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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Il était projectionniste et avait le sentiment heureux de participer à la création des films. Elle était infirmière, et danseuse le soir... Avec son profil à la Picasso elle l'aimait, mais de loin sans y croire. C'était il y a 20 ans. Une autre vie. Le hasard et la prison ont fini par les réunir au rythme cadencé d'Une Journée Particulière d'Ettore Scola. Sous le regard d'Alice, une ancienne prostituée, ils finissent leur peine le jour à Jeanne d'Arc, un grand pensionnat fermé pendant les vacances d'automne, et la nuit dans des cellules mitoyennes en prison. Mais l'enfer n'est plus la prison, "Sing Sing" comme ils disent, mais "les autres". Graziella et Antoine sont alors prêts au pire des défis pour survivre.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un film qui m'a ennuyé, malgré l'interprétation de Rossy de Palma impeccable dans ce rôle dramatique. J'ai été jusqu'à la fin je ne sais pas pourquoi. Un film trop lent, un peu confus. L'intérêt de ce film est pour l'actrice Rossy de Palma et les sujets graves traités à savoir : la réinsertion après la prison, le regard des autres ...
Fritz L
148 abonnés
767 critiques
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3,5
Publiée le 6 juin 2015
Rossy de Palma et Denis Lavant ne forment pas le couple le plus glamour du cinéma français, et pourtant… pourtant ! Tous deux irradient comme la braise, incandescence timide au début qui retrouve force et vigueur à la mesure d’un récit pour le moins décousu. Rien que par leur présence magnifique (et je n’oublie pas Claire Nebout trop peu et mal servie au cinéma) le film a le mérite d’exister. « Graziella » n’est pas très au ...
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cylon86
1 874 abonnés
4 430 critiques
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3,0
Publiée le 4 juin 2015
Elle était infirmière, il était projectionniste. Désormais ils travaillent tous les deux dans un pensionnat tenue par une ancienne prostituée et rentrent tous les soirs en prison dont ils attendent d'être libérés. Graziella et Antoine traînent leur visage usés dans un petit village où ils sont mal vus, hantés par les fantômes du passé. Avec "Graziella", Mehdi Charef nous brosse le portrait poignant de deux êtres que la vie n'a pas ...
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zhurricane
54 abonnés
1 336 critiques
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0,5
Publiée le 11 juillet 2016
Fuyez, fuyez, fuyez. J'ai rarement vu un film aussi mou, aussi creux, qui ne respecte pas le spectateur. Déjà dès les 5 premières minutes j'ai compris que cela aller être une purge. J'ai arrêté au bout de 3 quart d'heure (ce qui est rare chez moi, il faut vraiment que le film me donne des envies de tuer le réalisateur). Que vous dire de plus, que ce film est un des pires que le cinéma français nous est offert, un hermétisme total, une ...
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Chronique d'une rencontre entre deux existences cabossées sur fond de milieu carcéral, Graziella dépeint un univers que le réalisateur connaît bien puisqu'il est intervenu durant un an dans une prison du Val d'Oise où il animait des ateliers d'écriture de scénarios pour des détenus.
Casser l'image
Seize ans après avoir donné son premier rôle dramatique à Muriel Robin dans Marie-Line, Mehdi Charef remet ça avec une comédienne fantasque habituée des comédies, l'Espagnole Rossy De Palma. Celle qui demeure comme étant l'une des actrices fétiches de Pedro Almodovar fut le premier choix du cinéaste pour le rôle de Graziella, comme l'explique la productrice du film Michèle Ray-Gavras : "Il a écrit le rôle pour Rossy."
Un cinéma du réel
Cinéaste empreint d'un style naturaliste, Mehdi Charef avait déjà évoqué dans ses précédents films, des sujets sociétaux tels que la vie dans une cité avec Le Thé au harem d'Archimède ou le quotidien de femmes de ménage dans Marie-Line. Avec Graziella, il s'empare d'un autre fait sociétal, à savoir le quotidien de deux détenus et leurs rapports avec le monde extérieur. Sur la question du cinéma et ses rapports avec le réel, le réalisateur déclare
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