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Synopsis
Raphaël aime Margot et celle-ci le lui rend bien. Mais un jour, Margot, danseuse étoile au sommet de sa carrière et de son art, se sait condamnée par la maladie. Entre désespoir et rage, renoncement et révolte, les deux amants choisissent instinctivement de brûler leur amour fou...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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Lire ses 2 282 critiques
2,5
Publiée le 8 décembre 2008
Quand je vois le soleil marquait le retour du chanteur Florent Pagny au cinéma après 8 années d'absence dans un rôle plutôt difficile puisqu'il incarne le mari d'une danseuse étoile qui se sait condamnée par la maladie. Il est difficile de juger ce film. Le réalisateur Jacques Cortal affirme que l'histoire est tiré de faits réels soit mais le propos est vraiment beaucoup trop alourdi par un pathos dégoulinant. On ne nous épargne ni ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 décembre 2012
Quand je voids le soleil est tout simplement un film magnifique. L'histoire d'un couple, détruit par la maladie. on s'y croirait presque; on pourrait le revoir cent fois, le film est si émouvant qu'on ne pourrait s'empecher de pleurer lors des 10 dernières minutes. un film merveilleusement bien réalisé, transporté par la danse de l'extraordinaire danseuse étoile Marie-Claude pietragalla. Un film passioné, émouvant qui reflete la réalité.
Un visiteur
5,0
Publiée le 10 août 2010
Un premier film qui prend aux tripes.
Margot (Marie-Claude Pietragalla), magnifique danseuse étoile, est condamnée. La maladie qui lui tombe dessus. Comme un coup de massue. Raphaël (Florent Pagny), son mari le sait : c'est Pierre (François Cluzet), le médecin de la famille et ami proche qui le lui a dit. C'est dur.
C'est ainsi que commence "Quand je vois le soleil", le premier film de Jacques Cortal. Et on se dit que ça va être chiant. ...
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Afin d'accompagner la danseuse Marie-Claude Pietragalla, Jacques Cortal a dû effectuer une sélection musicale particulière qui puisse souligner les sentiments du personnage. Ainsi, on retrouve des classiques de Gioacchino Rossini, Luigi Bartolini, Wolfang Amadeus Mozart, Gianfranco Ferre et des extraits composés par de jeunes compositeurs à l'instar de Daran, Nicolas Jorelle, Laurent Bertaud, Christian Lafon.
Un peu plus près des personnages...
Compte tenu du temps de tournage extrêmement réduit (pas plus de 30 jours), un maximum de plans ont été tourné "caméra à l'épaule". Ce moyen à la base économique est finalement un avantage pour le cinéaste qui a pu ainsi être au plus près des acteurs et des personnages qu'ils interprètent.
Choix formels rigoureux
La lumière joue un rôle particulier dans le film puisqu'elle reflète l'ambiance des scènes. Par exemple, lorsque le thème de la maladie de la femme est mise en scène, la lumière est blanche ou encore lors de la scène du mariage, l'image est complètement brûlée. Ce travail formel a été fait en post-production.