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    Bates Motel
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    Aymeric L
    Aymeric L

    28 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 14 octobre 2018
    Bates Motel est une vraie réussite! La série monte en puissance de saison en saison. Le développement du duo principal, Norman et sa mère Norma, est subtil et intelligemment creusé. On les découvre plus profondément au fil du temps et des événements, on passe de la compassion à la haine envers Norman d'un épisode à l'autre. On est perdu sur ce que l'on ressent à son sujet, tout comme lui qui est perdu à cause de sa maladie mentale. On découvre au fur à mesure ce dont il est capable et le vrai rôle que joue sa mère Norma auprès de lui. Leur relation est aussi étrange que fusionnelle.
    Le final de la saison 4 nous prend par surprise et déconstruit tout, ce qui donne une 5e saison magistrale, avec une fin à la hauteur de la série!
    Les acteurs sont tous parfait, Norman et Norma sont pleins de nuances et passent du bonheur absolu à la haine totale, de la gentillesse mielleuse à une tendance psychopathe effrayante. Une réelle performance d'acteurs tout du long, vraiment impressionnant.
    shindu77
    shindu77

    73 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 13 mai 2017
    Une série véritablement intéressante tiré du film psychoses. À savoir, la jeunesse du héros Norman Bates. Grâce un bon casting, en priorité les deux acteurs principaux, une mise en scène efficace et surtout une dimension psychologiquetrès intéressante mais quelque peu perverse aussi, la série réussi son affaire. C'est-à-dire placé un bon thriller dans sa globalité. Très intéressant aussi le clin d'œil à la scène de la douche.
    Laura L
    Laura L

    28 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 septembre 2019
    Jusqu'ici, j'ai vu beaucoup de films, beaucoup de séries que j'ai aimé. Mais celle ci... celle ci à quelque chose qu'aucune autre au monde n'a. Tout d'abord un jeu d'acteur formidable, vraiment jouée à la perfection. "Bates Motel" nous transporte totalement vers un autre univers, une autre époque, voir une autre dimension où les secrets les plus enfouis remontent doucement à la surface. Puis, on commence à entrer dans les pensées les plus intimes de Norman, qui se révèlent être de plus en plus troubles et confuses jusqu'à ne plus être maître de son propre esprit.
    Le lien qui unit Norman et Norma se ressert de plus en plus, jusqu'à ne faire qu'une seule et même personne, sombrant ensemble/séparément dans une folie morbide et meurtrière.
    J'ai aussi beaucoup aimé le rôle de Max Thieriot jouant Dylan, le frère de Norman. Personnage très important au look un peu "Bad Boy" qui s'avère être quelqu’un de très attachant voulant à tout prix protéger son frère de sa démence... il est, lui aussi un élément clef de la série.
    Le Shérif Alex Romero, Emma ou encore le frère de Norma y sont tout autant incroyables...
    J'ai ressenti des émotions incroyablement fortes à chaque instant. Et pour la première fois de ma vie, il m'est difficile de rédiger une critique à la hauteur de mes ressentis.
    Cette série m'a fortement marquée pour son histoire, son originalité, ces acteurs aussi fabuleux les uns que les autres et leur capacités certaines à nous transmettre autant d'émotions et de sentiments...
    Elle donne aussi beaucoup à réfléchir sur les maladies mentales que sont la Psychose et la Schizophrénie. Malheureusement très peu comprises encore aujourd'hui, les réalisateurs ont été tellement performants et professionnels qu'on aurait presque eu l'impression d'être nous même malade, en même temps que Norman.
    Aussi, la série exprime le combat d'une personne contre la Mucoviscidose, encore un sujet important qui est malheureusement rarement traité au cinéma...
    Et même si "Bates Motel" est grandement inspiré du film Psychose, dont la réputation n'est plus à faire, on à là de la recherche et de l'innovation à tout point de vue.
    Le duo Freddie Highmore (Actuellement dans "The good doctor") et Véra Farmiga (Anciennement dans Esther) ne cesseront décidément jamais de nous surprendre ! Ils sont, ici, terriblement attachants, vrais, et uniques à la fois. Il faut également noter que ces deux personnes sont très proches l'un de l'autre dans la vie réelle !
    Je ne parle même pas de la scène de la douche où encore du final de "Bates Motel" qui resteront ancrée dans ma mémoire... digne d'un grand chef d'oeuvre du cinéma !
    Intrigante et poignante, c'est le mélange parfait entre l'amour et la folie.
    Cette série mérite bien des prix et d'être reconnue à sa juste valeur. Il est clairement difficile de faire mieux.
    Je l'ai tellement aimée, qu'à sa fin, je l'ai recommencée !
    1 pour la reconstitution de cette fameuse grande maison au caractère obscur, son Motel, ses décors à la fois somptueux et lugubres et aussi, pour cette B.O vraiment magnifique et bien choisie...
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    70 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 27 avril 2017
    Comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, j'ai beaucoup plus de mal à critiquer une série qu'un film, mais je dois parler de Bates Motel car la série vient de sortir son 50e et dernier épisode, alors Bates Motel est un prequel du chef-d'œuvre de Hitchcock, Psychose, dans lequel on nous raconte la jeunesse de Norman Bates et sa relation avec sa mère en particulier, alors Bates Motel est une série avec un gros point fort, ses personnages, fascinants et terrifiants pour les Bates, et l'attachement et la tendresse pour Emma et Dylan, alors c'est rare que je dise ça, mais toutes les saisons se valent, toutes les saisons sont au même niveau et aucun episode n'est en trop. La fin est parfaite et Fait son effet au cœur. 19/20
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    "Psychose", le chef d'œuvre indépassable d'Alfred Hitchcock sorti sur les écrans en 1960 est sans aucun doute trente ans avant le choc provoqué par "Le silence des agneaux" de Jonathan Demme (1990), le film précurseur de tous ceux dédiés aux serial killers. Depuis près de soixante ans, les emprunts au film sur tous les modes ne se comptent plus. Certains comme Brian de Palma, grand admirateur d'Hitchcock, parsèment leurs métrages de clins d'œil aux scènes les plus célèbres de "Psychose" comme celle fameuse de la douche évoquée dans "Pulsions" (1980) puis parodiée dans "Body Double" (1986). De remake il n'y eu point jusqu'à ce qu'en 1999, Gus Van Sant avec "Psycho" en propose une copie conforme plan par plan, faisant ainsi la démonstration que s'attaquer à ce monument haut comme une montagne était une tentative vaine et forcément vouée à l'échec en raison du culte qui l'entoure (le film a seulement rapporté la moitié de son budget). Pourtant dès l'origine, le scénario écrit par Joseph Stefano à partir du roman de Robert Bloch faisait naitre bien des interrogations qui laissaient autant de portes ouvertes à une préquelle, phénomène bien établi depuis deux décennies à Hollywood et dont se sont désormais emparé les créateurs de séries. Comment Norma Bates est-il devenu le criminel psychopathe décrit par Hitchcock et interprété par Anthony Perkins ? A-t-il déjà tué avant le passage de Marion Crane (Janet Leigh) dans son motel ? Qui était sa mère Norma qui semble avoir au fil du temps vampirisé sa personnalité ? Norma Bates s'est-elle réellement suicidée ? C'est Carlton Cuse et Kerry Ehrin, deux scénaristes de talent rompus à l'exercice des séries qui ont donc osé se lancer dans l'aventure de proposer une série de cinq saisons dont quatre consacrées à la construction de la personnalité dissociée de Norman Bates (Le trouble dissociatif de l'identité reconnu aux Etats-Unis en 1994 était à l'époque du film d'Hitchcock confondu avec les troubles liés à la schizophrénie). Le pari était donc risqué de rendre un hommage à "Psychose" empreint du respect obligatoire au travail d'Hitchcock en subissant l'emprise d'un carcan trop contraignant. En résumé, il fallait trouver la voie du pastiche intelligent plutôt que d'emprunter celle plus tentante et facile de la parodie ou du plagiat. Les scénaristes ont parfaitement compris à travers les questions restées en suspens citées plus haut que c'était dans le développement de la relation entre le fils et sa mère que se trouvaient tout l'intérêt et la justification de leur démarche. Ce postulat établi à partir duquel une équipe de scénaristes expérimentés pouvait utilement travailler, restait l'écueil périlleux de la distribution des deux rôles principaux. Pour celui emblématique de Norman Bates, impossible de s'éloigner de la figure tutélaire d'Anthony Perkins qui imprima si profondément son empreinte sur le personnage que sa carrière hollywoodienne ne parviendra jamais à décoller par la suite. Freddie Highmore, anglais comme Perkins et remarqué très jeune dans "Charlie et la chocolaterie" de Tim Burton aux côtés de Johnny Depp puis dans la trilogie "Arthur et les Minimoys" de Luc Besson compose un Norman Bates plus que convaincant à travers la large palette de nuances que recèle son jeu très prometteur. Pour Norma Bates dont il fallait créer le personnage de toutes pièces, c'est la très charismatique Vera Farmiga dont la carrière à Hollywood n'est pas encore à la hauteur de son talent qui apporte à cette mère possessive au passé plus que chargé, toute l'ambigüité nécessaire pour que le spectateur puisse enfin mettre un visage sur une femme névrosée qui a largement contribué à façonner la personnalité d'un Norman Bates trop longtemps confiné dans une enfance aux contours incestueux à peine masqués. Autour de ce duo que l'on peut nommer couple se greffe une brochette de personnages tous fort justement dessinés qui auront à pâtir gravement de la fusion maladive des gestionnaires du "Bates Motel" nouvellement implanté dans la petite ville de White Pine Bay (ville imaginaire de l'Oregon qui est en réalité Aldergrove située en Colombie-Britannique au Canada), sorte de réplique de Twin Peaks, autre ville imaginaire créée en 1990 par David Lynch où la culture du pavot aurait remplacé les imposantes scieries bordant les célèbres chutes dont l'image ouvrait le générique rythmé par l'envoûtante musique d'Angelo Baladamenti. Aucune des intrigues secondaires construites pour entretenir le suspense ne vient abîmer la personnalité de Norman Bates proposée par Alfred Hitchcock. On conçoit en effet parfaitement que tout ce qui gravite autour de Norma et de Norman Bates soit empreint de toxicité dans le but de conserver intacte l'atmosphère étouffante de l'œuvre séminale. Judicieusement a été introduit via Dylan (Max Thieriot) un frère sain à Norman qui apportera avec le personnage d'Emma Decody (Olivia Cooke), jeune fille atteinte de mucoviscidose au visage angélique, une bouffée d'air frais permettant de sortir à intervalles réguliers le spectateur du marasme ambiant pour mieux l'y replonger à la fin de chaque épisode. Ainsi, le fil qui relie "Bates Motel" à son prestigieux aîné, s'il est parfois distendu n'est heureusement jamais rompu. Le parfum de Twin Peaks évoquée plus haut qui nimbe la série est franchement perceptible grâce au personnage iconoclaste de Chick Hogan (Ryan Hurst), trafiquant solitaire, insoumis, brutal mais aussi poète à ses heures, directement inspiré de "la femme à la bûche" chère à David Lynch. Au fil des quatre premières saisons, le scénario semble nous conduire doucement mais sûrement vers les évènements qui servirent de trame au film de 1960. Effectivement l'ultime saison amène Marion Crane cette fois-ci interprétée par Rihanna en lieu et place de Janet Leigh au Bates Motel et la scène de la douche est bien restituée. Mais comme le dit la scénariste et productrice Kerry Ehrin : "Bates Motel" longe "Psychose" avant de le traverser pour finir par proposer sa propre fin de l'aventure". On évite ainsi la faute de goût qui aurait consisté, par un respect trop pointilleux qui n'était plus de mise après un si long prologue, à se résoudre sagement à une reproduction intégrale sur la dernière saison. On peut donc dire que tous les écueils ont été brillamment évités, démontrant une fois de plus le savoir-faire incomparable des américains pour inventer tout en recyclant quand ils veulent s'en donner les moyens et surtout l'ambition. Bizarrement malgré une flopée de récompenses, l'intérêt pour la série a progressivement décliné lors de sa diffusion sur NBC. Malgré tout "Bates Motel" reste une très intelligente digression à partir d'un film culte qui n'est en rien déshonoré par cette réappropriation. Et puis il y a Vera Farmiga, digne héritière de la grande Jessica Lange.
    Val
    Val

    21 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    J’adore ! Franchement c’est très bien joué et bien mené. On finit un épisode on a envie de voir le suivant.., c’est généralement bon signe non ?!
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    47 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 4 mars 2019
    5 saisons assez inégales, parfois longues, parfois bien prenantes. Les personnages sont bien travaillés, la famille Bates en tête, les clins d'oeil et références au grand film de Hitchcock sont légion mais la dernière saison m'a extrêmement déçue, notamment les 4 ou 5 derniers épisodes qui vont à l'opposé de l'oeuvre originale. Vraiment dommage car le tout perd toute sa valeur et sa crédibilité!
    Alexis D.
    Alexis D.

    94 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 26 juin 2021
    "Bates Motel" est une série prequel contemporaine au chef d'œuvre d'Alfred Hitchock, "Psychose", sorti en 1960, adaptation du roman éponyme de 1959 par Robert Bloch. Un film au sommet donc, qui sera suivi d'un respectable "Psychose 2" vingt-trois ans plus tard, d'un navrant "Psychose 3", et d'un désolant "Psychose 4" qui s’avérera être néanmoins intéressant sur certains aspects et parce qu'il en découlera le moule de la série qui nous intéresse ici. "Bates Motel" était une série prévue à l'origine pour 1987. Un pilote fut tourné, jugé peu convainquant, il sera voué à l'exploitation sur petit écran et ne donnera aucune suite. Il conservera d'ailleurs le titre "Bates Motel" ("Changement de propriétaire", en titre officieux français). Naquit également un remake controversé en 1998 par Gus Van Sant avant de voir débouler cette sympathique série quinze ans plus tard. L'histoire est bien entendu celle de l'emblématique Norman Bates, jeune adolescent perturbé et peu sociable, qui suite au décès quelque peu prématuré de son père, doit déménager avec sa mère dans un petit patelin du nom de White Pine Bay. Cette dernière envisage de reprendre un motel abandonné et de le rénover dans le but d'y faire tourner leur commerce. Cependant, le jeune Norman, sujet à un sévère trouble de la personnalité, tombera progressivement dans la folie et deviendra le tueur en série iconique que l'on connaît aujourd'hui. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la série ne s'arrête pas avant les événements du premier film, mais les prend en compte, s'achevant donc quelque part entre l'original et sa première suite. Bien qu'étant un prequel, la série se voit contextualisée dans les années 2010. Un changement pas choquant, étant donné que cette petite bourgade semble être arrêtée dans le temps. Ainsi, malgré la présence de quelques smartphones et ordinateurs, l'archaïsme prime avant tout. Autant au niveau des voitures (années 1950-1960), que de la bande sonore, en passant par les vêtements de Norman et de sa mère, leur demeure lugubre et l’annihilation de toute technologie au motel et dans le centre-ville, tout semble être mis en place pour rapprocher la série de son modèle. Par exemple : Chick écrit un roman sur les crimes commis par Norman. Sauf qu'au lieu de l'écrire sur un ordinateur, il l'écrit sur un modèle de machine à écrire très daté. Un parti pris certes pas anodin, mais qui reste toutefois à relativiser compte tenu que, passé les premières saisons, toute trace de technologie/modernité disparaît. Le principal défaut de la série, encore relativement peu connue, réside dans la relation ambiguë entre Norman et Norma. Une saison, ça passe, deux également... Cinq, un peu moins. Leur relation s'avère poussive et redondante. La bipolarité de Norma est même par moments agaçante. La série aborde des thèmes matures telles que l'exploitation de chanvre, l'inceste, la puberté, le passage à l'âge adulte, la découverte de son corps, le complexe d'Œdipe et j'en passe. Certains thèmes sont donc essentiels à l'intrigue, d'autres un peu moins (le cannabis). Cela n'empêchera en rien la série de proposer trois premières saisons passionnantes, avant d'enchaîner sur une quatrième particulièrement creuse. Cela est d'autant plus navrant que la saison est primordiale en ce qui concerne l'évolution de Norman en psychopathe. L'intérêt sera néanmoins rehaussé dans la cinquième saison, la dernière. La série, sans être une référence, possède cependant assez de qualités pour tenir en haleine le spectateur, d'autant plus s'il a apprécié le chef d'œuvre de Hitchcock. Qu'il est bon de retrouver le motel et le personnage de Norman à ses origines ! Vera Farmiga est crédible, le scénario tient debout, les personnages sont attachants, même si le jeu d'acteur de Freddie Highmore tourne en rond, dévoilant souvent les mêmes mimiques. Il a beau être expressif, il est surtout limité ici. Les fans de "Twin Peaks" pourraient également se régaler, la série possédant quelques caractéristiques communes, sans pour autant égaler l'œuvre de David Lynch. Au final, "Bates Motel" constitue véritablement une bonne série américaine, une fois de plus une série pour ados, mais qui vaut clairement la chandelle dans le genre des thrillers, à voir pour les fans de Freddie Highmore et du film "Psychose" bien entendu
    Stéphane D
    Stéphane D

    92 abonnés 2 030 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 14 février 2020
    Le point fort de cette série c'est que sur 5 saisons, l'intérêt reste constant, il y a un début et une fin. Donc on n'a pas l'impression de tourner en rond et l'actrice de Norma est fantastique (je pense que plein d'acteurs auraient pu faire aussi bien pour Norman mais bon...). Et que l'acteur qui joue le frère est agaçant en mode larmoyant en permanence.
    Pas la série du siècle mais très solide.
    Xavier D
    Xavier D

    47 abonnés 1 047 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 24 novembre 2019
    Je pense que même Hitchcock et Anthony Perkins n'aurait pas regné cette série, tant par la forme de l'écriture du scénario qui retrace les événements avant, pendant et après Psychose d'une nouvelle interprétation cela va sans dire. En tous cas Freddie Highmore exceptionnelle jeune acteur et talentueux dont son rôle est magnifique, il a même écrit et réalisé des épisodes; la sublime Vera Farmiga tantôt gentille, tanto manipulatrice au diapason le reste du casting n'est pas en reste, Max Thieriot et Nestor Carbonell. La réalisation des épisodes sont bien inspiré du grand cinéaste, à la première saison jusqu'à que l'hôtel ouvre ces portes, tous démarre superbement bien après s'enchaînent alors jusqu'à la saison 3 des épisodes avec aucun intérêt en rencontrant des nouveaux personnages, des rebondissements qui nous donne des questions en nous donnant mal à la tête, puis tous redémarre à la 4 eme saison et la dernière c'est l'apothéose. Un final troublant, dramatique et évidente. Superbe série !
    Le Monde de Mel G
    Le Monde de Mel G

    24 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 29 février 2020
    Excellente série qui se rapproche assez fidèlement de l'œuvre d'Alfred Hitchcock tout en apportant quelques modifications et ayant également son propre style. C'est une série très sombre, très violente et qui comporte également plusieurs scènes avec de la drogue notamment. Netflix a bien raison de préciser -16 ans, car moi-même, je déconseille cette série aux plus jeunes.
    Pour revenir à ma critique, j'ai adoré la réalisation qui se démarque de celle d'Hitchcock (en même temps, des décennies ont passé) et encore une fois, j'aime beaucoup la bande sonore, avec des musiques très vintages. Par ailleurs, le casting est merveilleux bien qu'il m'était inconnu jusque-là (à l'exception de certains acteurs qui n'apparaissent que le temps de quelques épisodes). L'histoire est très bien ficelée et surtout elle est très prenante, et ce, dès le début. L'atout de cette série est le côté psychologique poussant nos propres limites. D'ailleurs, jusqu'à quel point seriez-vous prêt à aimer ? Que ce soit un amour romantique, familial ou amical, parfois aimer, est si inconditionnel que les limites du raisonnable n'existent plus. En bref, cette série nous donne de quoi réfléchir. Que ferions-nous à la place des personnages ?
    Cette série fait partie de mes séries préférées.
    kal-el 02
    kal-el 02

    97 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 10 novembre 2017
    La série est une approche intéressante de l'adolescence de Norman Bates, inoubliable serial-killer du "Psychose" d'Hitchcock. Elle étudie sa vie avec Norma, sa mère. "Bates Motel" se présente comme un prequel au chef d'oeuvre du réalisateur. Les fans du film pourront apercevoir des décors typiques, du bureau du motel à la demeure de Bates, avec la "room with a view" de la mère. L'ambiance est également au rendez-vous. Dans les premiers épisodes, les lycéens viennent l'embêter et ses hormones tentent désespérément la crise d'adolescence. Sa mère (jouée par une Vera Farminga impeccable), elle, est envahissante et protectrice ; il s'en est fallu de peu pour que la série se transforme en "Teen TV Show" Mais, heureusement, l'intrigue progresse sur le couple mère/fils et sur leur relation ambiguë. Les passages mettant en scène les jeunes protagonistes servent surtout à nous montrer le comportement déviant et pulsionnel de Norman. Défaut : l'action se situe à l'époque contemporaine. En effet, à cause de ce choix des showrunners, on perd en authenticité. En plus, les décors et les costumes sont assez rétro et ne s'associent pas aux smartphones. Autre défaut : la mafia et les dealers, qui viennent parasiter l'histoire. Mais on s'habitue assez facilement à ce léger décalage par rapport à l'oeuvre originale. Inventif et intrigant, "Bates Motel" m'a charmé dès la première saison et est porté par un Freddie Highmore spectaculaire.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 avril 2015
    Bates motel est un petit bijou qui se consacre à l'avant Psychose d'Hitchcock. Deux acteurs extrêmement talentueux : Vera Farmiga et Freddie Highmore, ainsi que la présence de Nestor Carbonell en tant que shérif, donne naissance au plus célèbre des psychopathes. Du jamais vu et du pur jeu d'acteur.
    Gé F
    Gé F

    8 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    Je ne vais pas revenir sur l'ensemble des éloges déjà fait sur la série (qualité de tournages, suspens, jeu des acteurs...).
    Mais à l'issue de la saison 5, nous avons décidé de revisionner le chef d'œuvre Psycho du maître Alfred.
    Et l'on se rend compte dès lors que de nombreux détails on vraiment été repris dans la série, ce qui la rend encore plus grandiose.
    Personnellement, l'une des meilleures séries que j'ai visionné.
    Ugo
    Ugo

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 8 février 2020
    J'ai essayé de m'accrocher mais quand c'est trop, c'est trop : les deux premières saisons, car je ne suis pas allé plus loin que ça, ne sont qu'intrigues qui ne sortent de nul part. Le scénario est vraiment mauvais. On tourne en rond et c'est insupportable. Même si la saison 1 était sans plus, la 2 est une catastrophe, tout ça à cause de l'histoire, car Vera Farmiga et Freddie Highmore jouent notablement bien.
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