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traversay1
3 597 abonnés
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2,0
Publiée le 24 août 2023
Curieux, comment ne pas l'être, du nouveau long-métrage de Caroline Vignal après Antoinette dans les Cévennes. C'est toujours avec Laure Calamy, dans Iris et les hommes, mais sans ongulé, cette fois. Est-ce d'avoir laissé de côté l'âne rétif qui explique que le film y aussi perdu son âme, avec cette comédie très poussive qui semble recycler tout un tas de recettes éprouvées pour nous raconter les escapades de sexe buissonnier d'une épouse délaissée ? Il ne suffit pas de se brancher sur des applis dédiées et user des réseaux sociaux ad nauseam pour donner des airs de nouveauté à un sujet qui a alimenté de tous temps la littérature et le cinéma, à savoir la tentation dans le couple d'aller voir ailleurs si l'herbe à brouter n'est pas plus verte. En l'occurrence, comme son titre l'indique, Iris et les hommes ne s'intéresse qu'aux aventures extra-conjugales de l'épouse, qui n'ont vraiment rien de palpitant, en laissant de côté un mari visiblement peu concerné et suspicieux (Vincent Elbaz, qui n'a pas grand chose à faire mais le fait bien). On l'a compris, c'est un festival Laure Calamy, spoiler: y compris dans un passage façon comédie musicale quelque peu grotesque. Certainement que l'on pourrait s'en contenter un dimanche soir d'hiver à la télévision ou sur une plateforme quelconque mais au cinéma, sur un bel écran, l'exigence est autre et Iris et les hommes n'est pas loin de tutoyer le néant de la comédie de mœurs.
Ce film est totalement vide, une fois qu'on a lu le pitch, il n'y a plus rien, aucune surprise.
Laure Calamy et Vincent Elbaz ne font plus l'amour, elle décide d'enchainer les relations sexuelles fugaces grâce à une appli de rencontre. Ça la rend très heureuse, et au bout d'un moment, elle reprend la vie sexuelle avec son mari. Point final.
Mais du coup, pourquoi elle arrête ces rencontres qui la rendent si heureuse? Mystère.
Comment une petite bourgeoise mère de famille coincée devient une telle libertine qui annonce aux hommes qu'elle a une heure pour baiser et qu'ils ne se reverront plus? Mystère.
Que pense Elbaz, le mari? Mystère (il ne parle presque pas)
Ce film semble bâclé, il ne fait qu'effleurer le sujet. La scène de comédie musicale du milieu nous réveille un peu tant elle est gênante, on dirait une pub pour la MAAF.
Calamy joue quand même bien son pauvre rôle mais ça ne sauve pas ce film que je classe personnellement au niveau des navets.
Un sujet sympathique mais le film passe complètement à côté . Hormis une scène de danse style comédie musicale , tout le reste est raté notamment le scénario d une médiocrité désespérante. Il fallait pousser plus loin le curseur de la comédie. Allez y pour le charme indiscutable des comédiens, c est toujours ça.
morale du film : aller coucher ailleurs ça renforcera votre couple. film vraiment pas drôle personnage inintéressant et creux, dialogues insensée et defois extrêmement problématique, le personnage de Laure calamy mérite une pluie de baffe... visuellement c'est extrêmement plat, rarement vu plus nul, fin prévisible, histoire extrêmement prévisible et répétitive, à part les acteurs correct le film n'a pas un seul point positifs.
Malgré une bonne idée de départ, un film très passable....un tiers on sourit, un tiers on s'ennuie et le dernier tiers l'on s'apitoye sur la réalisation proche du néant. Vincent Elbaz est réduit à un rôle de potiche et laure calamy ne peut sauver le film malgré ses efforts louables... dommage
Après un Antoinette dans les Cévennes plutôt pas mal, Caroline Vignal revient avec Iris et les hommes : c'est mauvais !
C'est bien dommage, car il y a un point de départ intéressant à vouloir disséquer les relations de couple actuelles, l'importance de conserver le désir, et traiter l'adultère en comédie via un point de vue féminin.
Mais passées de sympathiques prémices, le tout se plante dans les grandes largeurs en n'assumant jamais totalement son concept, et en ayant le c*l entre deux chaises (à savoir la comédie ou bien une réflexion plus terre à terre de la notion de consentement).
En résulte une comédie rarement drôle, amenuisant son tempo comique de manière régulière au gré des rencontres d'Iris (la réalisatrice n'allant jamais clairement dans une représentation du désir qui plus est, préférant ellipser au possible ou proposer une séquence de comédie musicale approximative intervenant comme un cheveu sur la soupe), tout en concluant son métrage de la manière la plus bateau possible (et difficile de croire au couple formé avec Vincent Elbaz de surcroît).
Reste quand même une Laure Calamy toujours très bonne, qui porte à bout de bras l'ensemble avec énergie.
D'accord avec la plupart des commentaires : le sujet est LOIN d'être original. L'infidélité, les apps de rencontre... c'est long et ennuyeux. C'est comme faire un film sur quelqu'un qui découvre internet ! Peut-être que je ne suis pas la cible. En plus, ce n'est pas drôle non plus et j'ai l'impression que ça se veut vaguement moralisateur... spoiler: Dernière chose : oubliez les comédies musicales ! Je ne sais pas si c'est parce qu'il y a très peu de danseurs dans un espace aussi grand ou si c'est à cause de la choré que je trouve vraiment simpliste mais ça fait vraiment amateur !
Avec la bande annince on a deja vu tout le film. Il y a un manque de scenario et c’est dommage car avec ces acteurs il y avait moyen de faire un bon film.
Ce n'est pas pertinent de comparer ce film à "Antoinette dans les Cévennes" ... les sujets étant très différents. C'est un film médiocre avec un scénario pour le moins répétitif... les plans-cul (il faut bien appeler les choses par leur nom) se succèdent et tous ces mâles sont lamentablement stéréotypés ! ... L'apothéose étant le dernier RV avec un pervers !!! Les textos à l'écran ça va un moment ... mais dans ce film c'est vraiment TROP !!! Même la pétillante Laure Calamy ne réussit pas à sauver ce film profondément ennuyeux ... j'ai failli sortir de la salle et j'aurais dû le faire parce que, même la fin du film, est prévisible et attendue.
Iris et son mari (Laure Calamy et Vincent Elbaz) s’aiment mais ne se touchent plus. La faute au temps qui passe, au désir qui s’évanouit, aux boulots trop prenants, etc… Rien de bien neuf à l’horizon. Mais, heureusement en 2024, il y a les appli. de rencontres. Et Iris va s’y jeter comme on se jette à l’eau. Voilà le point de départ du film de Caroline Vignal, qui se veut une ode à la sensualité, aux rencontres, aux expériences. Cela se met en place sur le ton de la comédie plutôt de bonne manière, mais malheureusement, le film va vite souffrir d’un rythme bancal avec des scènes de rencontres qui s’étirent en longueur et d’autres mieux construite. Ce faux rythme nuit vraiment au film et ce, malgré la prestation sans faille de Laure Calamy. La comédie devient vite platounette, et le versant sensuel plutôt rasoir. Le spectateur qui devrait sortir de la salle avec un grand sourire, n’en sort qu’avec des regrets. Dommage…
Quelle déception ! Brouillon, des idées qui ne vont pas au bout, un mélange des genres et une histoire sans histoire. Seule Laure Calamy sauve un peu l'affaire par sa fraicheur. A éviter