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Synopsis
Manuel López-Vidal est un homme politique influent dans sa région. Alors qu'il doit entrer à la direction nationale de son parti, il se retrouve impliqué dans une affaire de corruption qui menace un de ses amis les plus proches. Pris au piège, il plonge dans un engrenage infernal...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Manuel Lopez Vidal (Antonio de la Torre) est un politicien professionnel. Il est le dauphin du président du conseil régional, un cacique vieillissant dont la succession lui est promise. Pour occuper les fonctions qu'il occupe, Manuel Lopez Vidal participe depuis toujours à un système de corruption généralisé : marchés publics faussés, fraude aux subventions européennes...Mais la mécanique se dérègle lorsque la Justice met le nez dans ...
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norman06
245 abonnés
1 526 critiques
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3,5
Publiée le 18 avril 2019
Un thriller politique haletant dans la lignée des meilleurs Pakula et Rosi. Même si la complexité de l'intrigue empêche une adhésion totale, l'horlogerie déployée impressionne et l'acteur Antonio de la Torre est remarquablement habité par son personnage.
Un visiteur
4,5
Publiée le 10 mai 2019
À première vue, ce film me paraissait une énième thriller sans surprise. Mais il faut dire que l'on est pris par la tension dramatique et par la performance d'Antonio de la Torre. De plus, on soulignera le caractère non-manichéen, personne n'est vraiment blanc ou noir. À voir.
Steph N.
37 abonnés
88 critiques
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4,5
Publiée le 27 avril 2019
Histoire, jeu d'acteur, musique, tout y est pour vivre le film au plus près... Bravo à toute l'équipe
Le réalisateur Rodrigo Sorogoyen souhaitait évoquer, avec sa co-scénariste Isabel Peña, la situation politique préoccupante en Espagne où les affaires de corruption ne cessent de se multiplier depuis quelques années : "le sujet central [...] C’est le mensonge comme manière de vivre. Aucun film n’avait encore été fait sur la corruption espagnole d’aujourd’hui [...]".
Une approche inédite
El Reino propose de suivre le point de vue du politicien corrompu tout au long du film, et non celui de journalistes intègres ou d'agents de la force publique. "[...] nous savions dès le début que le film serait raconté du point de vue du politicien corrompu, du voyou, celui qui, dans un film classique, serait le rival, l’ennemi. C’était un défi, mais aussi cela rendrait le film plus riche et surtout nous aiderait à aller plus loin dans le traite
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Point de vue interne
Pour coller au plus près du personnage principal, le réalisateur a privilégié la caméra portée mais a fait quelques exceptions pour injecter un soupçon de psychose. Il a filmé des séquences "comme si nous étions de loin, en train d’espionner Manuel. Pour ce faire, dans certaines scènes, nous avons utilisé des téléobjectifs (135 mm) qui contribuent à donner cette sensation. À un moment du film, Manuel croit qu’on le suit, qu’on l’espionne. Et, com
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La théorie du complot pendant 2 h de cinéma laborieux.Tous pourris sauf la journaliste. Mouais !
defleppard
Ennuyeux et poussif.........2 étoiles !!!
fc b
une affaire de corruption au sein d'un parti politique vécu de l'intérieur. tout un monde de trahisons, de manigances, les rouages dévoilés par le personnage central où rien ne lui est épargné : une photographie d'une certaine politique, avec un parti prix affiché. néanmoins, le film aurait gagné à être bien plus condensé, avec certaines scènes annexes ralentissant l'intrigue et jusqu'à son absence de dénouement! en outre, avec un manque d'intensité, un jeu d'acteur parfois excessif, ce film est long et poussif.
Moorhuhn
Un thriller politique survitaminé qui monte peu à peu en tension pour aboutir sur une dernière demi-heure particulièrement intense. Une mise en scène dynamique ponctuée de plans-séquences tirés au cordeau et une écriture à la hauteur des enjeux dépeints dans ce système pourri jusqu'à l'os. Critique disponible ici : http://thelastpictureshow.o...
louis marcel c
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Sushi-Overdose
Plus proche du polar des années 90, Que dios nos perdone était une vraie petite claque ; dans un autre style, El Reino amorce un bon uppercut dans la deuxième partie de ce film terriblement noir sur le manque d'intégrité de la classe politique, avec un niveau de corruption démentielle. On connait le propos, mais l'exécution et l'interprétation valent le détour !Ma critique : http://www.silence-action.c...
Sushi-Overdose
C'est très différent du cinéma de Costa Gavras ou d'Elio Petri, mais pourtant, je le trouve très efficace dans son style m'a un peu effrayé sur la première demi heure ; et la scène finale, surprenante, plutôt réussie.
RichyG
Très bon thriller bien mené grâce à une excellente interprétation du personnage principal 👍👍
Marilou M
Pas aimé ce film. Si le sujet est intéressant, le traitement est lourd. Le réalisateur avait-il peur que le spectateur ne comprenne pas le sujet? C'est long, répétitif et lassant. Déolée, mais Costa Gvras était beaucoup plus synthétique et direct et par là même efficace. 2h15 pour en plus avoir une conclusion foireuse...........
kevsly
Un excellent thriller dramatico-politique à la mise en scène coup de poing. Du très bon cinéma espagnol qui aborde le thème de la corruption du pouvoir avec une grande précision chirurgicale. Une réussite dans le genre.