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    Machiko Kyô
    Découvrez les meilleurs films et séries TV de Machiko Kyô
    1. Bande-annonce Les Contes de la lune vague après la pluie
      1
      Presse
      5,0
      Spectateurs
      4,3
      XVIe siècle. Deux villageois ambitieux partent à l’aventure : le potier Genjuro désire profiter de la guerre pour s’enrichir, le paysan Tobei rêve de devenir un grand samouraï. À la ville, Genjuro est entraîné par une belle et étrange princesse dans son manoir où il succombe à ses sortilèges... 
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    2. La Rue de la honte
      2

      La Rue de la honte

      Métier : Actrice
      Spectateurs
      4,1
      Dans une maison de tolérance du quartier des plaisirs de Tokyo, cinq femmes se vendent aux passants alors qu’une loi limitant la prostitution est sur le point d’être votée. Chacune rêve d'échapper à sa condition et de connaître une vie meilleure.
      noter :
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    3. L'Impératrice Yang Kwei-Fei
      3

      L'Impératrice Yang Kwei-Fei

      Métier : Actrice
      Spectateurs
      4,0
      Chine, VIIIe siècle. L’Empereur Huan Tsung est inconsolable depuis la mort de l’Impératrice, délaissant les charges de l'Etat. Seule la musique lui apporte encore quelque joie. Un jour, on lui présente une jeune fille d’origine modeste qui ressemble à sa défunte épouse. D’abord réticent, l’Empereur est rapidement charmé par sa beauté et sa sincérité…
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    4. Bande-annonce Herbes flottantes
      4

      Herbes flottantes

      Métier : Actrice
      Spectateurs
      3,9
      Une petite troupe de théâtre kabuki débarque dans un village de pêcheurs au sud du Japon. Il y a des années, leur meneur, Komajuro, avait eu une aventure avec l’une des habitantes. De leur brève union est né un garçon, Kiyoshi, qui ignore tout de l’identité de son père...
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    5. Bande-annonce Rashômon
      5

      Rashômon

      Métier : Actrice
      Presse
      4,8
      Spectateurs
      3,9
      Un paysan vient s’abriter d’une pluie torrentielle sous une vieille porte délabrée où se sèchent déjà un bûcheron et un prêtre. Ces derniers semblent ne rien comprendre à une affaire à laquelle ils ont été mêlés bien malgré eux. Un samouraï aurait été assassiné et sa femme violée ; quatre témoins du drame, dont le prêtre et le bûcheron, vont donner leurs versions des faits, toutes contradictoires…
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    Commentaires
    • Plume231
      La Porte de l'enfer (1953) de Teinosuke Kinugasa [img]http://www.cinemagora.com/imag...[/img] Synopsis : Japon, 1159. Les luttes entre clans font rage. Celui du Minamoto tente de renverser le Taira au pouvoir. Afin de protéger la fuite de la Princesse, une de ses Dames de compagnie, Kesa (Machiko Kyo) est envoyée comme leurre sous la protection du valeureux guerrier Morito (Kazuo Hasegawa) qui lui sauve la vie et tombe fou amoureux d'elle. Après que la rébellion a été matée, le Seigneur Kiyomori promet à Morito la récompense qu'il demandera et cela quelle qu'elle soit. Morito, ignorant qu'elle est mariée au noble garde Wataru (Isao Yamagata), réclame de son maître qu'il intervienne afin de favoriser son mariage avec Kesa. Sa découverte de l'état marital de la jeune femme ne freine en rien ses ardeurs, bien au contraire. Il sombre vite dans une passion de plus en plus folle et agressive tandis que Kesa entend rester fidèle à son mari... [img]http://storage.canalblog.com/8...[/img] Critique : Ce film est surtout connu aujourd'hui pour avoir définitivement défoncé la porte de la connaissance du cinéma japonais au public occidental après que "Rashõmon" l'ait entrouverte, gagnant l'Oscar du Meilleur Film étranger ainsi que le Grand Prix au Festival de Cannes (à l'époque l'équivalent de la Palme d'or !!!). Quel résultat au regard de maintenant ??? Visuellement, il faut reconnaître que c'est un régal avec tous ces tons de couleurs vifs, orangés, etc... un régal plus exotique que réaliste mais un régal tout de même. Au niveau scénario, par contre le constat est plus mitigé. On passe d'un coup d'une fresque historique à une tragédie intimiste autour d'un triangle amoureux dont la grande originalité tient sur le fait que le gros boulet de service n'est pas le mari mais l'amant. Et c'est parce que c'est trop intimiste que le bât blesse. L'époque dans lequel se déroule l'histoire et les personnages secondaires, complètement jetés aux orties dans le dernier tiers, auraient pu donner une dimension supplémentaire au côté tragique du film. Reste un film qui se laisse regarder avec intérêt, pendant quelques petits instants avec intensité même, mais qui par ses quelques défauts ne constitue pas une des grandes heures du cinéma japonais. Note : 14,5/20 (***) [img]http://www.iletaitunefoislecin...[/img]
    • tomPSGcinema
      [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img] Rashomon de Akira Kurosawa Œuvre très importante dans la carrière d’Akira Kurosawa puisque celle-ci lui apporta la reconnaissance dans le monde entier. Et autant dire que le résultat final s’avère exceptionnel, car l’histoire est totalement prenante de bout en bout, l’interprétation du casting est impressionnante – Toshiro Mifune, Machiko Kyo et Masayuki Mori sont juste parfait -, et évidemment la mise en scène du mythique réalisateur japonais est proprement bluffante et incroyablement maîtrisée au niveau des cadrages. En bref, il s’agit d’un immense chef-d’œuvre qui aura amplement mérité son Lion d’Or à Venise ainsi que l’Oscar du meilleur film étranger. A voir impérativement pour tous les fans du maître ! 5*19/20 [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img]
    • Plume231
      La Rue de la honte (1956) de Kenji Mizoguchi [img]http://ecx.images-amazon.com/i...[/img] Synopsis : Des prostituées officiant dans une maison close voient leur avenir terni par une décision gouvernementale visant à les mettre à la rue. La tension est palpable parmi elles… [img]http://image.ifrance.com/cinem...[/img] Critique : "La Rue de la honte" est certainement le film qui parle avec le plus de réalisme, sans misérabilisme aucun mais aussi sans concession, de la prostitution pour ce film à la mise en scène pourtant incontestablement belle et élégante. La dernière scène où on voit une très jeune fille obligée de se prostituer fait froid dans le dos. Ce sujet permet de montrer en tous les cas, qu'avec George Cukor et Pedro Almodovar, Kenji Mizoguchi était un des plus grands directeurs d'actrices de tous les temps à travers les interprétations magistrales pour des personnages forts de ses cinq comédiennes Ayako Wakao (décidément la plus belle actrice japonaise!), Machiko Kyô (qui n'est pas mal aussi!), Aiko Mimasu, Michiyo Kogure et Hiroko Machida. Le réalisateur critique fortement aussi l'hypocrisie de la Société, par l'intermédiaire notamment de la figure paternelle lors d'une scène mémorable, et en nous laissant sur l'idée que si on veut réussir à faire notre trou il faut se montrer aussi pourri que cette dernière. Très triste constat mais ô combien réaliste sur lequel nous laisse le grand Mizoguchi pour ce qui est sa dernière oeuvre, en tout point remarquable. Un final qui constitue un chef d'oeuvre. Note : 18/20 (*****) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] [img]http://cfouchet.nonutc.fr/rue%...[/img]
    • Plume231
      test
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