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Synopsis
Décembre 2012, après quatre mois de captivité en Syrie, deux journalistes français sont libérés, dont Gabriel, trentenaire. Après une journée passée entre interrogatoires et examens, Gabriel peut revoir ses proches : son père, son ex-petite amie, Naomi. Sa mère, elle, vit en Inde, où Gabriel a grandi. Mais elle a coupé les ponts. Quelques semaines plus tard, voulant rompre avec sa vie d’avant, Gabriel décide de partir à Goa. Il s’installe dans la maison de son enfance et fait la connaissance de Maya, une jeune indienne.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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174 abonnés
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1,0
Publiée le 20 décembre 2018
Gabriel est un reporter de guerre prisonnier de Daesh pendant 4 mois. Libéré, il part se ressourcer dans sa maison en Inde (comme tout le monde quoi). Là-bas, il revoit sa mère qui s'occupe d'une ONG et ses amis indiens qui tiennent un hôtel grand-luxe mais bio avec matériaux recyclables (ouf). Ensemble, ils dissertent sur la corruption, la vénalité et la vacuité du monde en buvant des grands crus sur leur yacht mais Gabriel a quand ...
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dominique P.
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722 abonnés
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3,5
Publiée le 21 décembre 2018
J'ai bien aimé ce joli film tendre et apaisant.
Pendant 1 h 45, on passe un bon moment agréable dans l'ensemble.
Comme je le disais au début, c'est un film vraiment apaisant, qui se laisse regarder avec plaisir et moi qui m'a permis de me reposer un peu, d'être au calme avec une histoire simple et tendre.
Juste un bémol cependant : je trouve dommage que le film ne soit pas assez fouillé, pas assez fort, cela reste malgré tout assez froid ...
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Cinephille
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125 abonnés
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2,0
Publiée le 20 décembre 2018
J’ai vu et dans l’ensemble apprécié tous les films de Mia Hansen Love mais quelle déception que celui-ci. Des sujets importants sont abordés (les otages de Daesh, la corruption en Inde...) mais aucun n’est creusé. Les personnages sont tous oisifs. L’histoire d’amour (?) qui représente autant une trahison du père de Maya qu’une transgression majeure pour l’Inde semble couler de source. Le choix de Goa et d’Hampi est ...
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traversay1
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2 142 abonnés
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3,5
Publiée le 20 décembre 2018
Le cinéma, ce ne sont pas que des twists à répétition et des travellings affolants. C'est aussi un écrin où peut s'exprimer la douceur d'une narration qui n'a l'air de rien mais qui en dit beaucoup sans asséner ses vérités. C'est le cas de presque tous les films de Mia Hansen Love, une réalisatrice qui imprime une élégance et une sensibilité extrêmes à tous ses scénarios. Un peu comme Mikhaël Hers dont on vient de voir Amanda, ...
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Maya est le 6ème long-métrage de Mia Hansen-Love, 37 ans : "Plus d’une fois, j’ai été saisie par l’aura des journalistes otages à leur libération. S’entremêlaient l’indicible de leur expérience, la souffrance endurée et la joie d’être libre. Par ailleurs, j’ai eu un grand-père (Paul Bonnecarrère, ndlr) correspondant de guerre, journaliste à Paris Match et auteur de livres de guerre. Il est mort jeune, je ne l’ai pas connu. Il n’a pas directement
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Inspiration papy
Les récits familiaux sur le grand-père de Mia Hansen-Love, reporter de guerre pour Paris Match, ont influencé la cinéaste pour Maya : "Ma mère et ma grand-mère admiraient beaucoup mon grand-père, elles le décrivaient comme un homme très séduisant. La part romanesque, héroïque de ce métier m’attirait, bien sûr. Il y a chez les grands reporters un goût pour l’aventure, pour le mouvement, qui est aussi, d’une façon très différente, ce qui m’a poussé
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Documentation
Parmi les lectures qui ont accompagné l’écriture du scénario de Maya, Mia Hansen-Love cite notamment La maison du retour (Jean-Paul Kauffmann). "Je pense aussi à mon souvenir ébloui des journaux de Dan Eldon (un photo-journaliste et artiste mort à 22 ans en Somalie), ou encore au sourire de Didier François à sa descente d’avion. Plus tard, j’ai rencontré deux reporters de guerre. L’un, Jonathan Alpeyrie, un journaliste franco-américain, fut
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