Avis sur K-19 : le piège des profondeurs

Film fortement prenant.
Inspiré d'une histoire vraie il est difficile de ne pas se sentir pris nous aussi dans ce sous-marin nucléaire soviétique qui part à moitié fini, à la soviétique, c'est à dire sans aucune précaution pour les hommes et leur sécurité. Seul compte le fait d'aller narguer les Américains à un moment où la guerre froide peut dégénérer à la moindre maladresse...

Inspiré de faits réels, on suit les mésaventures du sous-marin soviétique K19 avec comme point d'orgue l'accident nucléaire dû à une fuite du système de refroidissement du réacteur. On est vite accroché durant la phase de réparation.
Ensuite, on s'intéresse beaucoup moins à la fin de l'histoire où les sentiments mielleux viennent polluer le film. Dommage cette fin... elle n'apporte vraiment rien.
Bref : pas vraiment un piège de profondeurs mais plutôt un piège nucléaire.

Une histoire (vraie ) passionnante ou le suspense est présent du début à la fin grâce à un scénario très bien écrit et au casting impeccable ; il arrive presque au niveau d' "Octobre rouge " ; une incontestable
réussite .

K-19 : le piège des profondeurs : Franchement emballé par ce film qui ma agréablement et fortement surprit par sa qualité et donc qui se révèle être un grand film. Ou on nous raconte une vrai histoire car elle est basé sur des fait réels, ce qui accrue l’intérêt du film. Mais surtout, on nous raconte une histoire prenant et captivant, souvent émouvant avec un suspense et une tension palpable. Un film remplit aussi de valeur qui sont : le courage, le dévouement pour son pays et ses amis et surtout le coté héroïques des personnages que nous allons voire a l’écran. Car, c’est sur un fond de guerre froide qu’est lancé le premier sous-merrain à tête nucléaire des Russes. Mais une fois lancée, il va y avoir une fuite du réacteur en plein milieu de la mer : soit il explose et les Américains prendrons ça comme une attaques ou soit les passages et leurs capitaine fond tous pour refroidir le système (qui est remplit de radiation) au péril de leur vie car la salle du nucléaire est a plus de 800 degrés. Et donc, nous allons suivre cette équipage Russe tous faire dans ces moments difficiles ou la panique et la tension est a son maximum. Et vraiment, le film est très bien fait car pendant plus de deux heurs, on a le droit pratiquement a un seul lieu (qui est le sous-marin) et pourtant, l’ennuie de viens pas car on est captivé et prit avec ces équipages. Et vraiment, le film est remplit de moment fort en émotion et en tension palpable, avec aussi un bon suspense pendant tous le film, c’est pour ça que on ne s’ennuie pas. De plus, les personnages sont très travaillé et attachant et on est vraiment avec eux. Voila, une histoire vrai qui était passé sous silence, une historie prenante ou le coté humain et héroïque est en premier plan (et ça j’ai aimé). De plus, les acteurs sont tous plus que convaincant, ils sont tous parfait dans leur rôle et très crédible. Et on a le droit à deux grand acteurs de cinéma : Harrison Ford et Liam Neeson qui sont sensationnelle et remarquable et impeccable comme d’habitude. Les musiques du film sont très bien choisit et accentue les moments fort a participe a l’ambiance très réussit du film. Grâce à une réalisation de grand qualité avec une mise en scène très soigné et remarquable. On a beau être dans un petit décors peu espacé (le sous-marin) et bien, c’est magistralement bien mit en scène. D’ailleurs, c’est Kathryn Bigelow pour ceux qui connaisse (elle a fait Zero Dark Thirty et Démineurs). Voila, un grand film ou l’émotion et le suspense est de taille, un film que je vous conseille vivement : une aventure humain inoubliable.

Un excellent film de sous marin et ç est pourtant un genre souvent exploité. Merci donc à l excellente Kathryn Bigelow qui nous sort une nouvelle fois un excellent film de guerre ou la tension est palpable du début à la fin.
Merci également à Harrison Ford très bon dans son rôle.
Le point positif du film est la vision de la guerre froide et le patriotisme du côté des russes et ç est assez rare pour le souligner.
Le point négatif ç est Liam Neeson qui est bien fade dans son rôle et qui n arrive pas à faire contrepoids à Harrison Ford.

Une fausse bonne idée (faire jouer Liam Neeson et Harisson Ford avec l'accent russe), un sujet certes émouvant mais limité et répétitifs et une absence de rythme (c'est très long)!
Reste une histoire qui méritait d'être raconté et des maquillages de personnages vieillis (à la fin) très bien faits (ce qui est rare)

La principale chose que ce film procure est l'ennui. Il dure plus de deux heures, et il ne se passe rien, et encore moins quelque chose d'intéressant.
Faire un film dans un lieu aussi confiné qu'un sous-marin demande une intrigue béton, et surtout un certain savoir-faire pour passionner le spectateur. A croire que quelqu'un avait envoûté Kathryn Bigelow pour qu'elle perde son sens du rythme et de la mise en scène efficace.
On ne peut pas toujours être bon. Chacun a droit à ses moments de faiblesse. Kathryn Bigelow n'y a pas échappé.

L'enjeu paraît bien faible et peu passionnant, les acteurs, icônes américaines ne sont pas spécialement crédibles dans leurs rôles, les péripéties redondantes et l'image assez moche! Ennuyeux, veut mieux retourner voir "À la poursuite d'octobre rouge"

Le film de sous-marins est un genre en soi. Celui-ci est à double facette,et épate autant qu'il repousse. Kathryn Bigelow,avec sa minutie habituelle et son attrait pour les sujets guerriers,nous emmène dans l'univers claustrophobique d'un sous-marin soviétique en pleine Guerre Froide. Entre dilemmes moraux(le sacrifice pour le bien de la communauté,très marxiste cela dit en passant),instauration d'une hiérarchie immuable et spectre de la confrontation totale,"K-19 le piège des profondeurs"(2002) propose son pesant de questionnements psychologiques. Sauf que voir des acteurs américains(Harrison Ford,la machoire vissée et Liam Neeson la bonté en étendard) rouler les "r" et exacerber une idéologie communiste,s'apparente à de l'hypocrisie. De même,le film dans son ensemble manque de nuances et de personnalité. C'est un peu toujours le même problème avec Bigelow: de bonnes intentions détournées au profit de la propagande.

Petite déception pour ce film catastrophe porté par 2 acteurs que j'apprécie beaucoup !! Hormis quelques scènes de bravoure il ne se passe pas assez de choses distrayantes dans ce huis clos !!

Il est véritablement surprenant de voir Hollywood prendre le risque de financer à film à hauteur de 100 millions de dollars qui traiterait de la Guerre Froide à travers le prisme de l’équipage du premier sous-marin nucléaire soviétique. En revanche instaurer un duo de stars anglophones dans les rôles principaux l’es beaucoup moins. En juin 1961 le Kremlin somme le capitaine Alexei Vostrikov (Harrison Ford) de prendre la mer à bord du K-19 bien que le submersible ne soit pas 100% opérationnel, pendant la traversée une défaillance du système de refroidissement du réacteur nucléaire transforme le sous-marin en bombe à retardement et en cercueil pour les membres d’équipage … Avec "K-19 : le piège des profondeurs", Kathryn Bigelow montrait pour la première fois son intérêt pour les récits de guerre qui se sont véritablement déroulés. Avec le temps et quelques essais très concluants le film de sous-marin est pratiquement devenu un sous-genre du cinéma, comme pour chaque genre celui-ci est codifié et malheureusement le confinement de ces films est tel que vraiment très peu d’original peu aujourd’hui en ressortir. Bigelow n’y coupe pas et plonge complètement dans l’affrontement idéologique entre le marxisme et le capitalisme ainsi que du soldat se référant aux ordres et celui se référant aux hommes. Malgré deux acteurs que j’adule, ce long-métrage manque d’idée, de rythme, de véritables performances et surtout de souffle.

20000 lieues dans un cercueil nucléaire…
Tiré d’un fait divers passé sous silence pendant presque trois décennies, le film de Bigelow n’en a que plus d’impact. On pourra toutefois regretter quelques creux où la tension faiblit considérablement ainsi qu’une certaine propension au stéréotype. Le plus dur reste quand même d’imaginer Harrison Ford en russe. Néanmoins, se cache derrière ce récit une aventure humaine faite d’héroïsme et d’abnégation qui ne peut pas laisser complètement indifférent. S’ouvre alors une réflexion intéressante (car plutôt rare) sur le sacrifice, dont le film est à lui seul une allégorie parfois un brin poussive. Les scènes nous montrant les membres d’équipage juste avant qu’ils n’entrent dans le compartiment du réacteur nucléaire, s'exposant ainsi à une radiation mortelle, sont d’ailleurs les plus réussies du film, que Kathryn Bigelow a voulu profondément humain. Cet équipage russe méritait un film à sa mémoire, et même si celui-ci est loin d’être parfait, il a au moins le mérite d’exister.

Il faut quand même être sacrément talentueux pour parvenir à nous intéresser pendant 2 h 15 à une histoire de sous-marin mal rodé dirigé par un militaire psychorigide. En plus il n'y a aucun suspense extérieur puisqu'on sait très bien qu'il n'y a pas eu de guerre atomique en 1961. Mais ça fonctionne, ça fonctionne même très bien puisqu'on est rivé sur son siège pendant la presque totalité du film. Il y a bien déci-delà quelques bêtises comme le symbole chrétien mais on fait avec, ou sans doute plus gênant la scène de la spoiler: mutinerie avortée
qui est loin d'être claire. L'interprétation est sans faute même si Ford est dominé par une Neeson en état de grâce ! Mais il restera dans notre mémoire des scènes d'une force inouïe notamment celle où des matelots spoiler: partent se faire irradier sans le savoir
. Le pompiérisme da la conclusion aurait néanmoins pu être évitée.

En évitant une exposition politique de son sujet, Kathryn Bigelow a su rendre ce fait réel survenu à un sous-marin russe en 1961, infiniment plus humain et de surcroit assez captivant. Les différents relationnels entre un Harrison Ford qui surprend face à Liam Neeson accentue la tension dans un climax déjà dramatiquement pesant. Dans un genre jugé difficilement traitable, «K-19, le Piège des Profondeurs» mérite le détour.

"K-19 : le piège des profondeurs", voilà un nom qui claque si on le voit associé à la superbe affiche. Il fallait au moins ça pour rendre hommage au malheureux équipage qui a navigué dans ce bâtiment, à l’époque fleuron de la marine russe puisque le K-19 fut le premier sous-marin à propulsion nucléaire de l’Union Soviétique, équipé de missiles balistiques. Il était tellement sophistiqué que les autorités russes décidèrent de le mettre en service prématurément, en dépit des rapports alarmants que le commandant nommé leur adressait quant aux nombreux dysfonctionnements qui se produisaient. Le commandant est donc rétrogradé au poste de second, et désignent un autre commandant réputé plus inflexible que n’importe qui d’autre. Le décor est planté, et c’est parti pour un face à face entre un Liam Neeson très convaincant en homme proche de ses hommes, et un Harrisson Ford surprenant en commandant que rien ne peut écarter de la mission qu’on lui a ordonné, basé sur une histoire vraie qui relate l’un des événements les plus tragiques de l’histoire concernant la marine russe. Sachant que les faits se sont réellement produits, l’intérêt ne peut être qu’accru. Sans égaler "A la poursuite d’Octobre Rouge", nous avons là un excellent divertissement apolitique en dépit du contexte de fonds qu’est la Guerre Froide, qui plus est réalisé du point de vue russe, d’ailleurs encadré par un ancien commandant de sous-marin russe et un ancien conseiller naval venus vérifier l’authenticité des protocoles et des manœuvres lors du tournage. La crédibilité est donc augmentée, rendant l’histoire prenante, avec une tension omniprésente et grandissante, et un suspense notoire si on ne connait pas la destinée de ce vaisseau. Les valeurs sont aussi mises en avant : le sens du devoir, l’amour de la patrie, le courage, et j’en passe, le tout orchestré par une balance qui ne veut pas pencher du côté des ordres (les ordres sont les ordres), pas plus que du côté des sentiments. Bien sûr, le contexte de la Guerre froide y est pour beaucoup. Mais le fait est que l’ennui y est inexistant malgré les 132 minutes. Je n’ai qu’un seul regret pour ce film, c’est que la musique, bien que rythmant admirablement bien le scénario, aurait méritée de sonner plus russe, et d’être accompagnée par les Chœurs de l’Armée Rouge. Et à y réfléchir, je trouve que la photographie, somme toute intéressante, est sous utilisée. Cela dit, le K-19 aura été plus une aventure humaine qu’autre chose, dramatique certes, et même tragique, mais une aventure humaine tout de même avec un final quelque peu émouvant,notamment lors de la prise de conscience de chacun des protagonistes, une prise de conscience qui leur dicte ce qu’ils ont à faire, y compris bien des années plus tard.