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    The Yards
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    302 critiques spectateurs

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    caro18
    caro18

    137 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Moins intense que "La nuit nous appartient" mais l'histoire est bien et Mark Wahlberg et Joaquin Phoenix toujours excellent.
    Don Keyser
    Don Keyser

    66 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2013
    Doté d'un excellent scénario, "The Yards" entraîne le spectateur dans une histoire sombre à goût de famille et de corruption. De ce fait, la réalisation démontre le long-métrage comme étant réaliste et mafieux. Par ailleurs, les acteurs sont excellents, tous autant qu'ils sont. Ainsi, le film est divertissant et très captivant grâce à un ensemble maîtrisé.
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Réalisation impeccable, casting fantastique (le duo Wahlberg/Phoenix est génial) et belle composition d'Howard Shore, mais il manque quelque-chose au film pour être autre chose qu'un polar de qualité. Peut-être développer le scénario un peu plus, quitte à rajouter 40/50 minutes pour aller au fond des choses. Pour son deuxième film Gray nous livre un très beau polar, mais qui manque un peu d'originalité.
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    47 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Le deuxième long métrage de James Gray, après "Little Odessa" et avant "We own the night", est une nouvelle fois un drame familial sur fond de sombre polar.
    On suit le destin de Leo (Mark Wahlberg), tout juste sorti de prison pour avoir porté la chapeau sans dénoncer ses comparses, qui souhaite rester clean désormais pour ne pas contrarier sa mère malade du cœur. Il pense trouver un job (plus ou moins) honnête chez son oncle (James Caan), spoiler: mais il se retrouve bien vite pris au piège dans une affaire de meurtre initiée par Willie (Joaquin Phoenix), son pote de toujours et homme de main dudit oncle.
    On retrouve dans "The yards" (2000) les thématiques chères à James Gray : les rapports familiaux, les conflits moraux individuels entre loyauté et probité, la rivalité amoureuse...
    Gray signe ici un film noir à la réalisation soignée, faisant la part belle à l'interprétation d'acteurs investis, à l'image de Wahlberg, que je n'ai jamais vu aussi touchant, Phoenix et Caan, toujours ambigus à souhait, ou Charlize Theron, qui hérite du rôle féminin et s'en empare avec talent.
    On est dans le registre du thriller contemplatif, pas dans un pur film de gangsters, donc l'oeuvre de Gray manque parfois de rythme. Toutefois, pour avoir vu récemment "Blood ties" de Canet et "The drop" de Roskam, je constate que les européens n'ont pas encore le savoir faire de l'américain, expert incontestable du polar familial.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 janvier 2011
    bon film noir, bon trhiller, mais manque quelque chose je ne sais quoi, et j'ai ete habituer a mieux en whalberg et theron
    Travis.B33
    Travis.B33

    35 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2009
    Les acteurs ont été fantastique.James Gray nous a plongé dans une superbe ambiance dramatique et la mise en scène est pas mal.Le même casting que "La nuit nous appartient"(Mark Walberg et Joaquim Phoenix)a apparemment bien fonctionné ici aussi.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2021
    En gros The Yards raconte l'histoire de Leo un jeune homme de la classe ouvrière qui rentre chez lui après un séjour en prison auprès de sa mère malade. Son meilleur ami Willie l'emmène dans l'entreprise de rames de métro de l'oncle de Leo où les choses ne sont pas exactement au dessus de tout soupçon. Leo s'implique davantage dans l'entreprise et les choses tournent mal. Mais en cours de route il y a cent autres sous intrigues. Malgré un grand casting et Mark Wahlberg cette histoire de corruption dans l'industrie ferroviaire de New York parvient à atteindre des niveaux d'ennui qui provoquent le coma. Ceux qui aiment leurs films incroyablement ennuyeux avec la plupart des acteurs (en particulier Joaquin Phoenix) qui marmonnent ou chuchotent leurs répliques se délecteront du film ennuyeux à mourir qu'il est. Wahlberg est aussi boisé qu'il l'est d'habitude et porte sa fameuse mauvaise coupe de cheveux et le reste des acteurs font de leur mieux avec le scénario. Mais soyons honnêtes avec un sujet aussi peu brillant ils n'ont jamais vraiment eu de chance de montrer leurs talents...
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    16 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 novembre 2011
    Pas terrible ce film!! Sans surprise et plutôt fade. An noter néanmoins la belle prestation de Joaquin Phoenix et la mauvaise de mark Wahlberg.
    Machriasi
    Machriasi

    9 abonnés 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2012
    Un bon scénario un bon duo d'acteurs (joaquin phoenix toujours très bon) une bonne mise en scene bref je n'ai pas de reproches particuliers a ce film sauf peut etre un début un peu lent
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Un film bouleversant... J'irais pas plus loin, c'est très touchant...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Divertissant, bien joué, presque bien mais quelque chose cloche. Peut-être une phrase répétée 10 fois dans le film et qui n'a quasiment pas d'impact ? Peut-être l'exagération de tous les personnages qui finit par faire perdre en crédibilité ? Trop "cliché", trop calqué sur "Le Parrain" ? Bref, une très bonne idée de départ, un film pas si mal, mais qui déçoit au fur et à mesure de la progression.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 032 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2019
    Le premier essai de James Gray, [Little Odessa][1], était une réussite de tous les niveaux : excellent drame, il portait un message politique fantastique, une histoire familiale déchirante, une conclusion bouleversante. Il y avait de quoi se réjouir à l'idée de suivre une nouvelle intrigue dramatique, avec cette fois Joaquin Phoenix, Charlize Theron, James Caan dans les rôles titres. La présence de Mark Walhberg pouvait certes rebuter, mais c'était oublier qu'il fut, un temps durant, bon acteur.

    Il n'est pas surprenant de voir qu'au final The Yards est un film principalement axé sur la famille : thème cher aux trois premiers films de James Gray (le dernier étant La nuit nous appartient), il est ici exploité dans un registre contraire à celui du premier film. Si Tim Roth incarnait un tueur à gages tentant de renouer avec une famille d'une pauvreté absolue, Mark Wahlberg sortant de prison est, dès son arrivée chez lui, assailli de toute part par sa famille, ses amis, ses proches, des gens du luxe qui se comptent en dizaines.

    Il ne s'agit plus de suivre un film sur la solitude d'un être perdu : Gray nous dévoile, peu à peu, que les apparences de ces hommes riches sont trompeuses, et que les amis, n'étant pas forcément ceux que l'on croit, trahissent comme ils respirent pour justement entretenir leur train de vie irraisonnable. Loin du film de réconciliation, on tient là une oeuvre de séparation, d'éclatement d'un cercle soudé : du personnage de James Caan, revenu aux années du parrain pour remplacer Marlon Brando dans le rôle, au magnétique Joaquin Phoenix ou à la sombre, mais toute fragile, Charlize Theron, en passant par une mère malade interprétée par une Ellen Burstyn toute en finesse (thématique de la mère visiblement importante pour le réalisateur), aucun ne sera épargné dans l'histoire, tous sauf Wahlberg, manière Little Odessa.

    Une implosion amenée par un retour qui déclenche de vieilles rivalités, ou même les dévoile au grand jour; à James Gray, maintenant que son film est lancé, de poursuivre la trajectoire de son drame familial terrible pour nous pondre, une fois de plus, une claque façon drame Shakespearien. Si certains éléments pourront gêner (quelques mauvais agissements des personnages qui sonnent faux, à l'image du manque de prudence de Wahlberg sur certaines scènes de poursuite ou de tension), ses qualités majeures passionneront jusqu'à ce final en règlement de compte par les mots, face à des gens toujours plus haut placés et prétendument inatteignables aussi.

    S'il manque parfois de finesse (le personnage de Charlize Theron pâtit du cliché émo-gothique de l'époque), on ne peut reprocher à The Yards sa terrible efficacité et la beauté de sa mise en scène, où tout sera posé sur la table pour transmettre l'atmosphère la plus sombre au spectateur, en passant par une ville toujours aussi centrale dans l'intrigue, et des scènes en intérieur qui, à mesure qu'évolue l'intrigue et les rapports qu'entretiennent les personnages, deviendront de plus en plus inquiétantes.

    Il y a, dans The Yards, également la figure importante du père adoptif : tenu de manière charismatique par un James Caan aux airs de Brando (*le fils devient le père, et le père le fils*), il campe à la fois le paternel de Phoenix et la figure parentale masculine de substitution d'un Mark Wahlberg affaiblit par les évènements. Jouant dessus, il ne souffre d'aucun manichéisme, se présentant à la fois comme une pourriture désireuse de garder intact son statut social au placé, et comme un homme profondément humain, pratiquement incapable d'abattre, ou de lancer les chiens, sur celui qu’il considère définitivement comme son propre fils.

    Face à ce climat pesant, on suit l'intrigue passionnée, de ce plan d'introduction qui se répercute à la dernière seconde, de la sortie de prison au dernier procès, de la trahison à la rédemption, du crime à la vengeance. Tout cela se déroule en parallèle d'une scène terrible en intérieur, dramatique et, c'est à n'en pas douter, pratiquement égale à la conclusion déchirante de Little Odessa.

    Coup réussi pour James Gray qui, en signant là un excellent polar dramatique, continue prodigieusement bien son ascension à Hollywood. Il prendra dès ce film Joaquin Phoenix comme acteur fétiche, que l'on recroisera dans, à tout hasard, La Nuit nous appartient, Two Lovers et The Immigrant, et imposera Mark Wahlberg nous plus comme un rappeur un brin ringard, mais comme un acteur à part entière capable de jouer justement, avec ce qu'il faut d'émotion et, à l'issue, d'émouvoir mieux que n'importe quel autre acteur de ce solide The Yards.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2022
    C’est grâce à Miramax, société de production des frères Weinstein, que James Gray parvient en 2000, six ans après « Little Odessa », à réaliser son second film dont une fois encore il écrit lui-même le scénario en y intégrant des éléments autobiographiques. Ici, un film de gangsters prenant pour cadre le scandale de corruption qui frappa la régie du métro de New York au sein de laquelle son propre père travaillait à la même époque. Comme chez Francis Ford Coppola, la famille est pour James Gray l’endroit où se jouent tous les drames, où se font et se défont toutes les destinées. Comme Joshua Shapira (Tim Roth) qui dans « Little Odessa » revenait dans son quartier d’enfance pour y exécuter un contrat, Leo Handler (Mark Wahlberg) rejoint le bercail mais cette fois-ci après sa sortie de prison. Il va s’agir pour lui de se réinsérer afin de ne pas affaiblir un peu plus Val, sa mère (Ellen Burstyn), dont le cœur est usé par les méfaits à répétition de son fils unique. L’occasion est trop belle, son oncle Frank (James Caan) marié à la sœur de Val (Faye Dunaway) étant le PDG d’une société d’entretien des rames du métro new yorkais. Les promesses d’usage vont donc bon train, permettant d’envisager sereinement une remise sur les « bons rails » du jeune égaré. Mais la présence de Willie (Joaquim Phoenix), le fiancé de la cousine (Charlize Theron débutante) de Leo qui mène grand train, lui laisse entrevoir une reconversion plus glorieuse et immédiatement plus lucrative. Willie gère en sous-main pour Frank toutes les négociations utiles à la « bonne attribution » des précieux marchés. Sous la pression de Willie et de sa femme, Frank accepte l’attelage improbable entre Willie et Leo qu’il semblait pourtant vouloir éviter à tout prix. Le ver étant dans le fruit le jeu de massacre peut commencer. Patiemment montée en mayonnaise par James Gray pendant le premier tiers du film où tous les ressorts complexes qui animent cette famille sont très finement exposés, la sauce est enfin prête à être servie pour lui permettre de montrer comment un simple pion placé au mauvais endroit peut conduire à faire vaciller toute une organisation patiemment construite avec ses codes et ses usages édictés autour de la corruption des édiles locaux. Il suffit dès lors d’une étincelle pour que les choses s’enclenchent. Ce sera la mort d’un gardien de dépôt au cours d’une expédition de sabotage organisée par Willie. Au fur et à mesure de l’avancée de l’enquête qui s’ensuit les masques tombent, laissant bien loin en arrière la cérémonie organisée pour le retour de Leo au bercail. Filmant la plupart des scènes en clair-obscur, James Gray nous rappelle que chacun n’est jamais vraiment celui qu’il laisse paraître. Pire encore, les liens du sang n’ont de valeur que jusqu’à un certain point et c’est sans doute un leurre que de vouloir absolument les sacraliser. James Gray comme dans son premier film mais de manière encore plus maîtrisée et subtile parvient à marier point de vue sociologique, étude de caractères et film noir. Le casting encore une fois très impressionnant est dirigé de la plus élégante des manières comme le signalera Faye Dunaway dans une interview. Mark Whalberg avec son visage encore poupon apporte toute l’ambiguïté utile à son personnage qui semble pouvoir partir dans toutes les directions pour se révéler rapidement incontrôlable. Mais c’est la prestation du grand James Caan disparu le 6 juillet 2022 qu’il convient de saluer. Tout en retenue, comme prisonnier des pratiques de corruption qui semblent consubstantielles à la vie des marchés publics, son personnage tente vainement de concilier un code d’honneur avec des pratiques mafieuses. Un très grand acteur dont on n’oubliera pas les rôles les plus marquants comme dans « Le parrain » de Francis Ford Coppola en 1972, « Le flambeur » de Karel Reisz en 1974, « Le solitaire » de Michael Mann en 1981 et bien sûr « Misery » de Rob Reiner en 1990. Bizarrement, le film a fait un flop au box-, condamnant James Gray à sept ans d’attente avant de pouvoir monter «La nuit nous appartient ». Au revoir Monsieur James Caan.
    shindu77
    shindu77

    73 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Une bonne histoire, une réalisation efficace et un casting de belle facture. C'est un bon film qui révèle intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 novembre 2013
    Un excellent film ! Nous sommes dans la continuité de "Little Odessa". Cette fois, James Gray ne s'intéresse pas à un seul individu lié au grand banditisme, mais au système en lui même dans ce qu'il a de plus vicieux et de plus pervers. C'est un système qui n'obéit qu'à l'argent. A la différence de beaucoup de films de gangsters, cette fois la famille n'a rien de sacré et d'idéal. C'est elle qui est la première victime de ce système. Comme dans "Little Odessa", nous voyons qu'il conduit à la destruction et à la mort. Ce monde ne mène nulle part. J'ajouterais que les acteurs sont très bon, mais particulièrement Joaquin Phoenix. Petit à petit, nous assistons à la déchéance du personnage. La musique est très bien choisie et la lumière joue un rôle important. Je sais que James Gray est fan de Coppola. On voit qu'il s'est inspiré de lui pour les lumières, ou la couleur au sens plus large. Comme pour "Little Odessa", nous avons des couleurs assez pales, froide, glaciale, qui évoque la tristesse, le manque de joie et la mort. Donc nous avons un très bon film !
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