Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Verobisson
5 abonnés
194 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 13 avril 2024
Angel, c’est s’empiffrer de guimauve et de barba à papa, sans s’apercevoir du goût amer qui nous attend. C’est passer d’un conte de fée à une tragédie, de Cendrillon à la famille Adams, , d’un liberté extraordinaire à l’asservissement total dans le chagrin, de la créativité absolue à la perte de tout génie, c’est raconter une vie entre beauté et cruauté Romola Garai révèle là toute l'étendue et la subtilité de son talent. L’œuvre est très esthétique grâce aux décors, costumes et image soignés. Maintenant c’est du « Ozon » kitsch. On aime ou pas. Personnellement, cet univers onirique me ravit
Film bonbon sucré très agréable. Le charme opère, séduisant film historique avec une très jolie photo. La musique est également jolie. On dirait un hommage aux films en costumes des années 50-60. Le seul bémol : c'est un peu trop long, ça peut lasser.
Le prolifique François Ozon signa Angel en 2007, au milieu d'un petit coup de mou dans sa filmographie. Comme souvent chez le réalisateur, le film est plus subtil qu'il n'y parait, à l'image de la construction de son personnage principal, sur le papier assez insupportable, mais passionnant quand on en sonde les détails. Une œuvre déstabilisante sans aucun doute, mais assez riche pour qui fera l'effort de creuser un peu sous le verni.
Rarement le projet d'un réalisateur m'aura autant échappé. Je n'ai en effet rien compris à ce que voulait faire Ozon dans Angel.
Un mélodrame ? Le film ne passionne pas par son propos, tout à fait inintéressant : histoire pâlote, personnages inconsistants, rebondissements erratiques.
Une ode au kitsch ? Angel est certes une sucrerie dégoulinante de couleurs et de musiques à haute teneur en mauvais goût, mais l'accumulation provoque ici l'indigestion.
Un hommage aux standards d'Hollywood, et notamment à Gone with the wind ? Je l'ai lu dans la presse, mais comment comparer le puissant contexte historique des films de cette époque au portrait compassé d'une Barbara Cartland de pacotille ?
Bref, je me suis ennuyé ferme devant cet exercice de style désincarné, mal servi par un casting sans charisme.
2,4 soit 2 comme moyenne des critiques spectateurs, le double pour Lapresse. Comme quoi beaucoup de journalistes se pavanent encore devant la célébrité locale d'Ozon, aveuglé par sa gloriole excessive, au point de ne plus pouvoir regarder vraiment le film. Quel navet que ce mauvais mélo où tout est prévisible après dix minutes. Les dix suivantes sont interminables, j'ai donc sauté au dix dernières, où j'eus le résumé des 140 que je n'ai pas vues, et exactement ce que j'avais prévu. Pourquoi ?
Parce que ce personnage n'a aucune complexité, et n'est que le stéréotype de la pauvre enfant imaginative à la mode, toujours grossière et inculte par rapport à "l'élite cultivée". Ozon part du cliché et malheureusment s'y enfonce. Fuyez ! Et fuyez les critiques de Lapresse !
Quel dommage ! Avec un personnage fouillé, cela eût pu être très bien. Répétition, lourdeurs, redondances... et je n'ai vu que 30' environ !!
Un mélodrame romanesque et cruel qui se laisse admirer plus pour son côté esthétique et ses couleurs sublimes que pour son son récit aussi irritable que son héroïne.
Un mélodrame fade servi par une héroïne antipathique et mal élevée sorte de guimauve insignifiante et bêtement amoureuse d'un peintre raté dont la vulgarité quand elle parle à table la bouche pleine est éclatante . Heureusement la fin est meilleure et Mickael Fassbender est là pour sauver un peu le film.
dans le style ampoulé des roman du debut du 19 éme roman populaire anglais cela n´atteind pas le niveau de la litterature francaise comme -Stendhal ,Zola ou Balzac un film fait comme les romans qu´ecrivait Angel ,un film qui pourrait etre muet avec ses actrice si expressive louise Brooks par exemple c´ést une curiosité mais irritante par son maniérisme.
Je pars toujours du principe que pour aimer un film, je dois aimer les personnages, avec "Angel", c'était peine perdue : c'est le personnage le plus antipathique et le plus tête à claques que j'ai jamais vu. Le reste du film est tout aussi exaspérant : mélodramatique à l'extrême, on se croirait devant une grosse guimauve américaine. Juste une question messieurs les critiques : auriez-vous noter le film de la même manière s'il n'était pas signé Ozon?? Franchement, je pense que non!!
Un très beau et bon cru de Ozon . Je ne suis pas un inconditionnel de ce réalisateur et en général j ai un peu de mal avec le cinéma français de cette génération de cinéaste à la mode . J ai mis plusieurs années avant de visionner cet opus de ce prolifique réalisateur est réussi surtout parce que tout est assumé. Le romanesque et le mélodrame est flamboyant sans oublier la photo .
j'ai trouvé ce film fade je me suis ennuyée ferme ! l'actrice principale n'est même pas jolie ni fascinante... et ce coté mélo qui n'en finit plus.. c'est simple je n'ai pas été jusqu'à la fin du film !! et les décors (voyage de noce...) çà se voit que c'est faux !! Il n'y a que le sublime Michael Fassbender qui relève le niveau... mais à part çà... c'est loupé...
J'adore son insolence et son aplomb quand Charlotte Rampling lui donne des conseils pour son livre: "je ne savais pas que vous étiez mon éditeur......" Elle est déterminée et pleine de volonté et tout le film se retrouve dans la très belle scène au théâtre où elle envoie des baisers aux spectateurs. L'excès de la jeunesse mêlé au parti pris du brillant voire du clinquant du réalisateur avec la musique romantique à souhait et les clichés tels l'arc en ciel (peut-être un peu too much quand même !!!!) On ne peut s'empêcher de trouver au film un air d'"Amour, Gloire et beauté" avec cette fin cruelle mais attendue