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Synopsis
1990. Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre vite.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Quelques instants de grâce ont su m 'émouvoir et me rappeler mes propres expériences amoureuses, mais le film est lent et décousu, ennuyeux malgré la présence de l'adorable Vincent Lacoste. Ce film est déprimant...
Wikus83
23 abonnés
64 critiques
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4,5
Publiée le 10 mai 2018
Le retour, enfin, d’une belle œuvre de cinéma français (présentée en compétition ce soir à Cannes) comme je n’en serai jamais rassasié.
Christophe Honoré, que j’avais laissé avec Les chansons d’amour et Les bien-aimés, filme à merveille les rencontres, la délicatesse des sentiments, les corps qui s’entremêlent, l’espièglerie de dialogues sur la vie, l’amour, les états d’âmes. Magnifiquement écrit, porté par ...
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Nico H.
14 abonnés
170 critiques
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2,0
Publiée le 6 juin 2018
Du cinéma français, lent, bavard, avec un personnage principal insupportable d'égoïsme et qui interdit toute émotion. On s'ennuie beaucoup.
Didier L
24 abonnés
222 critiques
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2,0
Publiée le 27 mai 2018
Il suffit que Vincent Lacoste apparaisse à l'écran pour que le film prenne soudainement son envol, atteigne une vraie légèreté mais aussi une réelle profondeur mais surtout une vérité, une réalité, une authenticité qui échappent constamment au reste du film trop littéraire et donc désincarné. On a du mal à s'attacher au personnage principal bien trop égoïste, immature, ne sachant pas choisir entre son désir et sa raison. La ...
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"Un premier amour et un dernier amour. Un début dans la vie et une fin dans la vie, à travers une seule et même histoire d’amour, celle du jeune provincial Arthur et de l’écrivain agonisant Jacques. Le film voudrait conjuguer cette association de sentiments : l’élan et le renoncement. L’histoire d’amour racontée précipite deux choses : d’une part les débuts dans la vie d’Arthur, d’autre part la fin de la vie de Jacques. Il est possible que sans c
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Naissance du projet
Après deux adaptations littéraires, Ovide et la Comtesse de Ségur, Christophe Honoré souhaitait revenir à une sorte de réalisme et une histoire à la première personne. Le metteur en scène voulait écrire une histoire entièrement originale et parler des années 1990, autrement dit se servir de la fiction pour faire revivre l'étudiant qu'il était à cette époque ainsi que cette figure de l’écrivain qu'il aurait rêvé de rencontrer. Il explique : "Je me
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Reconstituer les années 90
L’idée générale de la direction artistique était de recréer un temps sans le reconstituer. Dans ce cadre, les références culturelles ont été très utiles à Christophe Honoré et son équipe. Le cinéaste précise : "Les citations, les films évoqués dans Plaire, aimer et courir vite, et même les piles de livres que l’on voit dans les chambres sont vraiment puisées en ligne directe de ma jeunesse. Je crois beaucoup que nous sommes formés, influencés, da
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Plaire, aimer, se baisser pour ramasser la savonnette et… courir vite.
Henri M
Un de mes filmùs préférés.Il y a quelques mois sortait l’excellent « Call my by your name », sorte de pendant masculin du sublime Carol. Dans le même registre d’histoire d’amour homosexuel au masculin, « Plaire, aimer et courir vite » est une version plus urbaine, avec un ton débonnaire typiquement Franchouillard, tout en étant aussi bon au final ! Si l’errance amoureuse et les hésitations sont proches de son précédent film « Les deux amis », ici le spleen, les dialogues et les errances sont nettement mieux maitrisées. Pas une minute de pathos, de nombreux rires, un florilège de références littéraires sans ton prétentieux, des dialogues léchés (si je puis dire…) et un trio d’acteurs toujours impeccable. Loin des caricatures, Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps, Denis Podalydès nous livrent des personnages tous différents et passionnants, ayant chacun leurs problèmes amoureux avec, en trame de fond, les ravages du sida, dure réalité très présente dans ce milieu dans les années 1990. Les aventures du trios sont fort bien rythmées par une BO digne d’un excellent film US (mention spéciale pour la chorégraphie de haute voltige) ! Sans rien dévoiler de plus, le film montre comme rarement, les effets contraires de l’amour ainsi que l’opposition entre le premier et le dernier amour. A la sortie du film, nous avons envie de revenir en arrière et écrire de nouveau de belles lettres enflammées, chiadées et puissantes, comme lorsque nous n’avions que ce moyen et le téléphone (payant) pour communiquer. Quand chaque mot était choisi et pesé, quand nous prenions le temps de déclarer notre flamme et de l’entretenir avec ferveur… Film nostalgique d’une époque révolue. Bref, voici une pépite intelligente à savourer en prenant le temps : ne vous inquiétez pas, les 2h passent sans trouver le temps long, même si le rythme est lent.
Fa F
bof même pas! et subir 2h17 pour voir 2/3 fessiers, c'est un peu limite comme argument!
Fa F
Honoré propose une chronique avec un certain réalisme mais à la fois plate et fade et aux allures élitistes. sur une mise en scène très académique, le temps est long, les scènes s'enchaînent et l'émotion n'est pas là. les acteurs sont plutôt juste mais ne parviennent pas à faire de ce film, un moment remarquable!
elriad
toujours curieux du cinéma de Christophe Honoré, je n'ai jamais retrouvé le même plaisir que lors des chansons d'amour que je revois régulièrement. Une fois encore, le réalisateur livre une œuvre forte parfaitement construite, maitrisée, aux dialogues très écrits, porté par un Vincent Lacoste époustouflant, seul véritable personnage empathique de cette histoire située dans les années SIDA. Mais il y a toujours dans le cinéma de Honoré quelque chose de maniéré, un manque de simplicité qui finit par me gêner jusqu'à enlever la part de spontanéité que j'aime ressentir dans un film. Ici aussi.
sebdef
Alors tu as vu le film
sebdef
on voit de beau fessier
Gloups9
Il faut savoir, vous avez vu le film, ou vous avez dormi toute la séance?...
Him H.
Je me suis endormie (humour,Philippe!)
Him H.
Oui, malheureusement, parce qu'il a de très bons acteurs, mais je me suis ennuyée dommage...
Him H.
Pas faux, malheureusement..
Him H.
J'ai dormi toute la séance, c'est dire.. Meme similitude avec 100 battements par minute. Tous ça j'ai connu dans les années 80..J'ai 59 ans..
Just A Word
Je ne crois pas qu'on soit sur la même longueur d'ondes ^^
Him H.
C'est tout à fait ce que je pense.. Me suis endormie devant ce film.. De plus de 2 heures!!
Just A Word
Grand film d'amour ou ennui Cannois ?La réponse :https://justaword.fr/plaire...
Gloups9
Allez voir le film, vous vous sentirez mieux. ;-)
Cesar L.
Quel ennui!
Sophie D.
Une magnifique rencontre dans les années 90 sur fond de Sida, de littérature et d'amour...Cette histoire est très belle, remplie de poésie, de délicatesse, de réalisme, jamais dans le pathos, une histoire touchante et humaine. Certes des dialogues parfois un peu long (qui auraient pu me perdre) mais tellement bien écrit qu'on en redemande...Les acteurs sont incroyables, mention spéciale à Vincent Lacoste que l'on a plus l'habitude de voir dans des comédies et qui crève l'écran.La BO est tout aussi bien choisie et variée : de Massive Attack (One Love), a MARRS (Pump Up the Volume) en passant par Anne Sylvestre (Les gens qui doutent), et j'en passe. J'ai passé un très bon moment de cinéma devant ce film.
Cesar L.
Quel ennui!
Jean-Luc V.
Très joli film. Pas de pathos dans ce film pour se rappeler de cette époque où l'amour pouvait être synonyme de la mort.Belles images, excellents acteurs qui font passer les émotions d'une façon tellement naturelle, un bon scénario.Tout est fin dans ce film : on comprend, on ressent sans que les dialogues nous indiquent clairement les choses : subtilité des personnages, du scénario.Un film à ne pas manquer.Assurément la palme d'or