Maïssane (Les Marseillais) : ses confidences sur ses chirurgies esthétiques et son addiction aux filtres
    Arthur Marchesseault
    Arthur Marchesseault
    -Rédacteur
    Arthur est notre spécialiste des Emissions télé et téléréalité. Particulièrement fan de Koh Lanta et de l'Amour est dans le pré, Arthur adore suivre et nous raconter la vie de ceux qui font l'actu télé.

    Dimanche 12 mars, l’émission Sept à huit consacrait un reportage aux jeunes femmes accros à la chirurgie esthétique. Maïssane, candidate de télé-réalité a accepté de témoigner sur ses opérations et son addiction aux filtres.

    Maïssane © Sept à huit - TF1

    Elle veut ressembler à une Bratz. Depuis qu’elle a 18 ans, Maïssane Aghioul, candidate de télé-réalité vue dans Les Marseillais et La bataille des couples, enchaîne les opérations de chirurgie esthétiques. À 24 ans, elle a eu recours à la chirurgie ou à la médecine esthétique 10 fois. J’ai fait le nez une première fois mais comme j’étais trop jeune, le cartilage a repoussé, j’ai pas écouté le chirurgien et ma bosse est revenue, donc j’ai dû le refaire une nouvelle fois”, a-t-elle expliqué aux caméras de l’émission Sept à huit qui consacrait un reportage aux jeunes femmes accrocs à la chirurgie, dimanche 12 mars 2023.

    Maïssane a subi 10 interventions en 6 ans seulement

    J’ai fait les seins […], j’ai fait les lèvres, quatre fois les injections, j’ai fait du Botox pour remonter un petit peu les yeux et j’ai fait le contour du visage et mes dents, elles sont neuves ! C’est des facettes !“, a continué de lisser Maïssane. Et elle n’a pas l’intention de s’arrêter. Elle voudrait désormais avoir des cuisses et des fesses “plus grosses”, comme une poupée Bratz, grâce à des implants. De quoi inquiéter sa mère, qui l’accompagne à chacun de ses rendez-vous avec son chirurgien : J’ai peur que ça devienne une addiction, c'est pour ça que j'essaie de contrôler un peu parce qu'on est vite addict à la chirurgie esthétique, surtout à cette âge-là.“

    Le problème, c’est que Maïssane Aghioul souffre de dysmorphophobie, c’est-à-dire qu’elle a une vision déformée et négative de son apparence. Une obsession pathologique qui touche de plus en plus de jeunes femmes, notamment à cause des réseaux sociaux et des filtres de beauté. D’ailleurs, Maïssane ne peut s’empêcher de retoucher toutes les photos qu’elle partage sur Instagram ou ailleurs. “C’est du Botox gratuit”, a-t-elle plaisanté, avant d’ajouter, plus sérieusement : “Il y a un diktat de l’apparence, et j’y participe un petit peu dans le sens ou je mets des photos qui sont clairement modifiées en fonction des tendances. Je me montre telle que j’aimerais être.“

    Maïssane : “Je ne pose jamais sans filtre“

    En plus des retouches, Maïssane ne posejamais sans filtre“. “C’est pas possible. Par contre, je vais essayer de faire un effort, de me rappeler à chaque fois, quand j'ai le réflexe de me dire : “Ah, je suis jolie sur cette story“, je me dis “ok, si je suis jolie, c'est que j'ai un filtre, le filtre est joli“. Je me raisonne comme ça“, a-t-elle avoué. Même si elle assure que son trouble dysmorphophobique a “un peu“ diminué depuis qu’elle consulte un psychologue.

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