Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Alexandre, jeune reporter, est envoyé en mission près de la frontiere grecque. Parmi les réfugiés qui ont traversé la frontiere clandestinement, il croit reconnaitre une personnalité politique grecque disparue quelques années auparavant.
Suivre son activité
406 abonnés
Lire ses 1 747 critiques
5,0
Publiée le 6 août 2011
Une oeuvre remarquable sur l'Homme et ses motivations, sur le sens attribué à la vie et au destin, sur ce qui sépare et ce qui rapproche le commun des mortels. L'intrigue du film de Théo Angelopoulos n'est qu'un énorme prétexte que le cinéaste dilate sur toute la durée du métrage, quête identitaire improbable vouée à l'échec, à la perte... et peut-être même à la mort. Le Pas Suspendu de la Cigogne s'agit peut-être du film le ...
Lire plus
Ykarpathakis157
Suivre son activité
682 abonnés
Lire ses 15 779 critiques
1,0
Publiée le 4 juillet 2022
C'était mon premier et probablement dernier film d'Angelopoulos. C'est comme un monologue de 15 minutes tuant l'action et la patience des spectateurs rien ne se passe à l'écran pendant 15 ou même 20 minutes à part cette vieille dame qui raconte une histoire. Probablement tourné sur des jours différents la continuité de l'histoire a disparu. Il y a beaucoup de problèmes avec cette histoire qui passe de l'absurde à l'irrationnel sans ...
Lire plus
Ladyshamble
Suivre son activité
7 abonnés
Lire ses 167 critiques
2,5
Publiée le 26 janvier 2008
Il me reste de ce film de jolies images mais le fait qu'il soit très lent et sans vraiment d'intrigue rend Le Pas Suspendu de la Cigogne ennuyeux par moments.
MIRALB
Suivre son activité
1 abonné
Lire ses 66 critiques
1,0
Publiée le 3 août 2021
Deux films m'ont fait quitter une salle de cinéma, dont "Le pas suspendu de la cigogne". Pour celui-ci, un ennui à faire hurler... Quant à l'autre (dont je dois taire le titre), une scène qui m'a paru insupportable.
Selon Théo Angelopoulos, L'Eternité et un jour clôt une trilogie également composée de Pas suspendu de la cigogne (1991) et de Le Regard d'Ulysse (1995). Trois films qui évoquent, chacun à sa façon, "la notion de limite ou de frontière dans la communication entre les êtres, dans l'amour, dans le passage de la vie à la mort", comme l'explique Théo Angelopoulos lui-même.