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    Eva Dahlbeck

    Actrice

    Année Titre Rôle Note spectateurs
    1967 Den Rode kappe La Reine
    3,0
    1965 Les Créatures Michèle
    3,0
    1964 Toutes ses femmes Adelaide
    2,6
    1964 Les Amoureux Mrs. Landborg
    3,5
    1958 Au seuil de la vie Stina Andersson
    4,0
    1956 Last Couple Out Susanna Dahlin -
    1955 Sourires d'une nuit d'été Desiree Armfeldt
    3,9
    1955 Rêves de femmes Suzanne
    3,6
    1954 Une Leçon d'amour Marianne
    3,7
    1953 Le Village près du ciel Wanda Piwonska -
    1952 L'Attente des femmes Karin
    3,9
    1949 Rien qu'une mère Rya-Rya
    3,0
    1948 Eva Susanne
    2,6
    1947 Trafic de femmes Sonja Bergman
    2,4
    1942 Chevauchée nocturne -
    3,0
    Commentaires
    • Plume231
      L'Attente des femmes (1953) d'Ingmar Bergman [img]http://dvdtoile.com/FILMS/8/86...[/img] Synopsis : Une maison de vacances, au bord d’un lac. Des femmes passent la soirée entre elles, attendant que leurs maris respectifs, quatre frères, les y rejoignent. Elles sont diversement pleines d’espoir ou tendues, selon que leur couple va bien ou pas, et l’attente les incite à se remémorer ce qui, pour chacune, fut le moment où l’orientation de sa relation conjugale s’est décidée. [img]http://t3.gstatic.com/images?q...[/img] Critique : Ce qui est bien avec les films d'Ingmar Bergman, en particulier ceux des années 50, c'est qu'avec les actrices que l'on voit défiler sur l'écran on accepterait sans problème d'être transféré à Saxtorpsskogen. Mais pour en revenir au film, disons qu'il est intéressant mais un peu bancal. Il y a 4 femmes donc normalement 4 histoires. Le fait qu'il n'y a pas au final de quatrième histoire donne l'impression de voir Ingmar Bergman montrant le cadran de sa montre et disant "Hop, hop, hop, on a pas le temps. Rangez le matériel, le tournage est fini, on se casse!". Comme Mankiewicz avant qu'il tourne "Chaînes conjugales", auquel ce film fait inévitablement penser, Bergman aurait mieux d'éjecter la quatrième femme et de n'en mettre que trois. Mais pour en revenir au trois histoires (je sens que je vais écrire la plus longue critique de ma carrière!!!), la première manque sérieusement de consistance mais permet de voir la superbe actrice du chef d'oeuvre méconnu "Mademoiselle Julie", Anita Björk, en maillot de bain (oui, bon je sais...!!!) et d'entendre une réplique étincelante qui fleure bon l'optimiste "Le pire n’est pas d’être trompé, mais d’être seul. Je ne sais pas si c’est vrai, mais ça sonne bien". La seconde, la partie la plus longue, est intéressante par son thème et son traitement (style Eisenstein lors de la scène du cabaret!!!) même si les motivations des personnages sont parfois un peu trop inexplicables. A noter quelques extérieurs à Paris, étonnant quand on sait que l'autre n'était pas trop du genre à quitter son île comme feu mon chat tendrement aimé son appartement. La troisième, on est en pleine comédie à la Guitry. Difficile de ne pas trouver plaisir à cela même si la fin ramène durement à la réalité. Et puis, chose que ne fera que confirmer par la suite "Une Leçon d'amour", le couple formé par Eva Dahlbeck et Gunnar Björnstrand fonctionne à mort. Trois portraits de couple pas franchement optimistes, un peu inégaux (enfin surtout le premier et un peu pour le second!!!) mais de très grands moments bergmaniens avec une conclusion remarquable. (ah non, perdu...!!!) Note : 14/20 (***) [img]http://shangols.canalblog.com/...[/img] [img]http://www.ingmarbergman.se/se...[/img]
    • Plume231
      Une Leçon d'amour (1954) d'Ingmar Bergman [img]http://movieposters.2038.net/p...[/img] Synopsis : David, gynécologue, se divertit avec une amie lors d'un voyage en train. Il tient le pari d'aller embrasser une jolie voyageuse. Il y parvient, ce qui n'est pas trop difficile étant donné que la jeune femme est son épouse. Seulement, le couple est en froid et David va tenter de reconquérir sa femme... [img]http://ss11i01.stream.ip-only....[/img] Critique : L'"Usure du couple", une véritable mine d'or pour de nombreux cinéastes pour des grands cinéastes comme Lubistch, McCarey, Cukor, Guitry, Rossellini ou plus récemment Mendes qui n'ont pas hésité à y piocher, souvent avec succès. Et bien sûr aussi Bergman, ici il choisit une structure en flash-back non chronologique qui amène petit à petit à mieux nous faire connaître ce couple sur le point de se séparer mais qui sait au fond d'eux-mêmes qui s'aiment toujours. Cette structure sera d'ailleurs réutilisée magistralement par Stanley Donen pour son très beau "Voyage à deux". Mais pour en revenir au Bergman, le cinéaste prend le pari difficile de conter une histoire dramatique (avec quelques moments de comédie!) sur un ton léger. Pari hélàs pas totalement réussi, on ne peut se dire submerger par une émotion qui aurait pu venir facilement. Par ailleurs, si certains dialogues sont très bons, d'autres manquent de pertinence. Mais le film regorge de quelques moments de grâce, d'un visuel élégant très caractéristique des années 50 et enfin d'une excellente interprétation. Gunnar Björnstrand (Michael Redgrave dans "L'Ombre d'un homme" mais en plus cool et sympatoche) et Eva Dahlbeck sont parfaits. Une belle "comédie pour adultes" pas totalement maîtrisé mais qui constitue une découverte intéressante. Note : 14/20 (***) [img]http://navid.blogg.se/images/2...[/img]
    • Plume231
      test
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