AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
4395 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Un Monde meilleur ?
5
8 critiques
4
12 critiques
3
9 critiques
2
2 critiques
1
1 critique
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un monde meilleur : Un film optimiste, riche en émotion et en rire avec une vraie leçon de vie. Vraiment, je suis particulièrement client de ce film la car ils font réfléchir, il donne le sourire et il se regard avec plaisir et intérêt et franchement, on ne voit pas les deux heurs passés. Et j’ai trouvé que tous était complet et riche dans ce film. Déjà, les personnages sont particulièrement attachants et ils sont bien creusé au niveau de leur personnalité ou leur passé. Et le point de départ est magnifique, c’est étonnant que personne a voulu faire la même chose, ou alors, j’en est pas entendu parler. Car, c’est un professeur qui donne un sujet de tp a ses élèves : que ferait vous pour que le monde soit meilleur ? Et enfant a l’idée simple mais génial est de aider trois personne et ses trois personnes devront aide a leur tour droit personne sous forme de relai et comme sa, le groupe grandi… Mais, pas facile pour l’enfant d’aidé son entourage qui est triste et sombre. Donc voila, c’est une idée assez universel mais le film traite de beaucoup d’autre sujet : la violence, le couple, l’alcoolisme, l’handicape… et ils sont traité de manière optimiste donc idéale et tous ça a travers les protagonistes. Qui sont magistralement interprétés par le casting en or, ils sont tous très justes et sincère. Donc voila, scénario qui peut que vous captivé et ne pas vous laissez indifférent avec une fin assez triste. Et pour finir, la réalisation est en conformité avec le film : simple, classique, très bien filmé et cadré, c’est du cinéma en règle. Donc voila, un beau film tout simplement qui pourrait peut être vous décroché une larme et la banane pour le coté optimiste.
Une bonne idée de départ, mais un film finalement assez niais. Ca se laisse regarder mais on a tout de même un sentiment de gâchis. Kevin Spacey est décevant et la fin est d'un ridicule indescriptible censé nous arracher les larmes…
Une fable humaniste sur le principe de la pyramide de charité qui déborde de bons sentiments à en devenir indigeste, malgré un casting intéressant.
Motivé par l'un de ses professeurs, un jeune garçon lance un mouvement qui consiste à effectuer une série de bonnes actions, pour convaincre ceux qui ont en bénéficié de faire de même. "Pay it Forward" est un mélodrame pas inintéressant mais relativement naïf (certains diront new-age), et contenant pas mal de clichés sirupeux ou tire-larmes. Toutefois, le trio principal relève le niveau : Haley Joel Osment (incontournable enfant star à la fin des 90's) en collégien utopiste, Helen Hunt en serveuse alcoolique, et Kevin Spacey en enseignant plus fébrile qu'il n'y parait. Ainsi, le film se laisse regarder, mais ne marquera pas son spectateur.
L'utopie à l'américaine traité par hollywood il y a toujours une effet dégoulinant qui met mal à l'aise. Cela reste cependant un beau film. La réalisation et les acteurs sont efficaces.
Dès qu'on touche aux sentiments, les critiques sont souvent virulentes,... n'ayons pas honte d'aimer, si le film paraît quelque peu guimauve sur la forme, je trouve la recette d'un "Monde meilleur" tout à fait approprié. Le Bien et le Mal s'affrontent depuis des millénaires...sans résultats...un enfant propose de modifier modestement notre quotidien par des actes simples et "gratuits", où est le Mal ?
Un très beau film qui mérite qu'on s'y attarde. Une pensée profonde à méditer et un projet de vie à étudier. L'enfant apporte le possible et les dialogues sont philosophiques. À méditer car on peut changer si on veut
« Wouh lala, quelle apothéose émotionnelle ! Le film « Un meilleur monde » délivre une magnifique leçon morale sur l’altruisme. C’est une attitude qui consiste à s'intéresser et à se dévouer à l’autre, le tout contraire de l’égoïsme. Une belle histoire d’un élève, Trevor qui, le jour de la rentrée, reçoit de la part de son professeur au visage défiguré, Eugene Simonet un sujet de devoir assez surprenant : « trouver une solution pour rendre le monde meilleur et la mettre en pratique ». Plus mûr, plus sensible que ses camarades, Trevor prend très au sérieux ce devoir. Il suggère d'aider de façon désintéressée trois personnes devront passer le relais pour accomplir trois bonnes actions, à trois inconnus qui en feront de même à leur tour. On ne peut pas changer le monde à douze ans, mais on peut tenter de redonner espoir à son entourage : une mère déboussolée, un professeur solitaire et un SDF sont des cobayes de rêve pour un garçon inventif, généreux, en manque d'affection. Ces trois protagonistes sont superbement interprétés par Kevin Spacey, Helen Hunt et Haley Joel Osment (« Sixième sens »), très étonnant d’une maîtrise et d’une maturité exceptionnelle ! Ce petit garçon pense vraiment ce qu’il dit, il est très attachants ! Le scénario est bien construit, tellement captivant ! Justement, comment éveiller le sentiment d’empathie, le geste d’entraide pour apaiser des personnes et les sortir d’une situation difficile ou même douloureuse ! Un très beau conte philosophique sur le sens de la vie ! Film un peu naïf mais très riche en réflexions sur l’humanité ! Poétique ! J’ai adoré ce film qui m’a vraiment touché par la sincérité des personnages ! Des coups de cœurs ! La fin est un coup de claque, elle m’a fait soudainement comprendre que la vie est belle mais elle peut être cruelle ! Ouh là Quel choc ! Allez le voir ! »
Construit autour d'une belle idée utopique, le scénario repose sur de multiples clichés tout en en évitant soigneusement les écueils. On navigue ainsi entre fable et romance dans ce mélo développant des thèmes réalistes dans une ambiance faussement apaisée de comédie romantique, jusqu'à une fin qui pourra émouvoir ou décevoir.
Ce film extrêmement touchant, j'ai été scotché par l'histoire, la morale et la performance des acteurs tout simplement exceptionnel, à voir !
Une rentrée des classes, une mère alcoolique avec deux boulots, un prof sympa et réformiste : okay, c'est un film social à la californienne qui nous dit "regardez nos pauvres, ils existent, si si" et explore les coulisses de Las Vegas en se repaissant des restes cinématographiques de l'utopie économique. C'est du moins la première impression, et elle reste longtemps, soutenue par une réalisatrice qui hurle dans le sous-texte : "oui, je sais que c'est un film naïf, foutez-moi la paix avec ça".
Cependant le film va bouger, et même beaucoup. Le scénario éclot avec une lenteur étonnante, mais ce n'est ni plus ni moins ce qui est nécessaire pour révéler des personnages dynamiques se nourrissant de leur interactions les uns avec les autres. Leder réussit à laisser le film s'écrire tout seul, ou du moins à en donner l'illusion puisqu'il s'agit en fait de l'adaptation d'un roman. Les transitions sont d'une douceur incomparable : les remises en question d'un professeur, les révélations d'un jeune ado, les sacrifices d'une mère, tout est lié mais rien ne trahit que l'écriture pût avoir été forcée ou orientée.
Les coutures ne sont pas totalement invisibles, mais c'est un détail qu'on oublie à mesure que l'histoire se bonifie et s'affirme sur le long terme. Faisant de l'adulte et de l'enfant des égaux, Leder est récompensée d'avoir souligné tout son film d'une espèce de faux pessimisme : le monde est dégueulasse, mais il faut avancer - une philosophie rabâchée avant elle, à la différence qu'elle l'énonce avec le même dynamisme qui, sans apitoiement, définit son œuvre.
Trouvant ici l'un de ses rôles les plus sensibles, Spacey participe à une œuvre qui flotte au-dessus du septième art, intouchable, réticente aux lieux communs, qui assume ses irrégularités, ses "rides", non comme une fatalité mais comme une beauté nouvelle. Un film plein d'émotions qui s'adresse aux plus blasés.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Cependant le film va bouger, et même beaucoup. Le scénario éclot avec une lenteur étonnante, mais ce n'est ni plus ni moins ce qui est nécessaire pour révéler des personnages dynamiques se nourrissant de leur interactions les uns avec les autres. Leder réussit à laisser le film s'écrire tout seul, ou du moins à en donner l'illusion puisqu'il s'agit en fait de l'adaptation d'un roman. Les transitions sont d'une douceur incomparable : les remises en question d'un professeur, les révélations d'un jeune ado, les sacrifices d'une mère, tout est lié mais rien ne trahit que l'écriture pût avoir été forcée ou orientée.
Les coutures ne sont pas totalement invisibles, mais c'est un détail qu'on oublie à mesure que l'histoire se bonifie et s'affirme sur le long terme. Faisant de l'adulte et de l'enfant des égaux, Leder est récompensée d'avoir souligné tout son film d'une espèce de faux pessimisme : le monde est dégueulasse, mais il faut avancer - une philosophie rabâchée avant elle, à la différence qu'elle l'énonce avec le même dynamisme qui, sans apitoiement, définit son œuvre.
Trouvant ici l'un de ses rôles les plus sensibles, Spacey participe à une œuvre qui flotte au-dessus du septième art, intouchable, réticente aux lieux communs, qui assume ses irrégularités, ses "rides", non comme une fatalité mais comme une beauté nouvelle. Un film plein d'émotions qui s'adresse aux plus blasés.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Avec un postulat de départ très utopique Un Monde Meilleur tombe régulièrement dans le pathos forcé pour raconter une histoire infantile et mièvre. Pourtant l'intrigue se déroule sans accro, avec suffisamment de pragmatisme pour emporter son spectateur jusqu'à sa conclusion grandiloquente, triste, et arrache cœur.
https://m.facebook.com/la7emecritique/
https://m.facebook.com/la7emecritique/
HamsterPsycho
Une très bonne idée, pour un résultat qui peut sembler parfois assez niais et tire-larmes. Il n'en demeure pas moins que c'est bien joué, que le sujet reste valable, et que la morale de l'histoire est bien là. Les trois acteurs principaux remplissent très bien leur rôle.
Outre la romance classique, l'histoire est originale avec la "chaîne de bonnes actions" que lance ce garçon attachant. L'ensemble est assez classique avec une Mère célibataire alcoolique qui enchaîne plusieurs boulots, un enfant en manque d'affection et un homme solitaire et organisé... Ce qui est intéressant, c'est l'aspect de la chaîne qu'il lance et l'enquête du journaliste qui cherche à remonter à la source. Mais le rythme est trop ennuyeux, l'ambiance trop froide.. Et surtout la mise en scène ne dégage pas les émotions attendues... Le final est
spoiler:
tragique et bouleversant
mais il manque quelque chose pour nous toucher davantage.. On est comme décroché de l'histoire. J'ajoute que j'ai du mal avec Kevin spacey..
mais il manque quelque chose pour nous toucher davantage.. On est comme décroché de l'histoire. J'ajoute que j'ai du mal avec Kevin spacey..
Comme le montre la différence 1.3 entre note presse et note spectateur ce film a du coeur, est très humain et est bien ressenti comme tel. Avec Haley Joel Osment dans sa meilleure période.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse