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    Les Filles, personne s'en méfie
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Les Filles, personne s'en méfie" et de son tournage !

    Les enfants face à l'écran

    Pour Charlotte Silvera, tout est parti de témoignages qu'elle a eu d'enfants qu'elle avait déjà fait tourner, notamment pour Louise l'insoumise, ainsi que de la volonté de rendre hommage au fameux Bellissima de Luchino Visconti. "Un metteur en scène est presque toujours pris en défaut quand il fait travailler un rôle à des enfants, précise la réalisatrice, parce qu'on ne peut pas répondre complètement à leur attente sur le personnage". C'est le sujet même du film.

    Le film dans le film

    Tout au long du parcours déambulatoire des deux héroïnes, défilent en flash-back des scènes du film que Judith a tourné l'été précédent. Scènes de nostalgie, d'émotion et de drôlerie imaginaires alternent ainsi avec les pérégrinations réelles des deux fillettes. Interprète du personnage de Judith, Thylda Bares était d'autant plus taillée pour le rôle qu'elle avait déjà eu la chance de tourner aux côtés de Jean-Paul Belmondo, dans Amazone.

    Un grand père idéal

    Dans un rôle qui fait écho à celui tenu par Philippe Noiret dans Cinema Paradiso, Jean-Claude Brialy campe un projectionniste qui, derrière des abords un peu bourrus, fait figure de grand-père idéal et montre à la jeune Judith (Thylda Bares) comment le rêve est également fait de réel et que la magie n'en disparaît pas pour autant.

    En DV

    Tourné pendant les vacances de Noël avec une équipe très légère en extérieurs, Les Filles, personne s'en méfie utilise pleinement la technique du numérique. "Comme le sujet est une ode à Paris, explique Charlotte Silvera, cela facilitait notre déambulation dans la ville, en courant après la lumière naturelle". "Avec ces petites DV, ajoute la réalisatrice, on arrivait à coller au plus près des deux enfants, je n'aurais pas pu faire le même film en 35 mm."

    Patchwork parisien

    Armée d'une détermination féroce, la jeune héroïne du film embarque le spectateur dans une course folle au coeur d'un Paris réinventé que Charlotte Silvera a voulu saisir comme autant de clins d'oeil à des lieux de mémoire cinéphiliques. Alternent ainsi les Champs-Elysées où déambulaient Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg dans A bout de souffle , les ruelles arpentées par Jean-Pierre Léaud dans Les Quatre cents coups ou les bords de seine et la péniche qui renvoient inévitablement à Michel Simon dans L' Atalante.

    Participations amicales

    Autour des deux fillettes, respectivement âgées de 8 et 11 ans, Charlotte Silvera a pu bénéficier pour Les Filles, personne s'en méfie de la participation amicale de nombreux comédiens reconnus qui, de Jean-Claude Brialy à Agnès Soral en passant par Jérôme Deschamps ou Dominique Besnehard apportent tous leur nom et leur image à l'oeuvre de la réalisatrice.

    Une chanson douce

    Les Filles, personne s'en méfie bénéficie d'une chanson intitulée La dérive, écrite spécialement pour le film de Charlotte Silvera par Etienne Roda-Gil sur une musique de Jean-Marie Sénia et qu'interpréte la jeune comédienne Thylda Bares.

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