AlloCiné
Mon compte
Le réalisateur italien Matteo Garrone retrouve la noirceur, la fougue de Gomorra.
Stylé, élégant, tout en séduction et en rythme, "Ocean’s 8" transpose l’art du braquage des casinos de Las Vegas vers l’univers feutré des milieux de la mode et autres "fashion weeks" uniquement fréquentées par des personnalités de haut vol.
Une comédie savoureuse.
Un premier film très maîtrisé.
Un thème puissant, mais un peu trop dilué.
Ce premier film de Dario Albertini est un étonnant portrait d'adolescent, fort, prenant, sensible, superbement interprété par Andrea Lattanzi, acteur novice et inspiré.
Un grand film sur le mystère.
Une comédie en costumes allègre et inventive.
Ce film rappelle "Comme un avion" (2015) dans lequel Bruno Podalydès faisait l'éloge de personnages fantaisistes. Qui allaient au bout de leur rêve. À la recherche de leur vérité.
Le propos est fort, et le film le met en œuvre avec une belle intégrité, sans manichéisme.
Une version adulte de Casper, le gentil fantôme, à la fois gonflée et gonflante, Lowery ayant tendance à se prendre pour Terrence Malick.
Émouvante chronique sur la fin de l'enfance, un premier long-métrage prometteur.
Animation impeccable, gags inventifs à répétition, dans ce bestiaire bariolé, "Ferdinand" se taille la part du lion.
Avec une écriture agile, des dialogues percutants et des comédiens épatants, "Tout mais pas ça !" ranime la flamme de la comédie italienne : une observation satirique des moeurs contemporaines, débordante de fantaisie et d'humanité.
Ainsi commence la relation frondeuse de Neila Salah (Camélia Jordana) et Pierre Mazard (Daniel Auteuil), qui va les conduire ensemble jusqu’au sommet du Brio : le concours annuel d’éloquence.
Adeline D’Hermy donne un charme bouleversant à cette princesse de la mouise, triste, drôle, mutique, agressive, dépressive. Guillaume Gallienne signe un film bizarre, inégal, tordu, cabossé, mais sensible.
Le cinéaste rend palpable la pression que doivent éprouver les deux hommes avant de se rencontrer à Wimbledon pour une finale haletante.
Une postproduction très sophistiquée en fait un objet étonnant plastiquement et musicalement.
Original et émouvant.
Steven Soderbergh n’est pas un bleu. Il ne foire jamais ses films de casse. Les braqueurs, il connaît.