Avis sur In the Shadow of the Moon

La traque d'un tueur en série revenant tous les 9 ans par un flic obstiné... Je m'attendais à un petit thriller et finalement c'est une agréable surprise aux accents fantastiques dans la veine de L'armée des 12 singes ou Looper, certes en deçà mais bien foutue et bien interprétée. Bonne pioche.

Je me suis assis et j'ai commencé à regarder Shadow of the Moon sans aucune idée de quoi il s'agissait . Il s'agissait d'un voyage dans le temps type science-fiction. Quelque chose qui a attiré mon attention car j'aime les histoires de voyage dans le temps. J'ai vraiment apprécié le mystère de la première moitié du film. Je laisserai de côté les trous flagrants de l'intrigue et les paradoxes de l'histoire réelle (11 septembre). Je dirai simplement que ce film a des nuances politiques très discutables et troublantes. Je terminerai en disant simplement que je désire sincèrement le jour où je pourrais simplement m'asseoir et regarder un film sans qu'un sermon politique me sois sermonner...

L'histoire n'est pas novatrice, on a déjà eu ce genre de scénario et c'est là tout le problème, j'avais tout compris dès la seconde vague de crimes si bien que le film a perdu tout son intérêt. Rien à dire sur les acteurs qui sont parfaits. Le film sera apprécié des jeunes qui n'ont pas encore visionné autant de films de SF que moi. Je pense que c'est un bon film à voir pour les moins de 35/40 ans a delà je crois que les gens auront un sentiment de déjà vu....

La 1ère était pas mal. Thriller mélangé à de la sci-fi. 2ème heure : de l'ennui. Le dernier quart d'heure m'a profondément choqué. Le message de ce film est nauséabond. C'est donc tout à fait acceptable de tuer les gens qui ne sont pas d'accord avec les idées très à gauche d'Hollywood. C'est dégoûtant ! Si ce film prônait la même chose mais côté droit, il serait tout simplement interdit. La propagande d'Hollywood devient vraiment pénible. On ne peut plus regarder un film sans qu'on nous rabâche "homme blanc hétéro = le diable"

Un film policier, une chasse au serial-killer, une saga familiale sur un cercle restreint de personnages et même, plus étonnant, une part de SF forcément amenée à prendre une importance capitale... Si l'on devait prendre un à un chacun des ressorts des différents genres utilisés par le nouveau long-métrage de Jim Mickle, "In the Shadow of the Moon" ne pourrait pas se targuer d'être d'une folle originalité à l'instar hélas d'une trop grande majorité de productions Netflix se contentant de recycler des recettes établies sans grandes prises de risques. Seulement, ici, il y a une très grande différence avec cette masse oubliable, c'est la qualité du moule dans lequel ces emprunts se retrouvent fondus pour construire la meilleure manière de raconter une histoire explorant la croissance d'une part sombre de l'Amérique. Alors, certes, même dans son ensemble, ne vous attendez pas à être bousculés au plus haut point par les tenants et aboutissants de "In the Shadow of the Moon", le film n'a clairement pas de velléités révolutionnaires mais il est indéniablement une proposition de SF pertinente allant jusqu'au bout de son propos, de ses choix temporels de narration et de la destinée cruciale des personnages qui y gravitent.

Étalée sur plusieurs décennies, l'intrigue se focalise sur le parcours d'un flic pris dans l'engrenage obsessionnel d'une enquête autour de meurtres apparemment aléatoires mais se répétant de manière cyclique, et ce même après avoir mis un terme au agissements du criminel supposé de la première vague. Dès son ouverture offrant déjà un sacré beau de moment de cinéma par la mise en scène travaillée de ces premiers meurtres d'anonymes, "In The Shadow of the Moon" nous emporte aisément dans l'étendue de son mystère vécu par ces policiers un brin décontenancés par ces agissements inexplicables. Tout dans les relations de Thomas Lockart (Boyd Holbrook), jeune flic se rêvant déjà inspecteur, avec son partenaire, sa femme ou son beau-frère ambitieux fleurent bon les stéréotypes mais ceux-ci nous ramènent plutôt judicieusement bien dans l'ambiance de cette reconstitution soignée des années 80 où la présence de cet agresseur est présentée comme une défaillance dans cette routine. Lorsque le temps vient pour le récit de faire un premier bond de neuf ans en avant, il apparaît clair que la vie de Thomas va rester entièrement bloquée sur cette enquête. Son entourage continuera à avancer pendant que lui va s'enfoncer toujours plus loin dans sa fixation de trouver la clé du phénomène qu'il chasse. Face à cette paralysie existentielle continuellement abordée avec les clichés policiers de ce personnage en perte de repères (peut-être même trop, surtout au niveau de son look), se dessinera peu à peu les motivations d'un adversaire qui, lui, par opposition, va à une vitesse inarrêtable à contre-sens de la logique en vue justement d'un bouleversement majeur d'une situation préétablie. En effet, c'est dans la "face cachée" des époques traversées par le cadre du film que se construit quelque chose de plus vaste, un cancer insidieux et naissant autour d'une idéologie que Mickle prend un malin plaisir à évoquer à travers des références historiques et littéraires ou encore des comportements nauséabonds amenés à en engendrer des pires. Quand le film va expliciter la teneur de ces ombres grandissantes pour la superposer à la condition du duel en train de se jouer entre Thomas et sa proie, c'est d'ailleurs là qu'il va connaître son passage à vide le plus flagrant, les contours du mystère l'ayant guidé jusque-là seront désormais connus et il semblera de fait ne plus avoir grand chose à dire sinon de stagner lui aussi comme son héros autour de ses contours avec certaines facilités (l'analogie avec les porcs... bon, ce n'est pas faux, ceci dit). Mais, c'était bien vite oublier la strate plus intime du long-métrage qui viendra s'annexer intelligemment à l'ensemble dans un dernier acte conjuguant enfin tous les niveaux du récit pour en révéler l'éclat. Peut-être que certains auront vu venir ce rebondissement final mais il n'en demeure pas moins qu'il met en relief la maîtrise incontestable que Mickle n'aura eu de cesse de maintenir à un haut niveau et sur de nombreux plans afin nous raconter son histoire, morcelant toutes ses dimensions pour ensuite mieux les réunir dans une apogée faite à la fois d'émotion et de réflexion. "In the Shadow of the Moon" ne restera probablement pas comme le fait le plus marquant de sa filmographie à cause de travers parfois pas vraiment subtils mais il poursuit harmonieusement les thématiques que l'on y a déjà entrevues et, si besoin en était, nous rappelle que le bonhomme est tout autant un conteur hors-pair qu'un cinéaste accompli et passionnant à suivre dans les genres où il choisit de s'exprimer...

Mouaaaaaaaaais...un thriller de science fiction sur fond de paradoxe temporel, sur le papier je suis preneur mais il faudrait m'offrir autre chose qu'une leçon de morale XXL et c'est ce à quoi se résume un peu "in the shadow of the moon". Comme souvent chez Netflix la réalisation est soignée mais j'ai eu (en plus de la lecon de morale) l'impression de voir une nouvelle étirée en format long métrage d'ou un manque de rythme assez sensible. L'idée était là mais le produit fini n'est vraiment pas transcendant 2 / 5

Bien, résumons : le monde va sombrer dans le chaos à cause des méchants spoiler: racistes terroristes blancs
. Mais heureusement, une gentille femme black spoiler: venue du futur
vient assassiner spoiler: dans le passé
tous ceux qui spoiler: propagent des idées opposés à ce merveilleux monde multiculturel qui nous attend...
Si ce film de basse propagande ne faisait pas pleurer, il ferait presque rire. On y a tous les ingrédients du politiquement correct : les méchants blancs (forcément racistes), le héros qui voit avec ravissement sa fille blonde spoiler: épouser un black pour donner naissance au futur (forcément black),
le génial savant indien... Encore plus gênant, le film prône le meurtre préventif d’innocents sur la base de leurs seules idées. Bref, Orwell est parmi nous et la propagande montre son vrai visage : l’appel à une dictature totale. Sur un sujet similaire mais traite infiniment plus intelligemment, je recommande par contre le film ‘predestination’ qui est un petit chef d’oeuvre. Inventif et subtil, lui...

Thriller SF ambitieux qui nous offre un début réussi et prometteur, le film finit par s'égarer dans ses ellipses et répétitions et fait preuve d'une certaine platitude dans l'enchaînement des séquences, trop confiant dans l'effet de sa révélation finale. On peut accorder au scénario une certaine malice, même si mal emballée. mais le gros travers de l'ensemble reste cette fin à la morale pour le moins douteuse... Maladroit!

Juste la moyenne et avec regret... J'ai cru un temps me faire plaisir avec un film de science-fiction captivant, mais j'ai trop vite déchanté. J'aurais même pu noter plus bas mais j'avoue que Boyd HOLBROOK campe un personnage compliqué avec art. Toutefois... Quel dommage... Pour moi l'Armée des 12 Singes était davantage réussie. Qu'en pensez-vous?

Obligé de mettre 0,5 c'est bien cher payé. Film qui représente tout à fait le lavage de cerveaux que nous soumettent les ricains et qui innonde la création artistique mondiale. Le personnage du "héros " qui abandonne tout pour suivre son enquête franchement c'est nul,nul ,nul!!!Rempli de poncifs et plein du politiquement correct le message final est clair et des personnages comme le "savant " extrêmement désagréable ne font que renforcer un sentiment nauséeux qui nous envahit très vite.Le film a été un four total en salle alors Netflix se venge en nous l'imposant dans ses nouveautés. Une catastrophe.

De bons acteurs, une réalisation soignée et qq très rares effets spéciaux plutôt sympas mais le scénario est vraiment tiré par les cheveux et très mal exploité, sans parler des nombreuses lenteurs qui cassent totalement le rythme de ce petit polar un tantinet SF.

Un assez bon thriller fantastique sur le voyage dans le temps. Un casting bien choisi. Une atmosphère bien rendu. Reste un petit soucis de rythme.

Encore des méchants blanc qui veulent sauver leur civilisation, heureusement l’héroïne métisse va les saigner pour imposer le progressisme.Film clairement a but idéologique , ras le bol de ces bouses de Netflix, heureusement que je suis pas abonné.Le début du film reste sympathique et donne envie de regarder mais la seconde partie est plus que navrante.C'est pas la première que Netflix nous fait le coup , (Annihilation - féministe , Death, love and robot - homo- progressiste , et j'en passe) .Bref si vous n'avez pas encore résilié, faites le vite.

La première moitié est agréable, quand on ne voit pas encore de quoi il s'agit et puis... l'intérêt retombe grandement ensuite. L'intrigue sf est vue et revue ailleurs mais cette fois sans génie, sans rien d'impactant, on reste bouche bée devant son écran à avaler cette bouillie ni bonne ni mauvaise, cinéma fast food comme il s'en fait trop, bien fait mais sans la moindre saveur.
Des questions reste sans réponses... une fois que le film a balancé son intrigue il ne soucie plus d'être très solide sur le plan de la cohérence.
Par ailleurs le film aurait gagné en richesse à soutenir la même idée mais placée dans des mains différentes: spoiler: non pas entre celles d'une justicière du futur trop stylée en envoyée par des scientifiques pour le bien de la société, mais plutôt une personne motivée par des enjeux personnels, hantée par un drame sans issue (l'armée des 12 singes quoi, ou l'épatant prédestination...),
privilégiant une approche plus dramatique/psychologique que simplement action/thriller.

Je n'aime pas le message du film, il y a une fort message "les blancs sont mauvais" "tuer les supremacistes blancs". Un message ridicule et un scenario repetitif. J'ai perdu mon temps en regardant cet film. Nul.