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    Jack Warden
    Métier Acteur
    Nom de naissance

    Jack Warden Lebzelter

    Pseudo

    John H. Lebzelter

    Nationalité
    Américain
    Naissance 18 septembre 1920 (Newark, New Jersey - Etats-Unis)
    Décès 19 juillet 2006 à l'age de 85 ans (New York, New York - Etats-Unis)
    49
    ans de carrière
    72
    films et séries tournés
    3
    nominations

    Biographie

    De son vrai nom John H. Lebzelter, Jack Warden, d'un naturel bagarreur, s'illustre d'abord comme boxeur professionnel poids welter sous le nom de Johnny Costello. Videur, puis soldat, il rejoint les rangs de la marine pendant la Seconde Guerre mondiale, avant de s'engager chez les parachutistes. Blessé à la jambe, c'est durant sa convalescence qu'il découvre le théâtre et sa vraie vocation. De retour à la vie civile, Jack Warden prend des cours de comédie, puis s'illustre à Broadway et à la télévision. C'est en 1951 qu'il fait ses débuts au cinéma, dans la comédie You're in the Navy Now aux côtés d'autres anciens soldats comme Lee Marvin ou Charles Bronson. L'année suivante, il apparaît dans Tant qu'il y aura des hommes, puis campe le juré N° 7 de Douze hommes en colère de Sidney Lumet.Cantonné aux rôles de soldats et de "gros durs", Jack Warden s'illustre durant ...
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    Les Remplaçants Bande-annonce VO

    Filmographie

    Les Remplaçants
    Les Remplaçants
    Date de sortie inconnue
    Nello et le chien des Flandres
    Nello et le chien des Flandres
    Date de sortie inconnue
    Bulworth
    Bulworth
    22 mars 2000
    Dirty Work
    Dirty Work
    Date de sortie inconnue
    L'Etoile de Robinson
    L'Etoile de Robinson
    8 octobre 1997
    Ed
    Ed
    Date de sortie inconnue
    L'Amour à tout prix
    L'Amour à tout prix
    16 août 1995
    Junior le terrible 3
    Junior le terrible 3
    Date de sortie inconnue

    Photo

    News

    Décès du comédien américain Jack Warden
    News - Stars
    Le comédien américain Jack Warden, révélé par son rôle de juré dans "Douze hommes en colère" et cité par deux fois à l'Oscar…
    lundi 24 juillet 2006
    Commentaires
    • KOLCHAK
      j'adore jack warden dans les comédie :) RIP
    • Plume231
      Presidio, base militaire, San Francisco (1988) de Peter Hyams [img]http://img.over-blog.com/500x7...[/img] Synopsis : A Presidio, une célèbre base militaire de San Francisco, deux cambrioleurs tuent un policier militaire avant d'abattre un autre agent, civil celui-là, dans le centre-ville. Le lieutenant-colonel Alan Caldwell et l'inspecteur Jay Austin sont chargés de l'enquête. Les deux hommes sont en délicatesse depuis une récente affaire. En outre, Caldwell n'aime guère qu'Austin s'intéresse de trop près à sa fille, Donna. Malgré quelques tiraillements, leur enquête avance. Les deux hommes découvrent bientôt que la base est la plaque tournante d'un vaste trafic de diamants. Des bonbonnes, censées contenir de l'eau, servent astucieusement de cache pour la précieuse cargaison... [img]http://www.cinemovies.fr/image...[/img] Critique : Le réalisateur Peter Hyams avait donné quelques années auparavant un film de science-fiction très prenant "Outland, loin de la Terre", avec déjà Sean Connery ; donc venant d'un cinéaste ayant donné un très bon film de SF je pouvais légitimement m'attendre à un très bon film policier. A cela, le fait que ça tourne autour d'une base militaire donne un cachet d'originalité non négligeable à l'ensemble. Supplément de naïveté, je m'attendais quitte à ce que l'intrigue policière soit un peu conventionnelle à un film qui décrit le milieu d'une base militaire ; un peu comme l'excellent "Witness" l'avait fait quelques années avant avec la communauté amish. Mais en fait, la première scène donne très bien la couleur : "Presidio, base militaire, San Francisco" est un film bien bourrin qui se contente d'accumuler les séquences aussi lourdes les unes que les autres et quasiment en-dehors de la base militaire ; résultat pour la description de ce milieu il vaut mieux s'asseoir dessus. L'intrigue prévisible et totalement invraisemblable n'ajoute qu'au désintérêt que procure le film. Meg Ryan se contente de montrer qu'avant que la chirurugie esthétique la défigure elle avait un joli minois. Mark Harmon est toujours vénère. Seul Sean Connery avec son charisme et bien sûr son talent, et aussi parce qu'il joue l'unique personnage ayant un minimum de consistance, arrive à sauver les scènes dans lesquels il apparaît. A moins d'être très fan de Sean Connery ou alors que pour vous "bourrin" est synonyme d'"excellence", ce film est totalement dispensable. Note : 5/20 (*) [img]http://www.cinemovies.fr/image...[/img]
    • Plume231
      Très marquant dans "12 Hommes en colère" mais je n'ai jamais vu "Harry Fox".
    • Plume231
      Non, pas d'option VM pour cette chaîne. En tous les cas, pas par ma livebox. [quote]PS : j'ai enregistré le Portrait de Jennie (en VO)[/quote]Tu devrais avoir honte
    • AMCHI
      y a pas l'option VM sur cette chaîne :??: j'ai pas trouvé la VF mauvaise pour ma part PS : j'ai enregistré le Portrait de Jennie (en VO)
    • Plume231
      [quote]il passe L'Arrangement sur OrangeCinéGéants en ce moment ça va être mon 1er Kazan[/quote]Mon talon d'Achille car c'est un des cinq Kazan que je n'ai pas encore vu :D [quote]sinon pour revenir à Warden j'ai vu dernièrement avec lui Les Yeux bandés qui repasse vendredi (vers 16h20 il me semble) sur cinéPolar[/quote]Je vais voir s'il le passe au moins une fois en VO
    • AMCHI
      il passe L'Arrangement sur OrangeCinéGéants en ce moment ça va être mon 1er Kazan :crazy: sinon pour revenir à Warden j'ai vu dernièrement avec lui Les Yeux bandés qui repasse vendredi (vers 16h20 il me semble) sur cinéPolar
    • Plume231
      OK :jap: , bon tu sais ce qu'il reste à te faire avec le Kazan.
    • AMCHI
      pas vu le Kazan mais en gros je suis d'accord avec toi pour ce film
    • Plume231
      L'Homme qui tua la peur (1957) de Martin Ritt [img]http://www.cinemovies.fr/image...[/img] Synopsis : Déserteur, Alex trouve du travail comme docker. Très vite, il devient l'ami de Tommy Tyler, un Noir. Celui-ci est en perpétuel désaccord avec le chef du chantier, Charlie Malik. Lors d'une dispute, Charlie tue Tommy. Connaissant le passé d'Alex, Charlie est persuadé qu'il ne parlera pas a la police mais Alex décide de venger son ami autrement... [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Critique : Difficile de ne pas faire de comparaison entre ce film et celui très célèbre d'Elia Kazan "Sur les Quais". Action qui se déroule sur les dockers, la loi du silence qui règne dans ce milieu, un tournage en extérieurs, un acteur principal brut de décoffrage dans le rôle d'un loser, un final "chemin de croix", seule différence notable si le premier traitait du racket, le second traite du racisme. Le principal mérite du film d'ailleurs est de ne pas l'aborder de manière trop explicite. Quelques beaux moments émouvants en particulier les scènes où le personnage de Cassavetes téléphone à sa mère sans lui répondre mais on est quand même loin de la puissance du film de Kazan. Enfin ceci ne doit surtout pas faire passer à côté de cette oeuvre pour ses qualités. Note : 13/20 (***) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Shampoo (1975) de Hal Ashby [img]http://thisdistractedglobe.com...[/img] Synopsis : Un garçon coiffeur qui a un succes fantastique auprès de toutes les dames et demoiselles de la haute société, veut créer son propre salon... [img]http://www.joeclipart.com/blog...[/img] Critique : C'est pas Aristote qui disait qu'un entier devait avoir un début, un milieu et une fin ? En tous les cas, moi personnellement je pense (bien sûr il y a quelques exceptions à la règle!) qu'un film, en particulier une comédie, doit faire bien sentir qu'il a ces trois ingrédients essentiels. Le problème c'est que l'histoire donne l'impression qu'il n'y a pas de début et on n'entrevoit qu'une fin qu'aux toutes dernières minutes du film. En fait pour être court et clair, on s'emmerde faute d'une histoire bien précise et emballante. Il y a quand même reconnaître quelques qualités indéniables comme la description que donne Hal Ashby des soirées angelenas qui est très juste ou encore le casting. Warren Beatty n'a pas eu à se forcer dans le rôle d'un type qui se tape toutes les femmes qu'il croise, c'est toujours un plaisir de voir Julie Christie actrice que j'aime beaucoup et Jack Warden joue de manière très nuancée et pique la vedette à tout le monde. Mais dans l'ensemble et en dépit de ses quelques qualités, "Shampoo" est une oeuvre très facilement oubliable (que j'ai même failli oublier d'en écrire la critique!). Note : 8/20 (**) [img]http://movieactors.com/photos-...[/img]
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