Avis sur 17 ans encore

Dans la vie, je suis plutôt tolérant et ouvert. J'ai même plusieurs passions comme la sodo à la noix de coco , me foutre de la gueule des films de Bay, ou regarder des daubes spécialement produites pour les adolescentes en mal d’amour. Inutile donc de vous préciser que cette bouillie indigeste ne déroge pas à la règle et que j’avais un besoin presque libidineux de voir cet (zac)étron. Sérieusement, Il faudrait qu’Hollywood arrête avec ce genre de daube pour adolescentes lobotomisées par les contes de fées, où à 14 ans elles se feront dépucelées par Dylan le BG dans les toilettes du Lycée. Bref encore un film qui compte sur la superficialité des adolescentes d’aujourd’hui. Une véritable catastrophe.

Ce film est très bien, pas du tout une de ces comédies sur les années lycées "les meilleures de la vie" comme pourrait le laisser penser de prime abord le titre...Au contraire si le personnage principal, qui a maintenant la trentaine, regrette ses années lycée (quoi de plus normal c'était la star de l'école), on se rend compte que finalement les choses ne sont pas si faciles que çà à 17 ans (notamment justement quand on n'est pas une star) et que de toute façon il est illusoire et même idiot de vouloir à nouveau avoir 17 ans (d'ailleurs il va surtout chercher à aider ses enfants). Si le film n'évite pas les clichés (le geek millionnaire), il évite au moins de faire passer les adolescents pour des simples d'esprit...le film n'en est que plus intelligent, même s'il reste très drôle, avec une bonne dose d'humour et d'ironie , tout en restant très sage (pas d'humour gras ou vulgaire).

Alors, qui n'a pas vu cette trame scénaristique une fois dans sa vie ? Je m'en doutais, personne, et qui trouve que ce film est original et traite ce sujet d'une façon totalement différente ? Personne non plus évidemment... Bon donc à quoi sert ce film ? A voguer sur le succès débile de Zac Efron avec High School Musical et se faire des thunes avec les ados débiles qui fonceront voir leur idole ? Ben ouais, surtout que le phénomène de mode passe vite, la preuve ? On parle de qui en ce moment ? Justin Bieber non ? Zac il est passé où ? Il fait des films ? Sur VHS alors car il a disparu de la circulation, ça c'est un incontournable acteur...
Voilà, tout est résumé là, on se demande ce que M. Perry vient faire ici, à part se faire lui aussi des sous et augmenter les lignes de son CV. Vous l'aurez compris ce film sert à rien, le scénario est nul, une copie de film bateau au possible, et le résultat c'est qu'on assiste à un plaidoyer pour la nouvelle star des ados, aucune autre utilité à ce "film".
Franchement les pas de danse d'Efron c'était pour quoi faire ? Allez je sais même plus pourquoi j'ai mis 0.5 étoiles, ah oui, on peut plus mettre 0. Ah, pour finir, appelez moi quand on verra du "jeu d'acteur" car je désespère (en même temps j'en demandais déjà trop).

Vu en salles pour accompagner les enfants d'un ami, qui ne pouvait pas les y emmener : ce film. Oh mon Dieu ! Bon, les mioches (12 et 10 ans) que j'ai emmenés ont adoré.
C'est peu de dire qu'à cet âge, on ne saurait pas différencier un Saint-Estèphe 1945 d'un cubiténaire de Villageoise frelaté. Mais tout de même, il y à de l'abus !
Ce film est un ratage absolu, on se demande ce que Matthew 'Chandler' Perry est venu foutre dedans (il joue le héros à 37 ans).
Dans le rôle du héros à l'âge de 17 ans, Zac Efron (à prononcer Zac Etron) est aussi convaincant qu'une facture de gaz payée dans la joie.
C'est à se demander pourquoi on a un jour décidé d'offrir une carrière d'acteur à ce gugusse qui, apparemment, plaît aux filles à cause de sa bogossité selon elles évidente.
Aucune originalité, filmé avec des palmes et gants de boxe, mal interprété, une niaiserie absolument infecte. Et puis faut arrêter, aussi, avec ces prétendus acteurs beaux gosses, bankables auprès des petites pisseuses !
Dans quelques années, tout le monde dira mais qui est-ce ? quand on prononcera le nom de Zac Efron. Dans 10 ans, ou dans 15 ans, le principal intéressé Efron aura lui-même énormément de gêne devant pareille production cinématographique !
17 Ans Encore est donc, vous l'avez compris, du même niveau que le sera le futur et inévitable High School Musical 4 : à savoir, ridicule, nullissime, honteux.

Comment faire pour mettre autant de clichés dans un film, les garçons sont des obsédés ou des victimes et les filles sont stupides, écervelées.

On nous prend du Zac Efron, on lui met un ballon de basket dans les mains, et on te le colle dans un lycée : c’est gagné se dit-on, voila du "HSM 4" comme on le connaît si bien, avec peut-être même son petit truc en plus… ou en moins. Et pourtant, passés quelques temps, on comprend très vite que la question est en fait clairement ailleurs. Sur les bases du gentillet "Mr. Destiny", le non moins gentillet Burr Steers s’efforce de nous jouer la carte de l’innocence à fond, sauf que vraisemblablement, l’innocence à chez cet auteur la saveur pétillante d’un bon Vichy (et je ne parle pas ici de la boisson). Car, vous savez les ados, "17 ans encore" vous apprend à redécouvrir ce qu’est la vraie innocence : l’abstinence sexuelle, l’épanouissement au travers de la famille et du travail, l’affirmation assumée d’une personnalité qui entre entièrement dans les plus strictes convenances sociales… Ça c’est le bonheur, et c’est Zac Efron qui vous le dit : les filles qui couchent ne se respectent pas, le préservatif est une aberration, et seul la femme que vous avez épousé mérite d’être aimée. En somme, au-delà de la fadeur et de la niaiserie qu’on était prêts à accepter, "17 ans encore" parvient finalement à susciter quand même chez nous du dégoût et – n’ayons pas peur des mots – de la peur. Bref, à moins que vous soyez pentecôtiste ou bien un sociologue qui étudie l’esprit réactionnaire américain, ce film est à fuir comme la peste.

« 17 ans encore » est une petite bluette sympathique, légèrement teintée de fantastique et plus particulièrement destinée à un public adolescent. Toutefois, le rythme est efficace et quelques gags sont suffisamment drôles et légers pour contenter un plus large public. Les personnages sont attachants, pas trop caricaturaux (quoi que!) et à peu près bien interprétés par de jeunes acteurs qui compensent leur manque de maturité et de charisme par une bonne dose de tonus et de bonne volonté. Malgré tout, le scénario simpliste pêche un peu par son manque d'originalité; il ne risque pas de révolutionner le « teenage movie », spécialité éminemment Américaine peu connue pour la complexité de sa philosophie. Aucun danger, donc, de se claquer un neurone par inadvertance ! Ceci dit, j'ai quand même passé un moment agréable avec ce film, signé du jeune réalisateur Burr Steers, qui se place dans la moyenne des productions du genre.

Un film niais avec Zac Efron: pléonasme !
A réserver aux groupies de ce pseudo acteur.

Super film avec un super acteur Zac Efron qui joue parfaitement le rôle de ado de 17 ans . Il se me dans des situation délicat qui sont hilarant . Bravo super film qui me fait pense a 30 ans sinon rien

Nous , spectateurs pouvons faire nos sincères félicitations à Burr Steers pour avoir apporter au cinéma cet insondable navet intitulé 17 ans encore . Il n'y a absolument rien sur la forme , on est là ,comme dans des films tels que High School Musical 3 : nos années lycée , devant un film dont le but est de faire de l'argent , d'en rapporter pour promouvoir Zac Efron , on se demande pour quelle raison , tant il est mauvais ( devrais-je dire effroyable ) dans ce navet piteux où tout sonne faux . Pas une once de mise en scène là-dedans . Quel est le fond de 17 ans encore ? Un type qui regrette certains son adolescence et qui va s'y replonger . Quelle belle idée , voilà le schéma actuel des scénarios des surproductions étasuniennes actuelles ! Tout n'est que clichés et stéréotypes ( le paroxysme étant atteint avec l'exécrable scène de l'arrivée du personnage incarné par l'insupportable Zac Efron en voiture portant des lunettes de soleil avec les filles qui se retournent ) . Ce film n'est ni plus ni moins qu'une caricature désolante et pathétique .

Divertissant ! Le film "17 ans encore" est une comédie sympatique et pétillante pour ados, qui ne tombe pas dans les clichés ni les excès. Un homme déprimé, Mike joué par l'excité de "Friends", Matthews Perry, qui regrette sans cesse le passé, se retrouve rajeuni, ... Lire la suiteà l'âge de 17 ans ! Drôle ! On sourit, on rit de temps en temps ! Ce film a un air du film "Big". C'est un plaisir pour moi, de retrouver Matthews Perry, toujours nerveux et maladroit... Je note également les scènes coccasses avec le personnage secondaire, le meilleur ami de Mike, Ned ! Rigolo ! Ce film est à voir pour se divertir, changer d'air ... Sympa!

faut pas être rabat-joie,comédie pour les ados qui se laisse regarder, sans véritable surprise,avec quelques fois l'impression de déjà vu,mais bon c'est ça la zacmania.......

C'est une comédie pour ado, on est d'accord. Mais franchement, ça fonctionne ! On rit souvent, et on profite des quiproquos nombreux et savoureux. Les relations entre les personnages sont plutôt bien travaillées pour un film du genre et les acteurs sont convaincants. J'avoue, j'ai du mal à comprendre ceux qui dénigrent Zac Efron en permanence. Il n'a pas fait que High School Musical et heureusement ! Dans 17 ans encore, je l'ai trouvé mûri, il rend son personnage crédible et lui apporte une touche d'humour en accord avec le film. Mais le point fort de cette comédie pour moi, c'est son scénario, car l'idée d'un père revivant son adolescence et essayant de créer un lien avec ses enfants donne lieu à des scènes parfois hilarantes, parfois très touchantes. Et c'est cela, je trouve qui fait la force du film, car il a une certaine profondeur qui s'allie à des dialogues savoureux et à des éclats de rires. Et somme, pour oublier des soucis, s'amuser et se détendre, 17 ans encore est parfait ! Alors n'hésitez pas à le regarder si vous voulez passer un bon moment.

On le voyait venir de loin cet ersatz de High School Musical (histoire d’amour, basket, lycée, etc) dans lequel un père de famille looser se réveille à l’âge de 17 ans dans son propre corps et de retour au lycée, à savoir la star de basket qu’il était et qui faisait tomber toutes les filles (quelle originalité) !
En voulant regagner l’amour de sa famille, le père (dans la peau de l’ado qu’il était à 17 ans) va se démener pour que son fils ne soit plus la « tête de turc » du lycée, que sa fille n’ait pas de mauvaises fréquentations et enfin, que son mariage ne se termine pas en divorce.
Bref, 17 ans encore est un film sans surprise et prévisible au bout du premier quart d’heure. Sans saveur où les leçons de morale abreuvent le film (c’est à en vomir !), sans oublier les violons et le mélodrame suintant le Disney familiale pour teenager, mise à part quelque petits fous rires, seul les adolescents(es) devraient y trouver leurs compte.

17 ans encore est un film qui commence bien. Sur un concept un peu éculé quand même, celui du type qui par miracle obtient une chance de changer sa vie en revenant dans le passé, il parvient, au début, à accrocher le spectateur par une tonalité plutôt sympa, et par son absence totale de prétention.
Le problème c’est qu’une fois dans le passé justement, et passé les quelques moments rigolo dû au décalage, 17 ans encore devient quelconque. L’humour s’éteint, le rythme devient décadent, avec une narration peu fluide, et la romance n’a strictement aucun intérêt (où devrai-je dire les romance tellement le film imbrique plusieurs données). 17 ans encore est un film qui s’enlise vraiment, semble perdre son fil conducteur pour ne le retrouver que tardivement, pour tout dire à peu près au tribunal.
Le film suit toutes les bases à respecter de la comédie romantique, et il ne s’en échappe jamais vraiment, ce qui aura aussi tendance à rendre le film trop conventionnel.
En clair, le film ne semble pas trop quoi faire de ce retour dans le passé, et il vivote entre la situation initiale, bien présentée, et la conclusion.
Néanmoins, le film n’est pas exempt d’atouts. D’abord Zac Efron est réellement à l’aise, et il porte avec un plaisir manifeste son personnage, s’avérant au final le meilleur atout du film. Dynamique, fun, il apporte ce qu’il faut à son rôle de décontraction et parfois d’autodérision. Il est entouré de seconds rôles toujours sympathiques, comme la mignonne Michelle Trachtenberg, et Matthew Perry et Thomas Lennon sont amusants. Leslie Mann ne démérite pas non plus. Pour tout dire, l’interprétation agréable et investie de 17 ans encore est un bon point, et ils parviennent parfois à faire oublier le conventionnel de l’histoire et des situations.
Visuellement rien de spécial à dire. Un film pour teenager, avec décor d’établissement scolaire, mise en scène punchie, romantisme fleur bleue où il est même difficile de s’embrasser sur la bouche, le tout sur une musique dynamique et « djeuns ». 17 ans encore n’a pas vraiment de personnalité ni d’ambition artistique, comme vous pouvez le supposer d’un film de ce genre.
Je ne m’étendrai pas davantage sur cette comédie romantique à l’intérêt somme toute limité à cause d’une histoire qui se déploie de la façon la plus conventionnelle qui soit. Et en plus elle est, dans sa partie centrale, l’objet de maladresses évidentes de rythme et de fluidité narrative. Mais avec l’interprétation plaisante, et une mise en scène plutôt alerte, le métrage, qui plaira aussi aux geeks par ses clins d’œil multiples à divers univers fantastiques, reste regardable. 2.5