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Synopsis
À 16 ans, Tim est un jeune homme timide, brillant, et doté d’un talent sportif naturel. Mais la pression qu’il subit le poussera jusque dans ses derniers retranchements, là où les limites humaines atteignent le point de non-retour.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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932 abonnés
Lire ses 1 410 critiques
3,5
Publiée le 15 mars 2017
Premier long-métrage canadien pour Yan England, 1:54 dresse un portrait réaliste - celui de la vie des adolescents - de manière efficace tout en ayant cette ambiance pesante qui règne au sein du film. Derrière la vie de ces jeunes, il existe bien des limites à savoir spoiler: le harcèlement à l'école.
Une thématique grave et actuelle... On peut dire que le jeune réalisateur ne prend pas de gants propres pour diffuser son ...
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traversay1
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2 026 abonnés
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3,0
Publiée le 15 mars 2017
1:54 permet en premier lieu de revoir Antoine Olivier Pilon, le héros de Mommy. Son interprétation, dans ce premier film québecois, à l'instar de l'ensemble de ses camarades, est relativement moyenne mais il est vrai que son rôle d'adolescent tourmenté ne lui permet guère d'offrir que peu de variations de jeu. Le film prend pour thème ce que nos cousins canadiens appellent "intimidation" que l'on nomme plus volontiers harcèlement chez ...
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Scorcm83
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78 abonnés
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3,5
Publiée le 3 avril 2017
Même si *1:54* est un film parfois maladroit, il a le mérite de garder sa ligne directrice sur la durée et de proposer une thématique relativement importante au vu de l'époque à laquelle nous vivons. Bien plus qu'un film de sport, il s'agit avant tout d'une dénonciation du harcèlement scolaire, et on peut d'ailleurs féliciter le réalisateur de ne pas avoir voulu trop tomber dans le pathos à grand renfort de mise en scène mielleuse ...
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Un visiteur
3,5
Publiée le 4 avril 2017
J'ai eu du mal à comprendre les intentions d'1:54. Lors de la première demi-heure, nous avons une histoire d'amour interdite ainsi que des intimidations. S'ensuit, que des intimidations en boucle et très répétitive. Puis soudain, on entre dans une compétition d'athlétisme, comme si tous les maux allaient s'arrêter en battant un record sur piste... Intéressant. L'ensemble reste bon, la fin aussi, elle est ce qu'elle est. J'aurais voulu ...
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1 : 54 est le premier long-métrage de l'acteur/réalisateur/producteur/animateur de télé québecois Yan England. Il a notamment reçu une nomination à l'Oscar du meilleur court-métrage en 2013 avec Henry.
Une étoile montante
Sophie Nélisse, qui incarne Jennifer dans le film, est une actrice canadienne âgée de 16 ans. Cette surdouée de la comédie a déjà une filmographie étoffée. Elle s'est en effet illustrée en 2012 aux côtés de Fellag dans le touchant Monsieur Lazhar avant d'être la tête d'affiche de La voleuse de livres en 2014. L'année suivante, elle donne la réplique à Tobey Maguire dans Le Prodige avant de tenir à
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Mommy blue
Le personnage de Tim est campé par Antoine-Olivier Pilon, jeune comédien canadien de 19 révélé en 2014 dans Mommy de Xavier Dolan.
le jeune et excellent acteur Antoine-Olivier Pilon livre ici un personnage aux antipodes du très extraverti et charismatique fils dans le bouleversant film Mommy. Le film, drame assumé sans lumière ni espoir, offre une lecture ultra pessimiste de la difficulté d'être ado dans un lycée quand le harcèlement et l'homophobie ordinaire font de votre vie un enfer. Même si les mentalités ont largement évolué, il est certain que dans cette tranche d'âge la plus cruelle, difficile d'exister à l'heure d'Internet et des réseaux sociaux qui étalent votre vie. Malgré quelques défauts, 1:54 touche et interpelle, proposant une réflexion intéressante dont la dernière phrase résume le propos et fait froid dans le dos. c'était juste une joke...