Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Justin et Pierre sont deux amis vivant à Paris qui décident d'élaborer un plan leur permettant d'extorquer trois millions de centimes au père du premier... Josefa, la mère de Justin, décide de les aider.
Suivre son activité
1 424 abonnés
Lire ses 4 048 critiques
2,0
Publiée le 16 novembre 2016
Une petite comédie d’Autant-Lara, un métrage franchement assez mineur, qui repose presque entièrement sur l’abattage de Anna Magnani. Cette dernière est déchainée, et honnêtement, elle ne serait pas là Le Magot de Josefa ne présenterait réellement pas beaucoup d’intérêt. Pleine de vivacité et doté d’un personnage truculent, elle monopolise l’écran, écrasant sans difficulté ses comparses, pas mauvais, mais pas gâtés ...
Lire plus
traversay1
Suivre son activité
1 700 abonnés
Lire ses 3 903 critiques
2,5
Publiée le 3 août 2016
Pourfendeur inlassable du poujadisme, Autant-Lara accuse une nette baisse de régime à partir des années 60. Ici, sa satire des moeurs rurales de révèle d'une lourdeur pachydermique. Le plaisir vient du choc des cultures : Bourvil et Pierre Brasseur contre la grande Anna Magnani, ça ne manque pas de piquant.
ronny1
Suivre son activité
18 abonnés
Lire ses 818 critiques
2,0
Publiée le 29 novembre 2019
Si ce n’était l’abattage d’Anna Magnani et la férocité de Claude Autant-Lara, « Le magot de Josepha » tient son label de navet garanti. Le dernier quart d’heure est consternant. La deuxième étoile est pour la tornade italienne uniquement, car même Bourvil est mauvais et Pierre Brasseur réduit à jouer les utilités.
Maqroll
Suivre son activité
103 abonnés
Lire ses 1 123 critiques
2,0
Publiée le 31 juillet 2012
Une histoire d’arnaque ratée en milieu paysan pour ce qui n’est certes pas un des meilleurs films de Claude Autant-Lara. Le scénario est insuffisant et les acteurs sous employés. Bourvil a l’air de se demander constamment dans quel registre il doit jouer, Pierre Brasseur a un rôle bien trop léger et trop superficiel pour son immense talent, sans compter Ramon Iglésias, qui n’apparaît que dans le premier quart d’heure. Anna ...
Lire plus