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    L'Etreinte
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    2,3
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    69 critiques spectateurs

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    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    164 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 mai 2021
    Un film gris et décevant que porte tant bien que mal Emmanuelle Béart malgré des seconds rôles en carton-pâte, un scénario creux et une image laide.
    La critique complète et d'autres sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2021/05/letreinte-de-ludovic-bergery-gris-et.html
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2020
    Moins présente à l'écran depuis quelques années, faute de désir de sa part, Emmanuelle Béart est "de retour" avec L'étreinte, qui a été précédé de Merveilles à Montfermeil. Pas de chance, ce ne sont pas de très bons films même si dans le premier long-métrage de Ludovic Bergery elle est tout à fait remarquable en quadragénaire veuve et accablée, qui a du mal à redonner un sens à sa vie. Malgré sa performance, L'étreinte peine à nous passionner pour les états d'âme assez vagues de cette femme et surtout pour son comportement erratique. Sa connexion avec une bande de jeunes, avec lesquels elle partage des cours à l'université, semble parfaitement artificiel et, de toutes manières, le film ne s'intéresse guère à d'autres personnages qu'à celui de son héroïne. Ce film sur le deuil et la résilience manque un peu de tout dans une linéarité jamais rehaussée par une mise en scène désespérément plate. Il y a bien une poignée de scènes abouties mais l'ensemble aurait pu être tourné dans les années 70, sans que cela fasse une différence. Pour en revenir à Emmanuelle Béart, il est assez facile de comprendre pourquoi elle a accepté le rôle, qui sollicite d'elle un investissement corps et âme, sans se préserver aucunement. Une constante chez l'actrice, cette générosité de jeu, qui devrait lui valoir des louanges méritées. Dommage que cela soit au service d'un film autant dénué d'intensité et même d'émotion.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2021
    A la mort de son mari, Margaux décide de revenir sur Paris et de reprendre des études en linguistique.
    Côtoyant alors de jeunes étudiants pétillants et sans tabou, elle va se mettre en recherche d'amour et de sexe jusqu'à se perdre presque totalement...
    Je ne suis pas trop fan d'Emmanuelle Béart au départ, mais il est difficile d'accrocher à ce film sans grand intérêt ni sur le fond, ni sur la forme.
    Autant la première moitié se regarde potablement (grâce notamment à la présence agréable de Vincent Dedienne), autant la seconde partie sombre peu à peu dans une sorte de recherche désespérée érotico-amoureuse assez indigeste dans laquelle l'actrice principale n'arrive pas à nous emporter.
    Très fade.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Santor
    Santor

    3 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Sans films depuis 7 mois comme tous les Français, c'est par le film "L'étreinte" que j'ai repris le chemin des salles.
    J'ai été très déçu par ce film. Les personnages sonnent creux et faux, les scènes sont inexistantes et ce n'est pas très bien filmé.
    Dommage pour Emmanuelle Béart dont c'est le retour et dont on préférera encore le film de Sautet "Un cœur en hiver".
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    169 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mai 2021
    On nous parle de grand retour d'Emmanuelle Béart à propos de ce film qui est une catastrophe sans précédent. On aura rarement vu un premier film aussi peu inventif, aussi défraichi et qui sent le renfermé et le rabâchage dès ses premières images. Emmanuelle Béart se laisse porter par cette histoire pénible et consternante d'ennui et de banalité. Mais a-t-elle vraiment le choix? Les seconds rôles : Vincent Dedienne en tête, Sandor Funtek et Eva Ionesco sont risibles, calamiteux et jouent atrocement mal. Cette "Étreinte" est un véritable calvaire.
    Marc A.
    Marc A.

    16 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Le navet d'intello déprimé par excellence ! Beart surjoue et l'écriture cinématographique absolument nulle. À éviter !
    PLR
    PLR

    407 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2021
    Ce type de sujet est censé faire passer des émotions aux spectateurs mais là ça ne prend pas. Ça ne s'explique pas trop, sauf à refaire tout le scénario, mais c'est comme ça. Un genre de cinéma dit d'auteur, ce qui pour un premier long métrage est toujours risqué. Pour l'auteur et le spectateur ! Au final ennuyeux. Très ennuyeux. C'est un film du Festival d’Angoulême. Étonnant, on se croirait dans un certain genre de sélection pour Cannes.
    Marie Jose A
    Marie Jose A

    4 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Un film brouillon
    Une actrice dépassée
    Aucune émotion
    Tout est survolé
    Pour une reprise pas ravie
    J'espère que les suivants seront mieux
    En résumé ce film est bâclé
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Qui aurait pu croire qu’Emmanuelle Béart pouvait encore nous surprendre. Dans “L’étreinte”, l’actrice incarne une veuve quinquagénaire qui reprend des études littéraires en allemand pour se donner un semblant de nouvelle vie. Elle côtoie alors les jeunes étudiants dans la fleur de l’âge, qui vivent au jour le jour sans se soucier de l’avenir. Le sexe est d’ailleurs l’une de leurs sources de plaisirs et l’un en a même fait un business en devenant escort boy pour femme âgée. C’est avec l’étudiant homosexuel qu’elle se sent le plus proche. Ce dernier croit en l’amour exclusif et prend la Prep, un traitement préventif contre le sida pour vivre au mieux son avenir. Portée par ces vents légers qui l’entourent, elle saute le pas des sites de rencontres et commence à enchaîner les rencontres jusqu’à l’attachement pour un homme qui ne la prend pourtant que pour un plan régulier. Le visage grave face à son entourage, le personnage d’Emmanuelle Béart prend conscience que ses belles années sont derrière elle. Portée par une actrice d’une justesse déconcertante, “L’étreinte” est une œuvre extrêmement douloureuse sur le deuil du passé.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Padami N.
    Padami N.

    59 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2021
    le film comporte beaucoup scènes inutiles pour la narration et donner un sens. E.Beart donne l impression d être perdu dans le film son époque et sa vie.et le film.commence vraiment au bout de 45 min...
    julcine
    julcine

    22 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Quel plaisir de retrouver Emmanuelle Beart dans un beau film sensible. Elle s'abandonne dans chaque plan, je l'ai retrouvée comme je l'aimais dans "un cœur en hiver" ou "les enfants du désordre". Certes, ce métrage n'est pas aussi maîtrisé que ces chefs-d'œuvre pré-cités mais il possède de nombreuses qualités. Pour un premier film, cela donne envie de continuer à le suivre...
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2021
    Emmanuelle Béart signe enfin son retour sur les grands écrans. Elle a muri. Elle est devenue cette femme qui assume le passage des ans, sans pour autant renoncer à la sensualité et à la beauté. Dans le film, elle s'entoure de jeunes gens, des étudiants en faculté d'allemand, qui débordent de vitalité sexuelle et affective. Elle s'immisce malgré elle dans ce groupe, en y prenant à la fois la place d'intruse et de conquérante. "L'étreinte" est un film sur la renaissance émotionnelle d'une quarantenaire, que la vie qu'on imagine jusqu'alors plutôt aisée, a contrariée avec un décès. L'héroïne se retrouve dans une demeure ancienne, dans le même village d'ailleurs où Duras passait ses vacances et ses week-ends.

    "L'étreinte" est un premier film. En cela, diriger une Emmanuelle Béart qui a tant embelli le cinéma français est osé, d'autant quand il s'agit d'un retour sur les écrans. La comédienne habite tout le récit malgré les inévitables défauts d'écriture d'une première œuvre. Le scénario se heurte en effet à incohérences, des invraisemblances, et des hasards (qui n'en sont a priori pas) mais qui alourdissent considérablement la cohérence de l'histoire. Mais Béart s'invite dans cette histoire avec une telle volonté, une telle sincérité qu'on finit par mettre de côté les défauts d'écriture majeurs.

    "L'étreinte" annonce en tous les cas l'éclosion d'un cinéaste. On lui espère une belle carrière avec des Muses comme Emmanuelle Béart dont la profondeur et le talent n'ont pas pris une ride.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Margaux (Emmanuelle Béart) remonte de Nice vers Paris en TGV. Elle retrouve sa sœur (Eva Ionesco) à Neauphle-le-Château où elle revient s’installer dans la maison familiale. Elle reprend à l’université des études en littérature allemande et se retrouve au milieu d’une bande de joyeux lurons dont la séparent quelques dizaines d’années. On apprend bientôt que Margaux a perdu son mari six mois plus tôt. "L’Etreinte" raconte son deuil et sa douloureuse reconstruction.

    "L’Etreinte" est un film paradoxal qu’on pourrait aisément flinguer en trois lignes ou bien essayer de défendre en trois paragraphes.

    Le flingage en règle pointerait à raison la maladresse de certaines scènes, quelques incohérences de scénario et pourrait se moquer de son actrice : qui prend la liberté de critiquer Isabelle Huppert doit reconnaître à d’autres le droit de ne pas aimer Emmanuelle Béart.

    La défense de ce film, à mon avis sensible et juste, demande plus de temps.

    Elle suppose de parler d’Emmanuelle Béart, de sa révélation dès le milieu des années 80, de sa rapide consécration au rang d’icône dans les années 90, de ses rôles très dévêtus dans "La Belle Noiseuse", "J’embrasse pas", "Un cœur en hiver". Elle suppose aussi de parler des ravages de la chirurgie esthétique qui l’ont défigurée attirant sur elle des commentaires éplorés et pas toujours empathiques, et d’une vie privée passablement chaotique.

    Le parcours d’Emmanuelle Béart, sa vie cabossée résonnent intimement avec son personnage. Margaux a l’âge de son interprète (née en 1963) : la cinquantaine déjà bien entamée qui, de nos jours, range les femmes dans la catégorie, au choix, des quinquagénaires épanouies, des Milf ou des pré-retraitées. Elle en porte les stigmates : elle en garde paradoxalement l’innocence. Emmanuelle Béart interprète à la perfection cet entredeux indécis : elle est trop vieille pour être de plain pied avec les jeunes étudiants qui l’ont prise sous leurs ailes à la fac ; elle ne l’est pas tout à fait assez pour renoncer aux rêves qui les animent et aux pulsions qui les traversent.

    Ludovic Bergery a un défaut. Il construit son scénario à la truelle, voulant par couches successives dresser le portrait chinois de la quinqua en reconstruction en la plaçant dans une succession de situations parfois caricaturales (on se serait volontiers épargné les scènes malaisantes à la piscine et avec les mafieux russes). Mais il a une qualité : il filme Emmanuelle Béart en gros plan. Il filme notamment son visage et ses lèvres dont on a dit combien la chirurgie esthétique (à 27 ans !! mais pourquoi diable une femme aussi belle est-elle allée prendre des risques sous le bistouri d’un chirurgien à 27 ans ?!) l’avait défigurée. Ce corps, d’une sensualité folle, ce visage toujours si beau, qui s’illumine parfois de taches de rousseur adolescentes, Emmanuelle Béart et son réalisateur nous les offrent comme un cadeau. Merci.
    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2020
    Il fait plaisir de revoir l’une des plus grandes actrices françaises faire son retour devant la caméra alors qu’elle avait pris ses distances avec le cinéma, comme malheureusement beaucoup de cette génération (Sophie Marceau, Isabelle Adjani, …). Et c’est tout à l’honneur de Ludovic Bergery de l’avoir fait sortir de sa retraite pour son premier film de cinéma. Dommage que « L’Étreinte » (drôle de titre quand on a vu le film puisqu’on ne voit pas de quelle étreinte il est fait allusion ici, ou plutôt laquelle en particulier) soit quelque peu décevant et que ces notes d’intention aboutissent à des promesses non tenues. C’est un beau portrait de femme au tournant de sa vie tout de même. Et de voir l’évolution d’une récente veuve qui va retrouver les bancs de l’université et réapprendre à découvrir son corps et sa sexualité a déjà été vu de nombreuses fois au cinéma (côté américain comme européen) mais le contexte étudiant de ce film et le retour de Béart lui donnent de l’intérêt à priori.



    Malheureusement, les espoirs sont vite déçus et ce pour plusieurs raisons. Le scénario de Bergery manque de liant et surtout souffre de plusieurs approximations narratives dommageables et bien trop visibles pour être niées. Par exemple, le personnage de la sœur jouée par Eva Ionesco (troisième nom à apparaître au générique) a le droit à deux scènes et trois lignes de dialogue comme si on l’avait charcutée au montage ou qu’une partie du scénario avait été occultée dans la version finale. Ensuite, la relation amicale se liant entre le personnage principal de Margaux et celui de Vincent Dedienne, jeune étudient gay, est bien trop peu développée et n’apparaît pas crédible par manque de profondeur. D’un coup, sans plus d’explications, ils sont amis. C’est étrange et ces ellipses sur leurs rapports sont perturbantes, comme si, encore une fois il manquait des scènes. On peut ajouter que le passé, les désirs et les atermoiements de l’héroïne restent trop vagues pour permettre l’identification et la comprendre. Enfin, la réalisation n’est pas très racée et s’enlise dans une tristesse désagréable à l’œil. On peut donc parler d’une œuvre à trous, notamment pour les seconds rôles mal dégrossis.



    Et même Emmanuelle Béart, pas forcément mauvaise, pâtit d’une direction d’acteurs un peu approximative. Elle semble errer dans le film comme un fantôme (même si la teneur du rôle peut en partie l’expliquer) mais on aurait aimé la retrouver plus flamboyante. Et les ravages de la chirurgie esthétique jouent sur ses expressions faciales et donc, conséquemment, sur son jeu… Dommage. Néanmoins, « L’Étreinte » n’est pas désagréable et contient de jolis moments notamment sexuels quand le personnage tente de renouer avec les plaisirs charnels. Et il y a quelques fulgurances comme la scène inattendue et très érotique de la piscine. On aime aussi le contexte de cette femme qui se retrouve avec des étudiants trente ans plus jeune qu’elle mais ce n’est pas toujours exploité au mieux. Ce n’est pas le drame intense ou l’autopsie psychologique chirurgicale d’une quinquagénaire qu’on pouvait attendre. Non, c’est même un peu terne et archétypal mais il y a de bonnes choses, scènes et dialogues qui permettent de ne pas trouver le film mauvais. Et peut-être que le réalisateur retravaillera son montage d’ici la sortie…



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    Joce2012
    Joce2012

    170 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2021
    Très bon film, c'est la dure réalité de la vie pour ceux qui cherchent l'amour véritable aujourd'hui, très bonne interprétation de Emmanuelle Béart... bien vu !
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