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Synopsis
Un quartier de Jérusalem au début des années 60. Aharon Kleinfeld, est un garçon de onze ans, à l’imagination débordante et dont l’esprit aspire au raffinement et à l’art. A l’aube de l’adolescence, par crainte peut-être de devenir comme ses parents, un couple sans affection ni amour, Aharon décide d’arrêter de grandir. Il entreprend alors un voyage intérieur qui l’éloigne chaque jour un peu plus du monde adulte.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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875 abonnés
Lire ses 3 461 critiques
1,5
Publiée le 21 octobre 2012
Le quotidien de ce jeune adolescent mal dans sa peau pouvait sembler être la source d’une agréable comédie axée sur cet humour décalé auquel a su nous habituer le cinéma indépendant israélien. Malheureusement le ton comique de ce film ne tient que dans une poignée de scènes pendant laquelle la mère fait d’insupportables grimaces, le reste n’est que la longue introspection d’un gamin aux tendances suicidaires. Avec son ...
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Thierry M
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103 abonnés
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1,0
Publiée le 18 juin 2012
Ennuyeux a mort , j'ai faiili quitter la salle, vraiment nul................
jamesgray33
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26 abonnés
Lire ses 276 critiques
5,0
Publiée le 22 juin 2012
Superbe !!! UN PUR PETIT BIJOU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
César D.
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25 abonnés
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3,0
Publiée le 19 juin 2012
une chronique familiale empreinte de nostalgie. la vie d'un quartier vue par un petit garçon. il découvre peu à peu le désir pour les fille et les femmes, les soucis avec ses amis, et ceux , conjugaux, de ses parents. ça sonne juste, et le personnage de la mère donne un peu d'humour à ce film.
La Grammaire intérieure est l'adaptation d'un roman de David Grossman, "Le Livre de la grammaire intérieure". L'ouvrage, publié en 1991, n'est pas la première œuvre de l'auteur israélien transposée à l'écran. Citons Le Sourire de l'agneau (1985) et Quelqu'un avec qui courir (2007).
Note d'intention du réalisateur
Le réalisateur Nir Bergman parle du livre dont est adapté son film : "J’avais 22 ans à l’époque et ce livre m’a ému comme aucun autre. Ce qui m’a touché le plus dans ce livre est difficile à dire. Peut être est-ce la solitude de cet adolescent, Aharon, ou la vision qu’il avait de la violence des adultes autour de lui. Peut-être est-ce cette amitié, si forte à cet âge, qu’il a avec Gidon, ou bien le sol qui s’écroule sous ses pieds à la vue de sa
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Analyse de parcours...
La Grammaire intérieure est le second film de Nir Bergman, après le drame Broken Wings (2002). Ce réalisateur israélien est par ailleurs l'un des créateurs de la série BeTipul, qui a ensuite été adaptée aux États-Unis sous le titre En analyse.
Il n'y a pas de Tim Burton dans ce film. Vous êtes hors sujet...
Djampa
Aharon est un garçon de 11 ans qui arrive au seuil de l'adolescence, mais qui refuse de quitter le monde de l'enfance. Cela se traduit par un arrêt de son développement physique. Les conséquences vont être assez dramatiques. En particulier la perte de son meilleur ami d'enfance, qui vogue allégrement vers l'adolescence avec ses préoccupations : bien entendu les filles mais pas seulement, un certain idéalisme, un engagement politique au sein des jeunesses socialistes, etc... toutes choses qui vont l'éloigner définitivement de son ancien ami. Sa grande soeur, qui était sa confidente, la seule qui le comprenne, l'abandonne également pour partir à l'armée. Sa grand-mère pour laquelle il avait de l'affection est envoyée en maison de retraite et s'enferme dans le silence. Mademoiselle Blum la voisine pianiste mystérieuse et fascinante quitte elle aussi le quartier. Aharon se retrouve seul et abandonné. Ses appels à l'aide restent sans écho. Il ne lui reste plus qu'à se réfugier dans son monde intérieur désolé, aride et stérile. Il n'y a pas de happy end. La fin est très sombre sans la moindre lueur d'espoir.
A A
Excellent film! Intelligent et sensible. Des détails particulièrement originaux et expressifs.