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    Le Soleil des voyous
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    39 critiques spectateurs

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    NeoLain
    NeoLain

    4 441 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2017
    Le soleil cogne sur la tête. Le vol dans la banque est pas inoubliable. La dernière partie est plus accrocheuse. Autre point positif, c'est de voir l'acteur américain Robert Stack au côté de Gabin. Tout de même quoi !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 055 abonnés 4 105 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2024
    Jean Delannoy est avec Gilles Grangier, Denys de la Patellière, Jean-Paul Le Chanois et Henri Verneuil l’un des réalisateurs favoris de la seconde partie de carrière de Jean Gabin. Trente- trois films avec ces cinq réalisateurs dont douze avec Gilles Grangier qui détient la palme des collaborations avec l’acteur. Les deux hommes qui ont collaboré pour deux excellents Maigret se retrouvent après sept ans sans s’être croisés sur un plateau. Ce sera pour l’adaptation d’un roman J.M. Flynn, paru en 1961 (« The action man ») que Jean Delannoy écrit avec Alphonse Boudard que Gabin connaît bien après l’avoir croisé sur « Du rififi à Paname » » (Denys de la Patellière en 1966) et sur « Le jardinier d’Argenteuil » (Jean-Paul Le Chanois en 1966).
    L’acteur s’était spécialisé dans les rôles de grand bourgeois et dans les comédies pimentées par les dialogues de Michel Audiard qu’il affectionnait pour les envoyer comme personne, excepté Bernard Blier le seul à pouvoir rivaliser avec lui dans cet exercice plutôt périlleux. Retiré des affaires, Denis Ferrand organise son temps entre la tenue d’un garage conjointe à celle d’un restaurant qu’il gère en bon père de famille avec l'aide de la très sexy Betty (Margaret Lee) et son rôle d’époux modèle auprès de Marie-Jeanne (Suzanne Flon), une intellectuelle compréhensive. Un mélange de situations bien connues de Gabin, retrouvant en Suzanne Flon son épouse docile du "Singe en hiver".
    Autant dire que Denis Ferrand s’ennuie ferme, se contentant de rêver au casse juteux qui lui tend les bras, juste en face de son restaurant. Le destin frappe à sa porte avec le retour d’un ancien soldat américain (Robert Stack) rencontré à Saïgon qui le sort d’une situation scabreuse. Il n’en faut pas plus pour que l’esprit aventureux de celui que l’on surnommait « Le fignoleur » se remette en branle. « Le singe en hiver » donc, version voyous comme le titre l’indique. Autant dire qu’il n’y a rien de très original sous le soleil. Et pourtant grâce au savoir-faire de tous les acteurs de cette époque bénie qui a été pourtant fortement vilipendée en son temps avec à leur tête un Gabin comme toujours parfait, Jean Delannoy parvient à sauver la partie en faisant passer un bon moment au spectateur qui ne doit pas espérer voir avec « Le soleil des voyous » l'un des chefs d’œuvre du plus grand acteur français de son époque et peut-être même des suivantes.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    972 abonnés 4 903 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2022
    Fait partie de ces films de gangsters à l'ancienne qui sont un genre à part entière finalement avec un Gabin parfait dans ce sempiternel rôle de pacha, rangé des voitures, mais toujours d'attaque avec cette droiture et ce plaisir du "travail" bien fait.
    Toute une époque où les gangsters étaient habillés en cravate !!!
    On est triste pour lui dans sa dernière image.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    214 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Pour le plaisir de voir Jean Gabin (qui plus est, en ce qui me concerne, dans la période que je préfère de lui : entre la seconde moitié des années 60 et la fin de sa carrière - et de sa vie - 10 ans plus tard) et Robert "Elliott Ness" jouer ensemble, et en français dans le texte pour Stack, qui parlait parfaitement la langue de Molière. Sinon, cette histoire de voyou repenti qui, par amitié pour un ancien confrère, reprend du service pour un braquage est sympa, très regardable, mais en rien un chef d'oeuvre. On ne s'ennuie pas trop, mais difficile de mettre ce film au même niveau que "Le Pacha" ou "Le Cave se Rebiffe".
    brianpatrick
    brianpatrick

    76 abonnés 1 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2022
    Sympa toutes ces vedettes. On bon film parisien totallement parisien. Avec une star américaine de premier plan. Le grand Jean Gabin. Un bon petit film policier tourné en 1967 à Paris.
    ferdinand75
    ferdinand75

    484 abonnés 3 687 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Un bon polar bien conçu, où Gabin donne toute sa dimension au film. Il est absolument parfait dans ce rôle de truand à la retraite, qui reprend du service pour un dernier coup. Mais des malfrats l'attendaient au tournant. Un bon suspens , de belles scènes d'action. Un polar à l'ancienne mais qui nous régale.
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    99 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juillet 2015
    Un polar à la française qui manque sérieusement de nervosité malgré la présence charismatique de Robert Stack. Gabin fait son numéro habituel de vieux dabe mais sans la magie de "Mélodie en sous-sol" et surtout il n’y a pas Audiard. Adapté d’une série noire qui n’est pas du meilleur cru on sent le crépuscule d’une période qui marque sa fin, celle du polar à l’ancienne. Delannoy fait son boulot mais il est dépassé en 1967 par les nouveaux venus que sont les Claude Sautet, Jacques Deray et Yves Boisset, sans parler de Melville, demeuré jusqu’au bout un maître en la matière. Tout n’est finalement que caricature dans ce film qui s’épuise au bout de 40 minutes et que rien ne parvient à relever. Seules Suzanne Flon et surtout Lucienne Bogaert en mémé flingueuse, tirent leur épingle du jeu.
    Jipis
    Jipis

    34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2012
    Amusant de voir Eliot Ness venir tâter de la fourgonnette et du bar à putes dans un polar à la Française dominé par Jean Gabin au tour de taille Jupitérien.

    Le concept de la star Américaine en perte de vitesse dans son fief venant astiquer son blason sur d’autres terres n’est pas toujours du meilleur gout.

    Laurel et Hardy dans les années cinquante avec le désastreux Atoll K avait déjà essuyés les plâtres de ce concept à risques.

    Dans une première analyse c’est comme si Robert Stack en perte de vitesse quittait un grand club de football Espagnol pour venir finir sa carrière dans l’hexagone.

    Ce traitement basique contant la reconstitution dans la tourmente d’un duo fraternel de baroudeurs chaleureux possède son unique valeur de prestige dans la récupération d’une grosse pointure.

    « Les incorruptibles » célébrissime série américaine télévisée dans les années soixante permet au soleil des voyous d’en récupérer la pièce maitresse le temps d’un film.

    Cette époustouflante transaction pour l'époque enrobe ce produit standard de toute sa lumière.

    Quand au traitement sans être flamboyant il se regarde comme un produit du genre avec ses malfrats calibrés à la Française auxquels Robert Stack essaie de s'adapter le mieux qu'il peut avec un timbre de voix sonore semblant plus phonétique que réellement verbal..

    Suzanne Flon épouse effacée est merveilleuse de simplicité en faisant comme d’habitude semblant de ne rien comprendre.
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    22 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2014
    Gabin joue Gabin. Suzanne Flon joue Suzanne Flon. Robert Stack joue Robert Stack. Le jeu des autres interprète n'est pas tout-à-fait à la hauteur et la réalisation a laissé faire. Pas vraiment bon ce policier. Mais si on n'a rien d'autre à regarder, pourquoi pas ?
    halou
    halou

    108 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2009
    Un bon polar d'époque, efficace, de bons acteurs. Un bon petit moment comme on les aime.
    rocky6
    rocky6

    28 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2008
    Un bon polar. Gabin est parfait dans son rôle de vieux voyou et son duo avec Robert Stack fait merveille. On devine une vraie complicité entre ces deux acteurs. Et puis jolie prestation également de Suzanne Flon. Un bon moment. L'idée du casse est bien amenée et bien réalisée.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    99 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Ah, encore un chouilla et on aura atteint la complète transformation de 1968. Pour l'instant, il manque un an mais on peut déjà sentir un renouvellement certain, incomplet mais rafraîchissant. Finies les simples menaces entre caves en colère, on passe aux jeux de mains et les combats sont surprenamment bien orchestrés. On notera aussi la présence de bolides banalisés chez la police, qui n'en bénéficient en réalité que depuis un an. Au milieu de tout ça, Gabin se fait vieux mais il est toujours le même et il s'apprête assez bien à faire son entrée dans l'ère post-68 qu'il connaîtra peu.
    Gonnard
    Gonnard

    224 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2009
    Le polar classique. Trop classique je dirais même. On a droit à toute la ribambelle des poncifs de ce genre cinématographique : gun-fights, poursuites en bagnoles, un vol d'une très grosse somme, la gonzesse qui vient mettre son grain de sel (remarque qui vut d'ailleurs pour la vie en générale), des retournements de vestes, ... Les dialogues sont eux-aussi passe-partout. Bref, un film voué à se noyer dans la mer de n'anonymat cinématographique.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    266 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2010
    Oui, car les voyous sont en fait parfois sympa.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    18 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Le restaurateur Denis Farrand, pas tout à fait retiré du banditisme, retrouve son ancien camarades d'aventures, l'américain Jim Beckley avec lequel il monte le casse d'une banque. L'impassibilité et le sens de la formule pour l'un, la séduction et les biscotos pour l'autre, le duo Jean Gabin- Robertb Stack est contrasté mais est-il vraiment complémentaire?
    L'ensemble des personnages relève des stéréotypes du cinéma policier de l'époque, tel qu'on pouvait l'attendre d'un réalisateur impersonnel comme Delannoy et des dialogues "fabriqués" d'un Alphonse Boudard. Le manque d'authenticité des personnages est criant et introduit autant de clichés que de complaisances scénaristiques, sinon d'invraisemblances.
    C'est dans l'action que le film puise le peu d'intérêt qu'on lui porte, l'intrigue du braquage se prêtant bien au suspens. spoiler: La banque dévalisée,
    il reste une demi-heure à Delannoy pour nous convaincre que le crime ne paie pas et pour raconter les incidents contingents qui causeront spoiler: la perte des gangsters.
    Un Jacques Becker ou le Jules Dassin de "Rififi à Paname" aurait sans doute su assortir l'échec d'une noirceur ou d'une dimension tragique confinant à la malédiction. Delannoy, sans style ni idées, ne va pas au-delà de l'anecdotisme et d'un cinéma de têtes d'affiche.
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