de son pays et ce n’est pas beau à voir, c’est métastasé en profondeur. Cela donne forcément matière à réflexion que l’état de la vie politique de tous les autres pays européens, et au-delà…
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2019
    Visiblement le succès d’estime de Que Dios nos pardone a permis à Rodrigo Sorogoyen de voir son cinéma sortir de la péninsule ibérique. El reino n’est pas un polar comme son précédent film mais possède malgré tout des codes le rapprochent du thriller. Avec cette histoire d’homme politique impliqué dans une affaire de corruption, Sorogoyen ne cherche pas spécialement à rendre totalement compréhensible sont intrigue mais plutôt à créer un climat. En effet, le récit va tellement vite qu’il faut vraiment s’accrocher pour comprendre tous les tenants et les aboutissants de l’affaire dans laquelle est impliqué le protagoniste principal (plusieurs visions semblent nécessaires). Mais parallèlement à cela, Sorogoyen crée de véritables moments de cinéma en particulier dans la dernière heure du film comme dans la séquence où Manuel cherche à récupérer des documents dans une soirée sans le consentement du propriétaire de la maison ou dans la séquence finale tout bonnement phénoménale de tension. El reino est donc un film pas toujours compréhensible mais qui offre une mise en scène extrêmement prenante.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 juin 2019
    Pourquoi « difficile à suivre » ? Tout d’abord, physiquement, un rythme effréné de bout en bout mis par Rodrigo Sorogoyen qui est collé aux basques de son personnage principal, un politicien véreux, durant 2h10. Et pour ce bougre, les heures sont comptées pour construire sa défense ; donc peu de sommeil et beaucoup de contacts et de mouvements pour trouver une solution pour s’en sortir. Et plus le temps passe, plus les solutions envisageables deviennent risquées et hors la loi. D’où la lente descente aux enfers pour ce politicard espagnol donnant un thriller politique ultra tendu. « Difficile à suivre » aussi, car beaucoup de personnage gravitent autour du ripou et que, surtout, les affaires de corruption ne sont pas clairement explicites et que l’on ne comprend pas bien les faits reprochés qui conduisent à une instruction pour malversation, corruption,… Mais ce n’est pas grave, ce n’est pas le vrai sujet du film. Ce n’est pas un film dossier. Sorogoyen parvient à nous mettre du côté de ce politicien pourri, car on comprend très vite qu’il n’est qu’un maillon d’un système de corruption organisé. Il pourrait s’en sortir par le haut en acceptant la main tendue par son parti, mais c’est bien là un des nerfs de la guerre ; il faudrait renoncer à faire carrière, s’expatrier et endosser le chapeau pour tous (çà ne vous rappelle pas un premier ministre de la chiraquie expatrié au Canada durant deux ans). Mais l’orgueil le pousse à vouloir sauver sa tête par tous les moyens et à lever le voile sur sa culpabilité relative. Mais qu’il est maladroit, qu’il est loin de ces politiciens machiavéliques, car lui se croit intouchable ; alors une fois isolé dans ce nid de serpent, la paranoïa devient croissante et ses tentatives infructueuses pour s’en sortir donnent lieu à des scènes burlesques. Un vrai film uppercut à la Scorcese dans lequel le spectateur finit par prendre faits et causes pour ce que le citoyen lambda déteste le plus : le politicien véreux. Incroyable. Seulement la scène finale dans laquelle Sorogoyen pourrait jouer la facilité et mettre l’accent sur le rôle d’influenceur des medias auprès de la population (eux-mêmes complices d’un système) se révèle bien plus maline et puissante. A voir absolument, un grand film à tiroir de 2019… avec une énergie folle.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2019
    Excellent film, haletant, impressionnant. J'y allais à reculons, j'en sors séduit. Après un court début un peu lent, où l'on a peur de ne rien comprendre aux sous-entendus de la politique espagnole, le film s'engage dans un enchaînement continu d'actions et de rebondissements très prenant. La complexité de chacun fait jour progressivement, jusqu'au dernier quart d'heure où tous les rapports de force s'inversent assez subtilement. Le comédien principal concourt largement à la réussite de cette épopée ; il a le charme, l'énergie et la densité pour cela. Évidemment, la fin ouverte nous laisse un peu en suspens ; un tel dispositif est toujours frustrant car il ne nous fournit pas de solutions toutes faites. La dualité des Hommes restera donc totale, bien au-delà de ce récit qu'on ne peut que conseiller.
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