Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
J31frites
1 abonné
147 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 30 mars 2024
Classique d'action horrifique des années 80, "Prédator" met en vedette le très célèbre Arnold Schwarzenegger (avec la voix de Richard Darbois !) dans le rôle d'un major traqué lui et son équipe (tous bien interprétés), par une étrange créature sanguinaire dans la jungle. Le film bénéficie de répliques cultes ("T'as pas une gueule de porte bonheur !" "Toc toc, aiguise-moi ça !"), d'une BO incroyable d'Alan Silvestri (qui colle parfaitement à l'ambiance, quoique le super thème principal est parfois entendu sans raison) et d'une mise en scène très efficace : le monstre est attendu longtemps et une tension insupportable s'installe (entre les fausses alertes, les champs de vision du monstre montrés grâce à son sytème d'imagerie thermique, et les bruits entendus par les personnages, les gros plans qui sont pas pour nous rassurer), qui laisse ensuite place à du très gore. Le scénario est basé sur des montagnes de clichés scénaristiques mais ici ça fonctionne plutôt bien parce qu'on est dans un foutu film d'action bien fun (l'humour est assez présent). Visuellement la photo est jolie sur la plupart des plans mais les effets spéciaux ont bien vieillis. Le visuel de l'alien, révélé petit à petit à la manière du requin des "Dents de la mer" est juste génial. On aurait aimé avoir plus d'explication sur celui-ci et on nous donne une liberté totale quant à l'interprétation du film. Le rythme et la durée du film sont satisfaisants même s'il est étrange qu'il faille attendre presque une heure pour que le monstre commence à tuer, donnant ainsi l'impression que le film change de direction. L'affrontement final est dantesque. C'est un film à ne pas à se faire spoiler, mais c'est pas aussi horrible qu'on le dit, je déconseille en dessous de 14 ans.
Heureusement que je n'ai pas vu ce film durant mon enfance, autrement j'aurais fait des cauchemars... Car oui, Predator, en plus d'être un film d'action et de science-fiction, est aussi un survival horror. Cette créature monstrueuse qui hante la jungle se dévoile peu à peu, à la manière du requin des Dents de la mer. Les effets spéciaux sont vraiment réussis, on y croit totalement. La musique, très prenante, occupe une place très importante. On sent bien la touche des années 80, et même si Schwarzenegger met en avant son physique de titan, il reste humain et vulnérable dans cette jungle hostile. Pour l'atmosphère, il y a un petit quelque chose d'Apocalypse Now, même si Predator est moins dans le lyrisme et plus dans l'action. On réalise aussi que Jurassic Park, sorti 6 ans plus tard, a repris les codes de Predator et s'en est beaucoup inspiré, jusque dans la musique. On peut même aussi se demander si les orcs du Seigneur des Anneaux n'ont pas été façonnés sur la créature de Predator... Ce qui est bluffant avec Predator, c'est que même 35 ans plus tard, les effets spéciaux restent saisissants.
« spoiler: Il y a quelque chose dans les arbres ! »
Un classique du film de science-fiction et d’action des années 1980, réalisé par John McTiernan – un an avant "Die Hard" – avec Arnold Schwarzenegger dans l'un de ses rôles épiques, où il incarne « Dutch », le chef d'une équipe de sauvetage en mission pour libérer des otages dans une jungle d'Amérique centrale.
Il y a spoiler: quelque chose dans les arbres, qui va traquer ces soldats, et les éliminer un par un jusqu'à la bataille finale entre « le chêne autrichien » et le chasseur extraterrestre herculéen passionné par les crânes humains: le « Predator » .
Une icône de plus qui est née dans la fabuleuse décennie cinématographique des années 1980.
Predator est un film réalisé par John McTiernan et sorti en 1987. Ce film est typique du cinéma des années 1980. Porté par une ambiance incroyable (la jungle étant un personnage à part entière), une musique très inspirée d'Alan Silvestri et l'ambition de prolonger le mouvement science-fiction (le climax est très efficace) avec un casting reconnu (Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers etc.) ce film souffre quand même de grosses lacunes : des incohérences scénaristiques flagrantes (notamment dans le comportement de certains personnages), des tics propres aux films des années 1980 (le côté pro-américain face aux méchants russes en période de Guerre Froide), un mélange entre fantastique, SF, comédie pas toujours bien dosé (spoiler: les scènes de fusillade dans la forêt sont ridicules ). A l'arrivée, ce film culte est assez inégal, avec des moments fort plaisants et d'autres assez risibles. A voir tout de même par curiosité, pour la culture cinématographique.
Dans « Predator », John McTiernan, le spécialiste des films d'action, nous offre un classique du cinéma avec une histoire captivante. Arnold Schwarzenegger, dans le rôle de Dutch Schaefer, dirige un commando de mercenaires en mission de sauvetage dans une forêt équatorienne. Rapidement, ils se retrouvent traqués par une créature extraterrestre invisible et indestructible, donnant lieu à un affrontement mémorable. Le scénario, simple mais efficace, se distingue par son originalité et sa tension, avec des militaires bodybuilders devenant les proies d'un chasseur alien. L'ambiance oppressante de la jungle, combinée à de très bons effets spéciaux et une touche d'humour bienvenue, fait de « Predator » un film incontournable. Schwarzenegger est en très grande forme, incarnant un personnage charismatique et résilient. La musique, parfaite pour l'atmosphère du film, contribue à son statut de grand moment de cinéma. Malgré quelques longueurs, « Predator » reste un film d'action palpitant, un modèle du genre, marquant les esprits par son suspense, son action explosive et son iconique créature extraterrestre.
Retrouvez mon amour du Far West dans les romans WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Pour l’époque ce film n’a vraiment pas vieilli et on le regarde auj comme si il venait de sortir . La tension est palpable et l’histoire même si on ne la sait pas encore n’est pas vraiment importante , ça passe
Sans doute le meilleur de la franchise. Un film qui n'a pas vieilli avec de super effets spéciaux pour l'époque. Un groupe de soldats en mission qui se retrouve dans la jungle confronter à une créature invisible et se font tuer l'un après l'autre avec un Schwarzenegger au top de sa forme et qui a été parfait dans ce rôle. On a de l'horreur de l'action de la comédie le top pour passer deux bonnes heures
Sous la direction du génial John McTiernan («Nomads», «Piège de cristal»), Arnold Schwarzenegger, l'icône du cinéma musclé des années 80, se retrouve la proie d'une créature extraterrestre au coeur de la jungle guatémaltèque. Démarrant comme un «Actionner», le film se mue en «Survival» brutal et sans concession, prenant le spectateur à contre-pied en cassant les codes du genre. En effet, «PREDATOR», est un long-métrage hybride où Action et Science-fiction se mêlent pour servir le récit d'une mission de sauvetage qui tourne au fiasco. Le major Alan «Dutch» Schaefer (Schwarzy) est chargé par les services secrets sous l'égide de Georges Dillon (Carl Weathers) de récupérer les éventuels survivants d'un crash d'hélico en zone de guerre. Parés aux techniques de combat en milieu hostile, Dutch et ses hommes (casting testostéroné à donf : Bill Duke, Shane Black, Carl Weathers, Jesse Ventura) élimineront rapidement et efficacement les guérilleros, mais devront faire face à un démon indicible, invisible, un prédateur du cosmos venu chasser une espèce indigène : l'homme. Après avoir combattu l'«Alien» de Ridley Scott dans l'espace, les humains devront livrer bataille sur terre face à une créature humanoïde redoutable. «Predator», film culte d'une génération que l'on ne présente plus aujourd'hui, aura certainement donné au 7e art l'un des duels les plus viscéraux que le cinéma est connu lors d'un final dantesque où apparaitront les instincts les plus primitifs.
McTiernan, le patron du film d'action, vous propose un accueil de gros bras, grandes gueules, au casting fabuleux, weathers apprend la comédie a schwarzi, et puis tu glisses dans actionner de calibre 3000, tu te fais surprendre par un survival bien viril, pis tu fais l'expérience d'un final ultime, l'Homme et la Bête. qu'à pas une gueule de porte bonheur ;))
Predator se présente comme très banal pour l'époque, voir comme un film de série B, avec un Schwarzy et son groupe de commandos prêts à flinguer tout le monde dans la jungle. D'autant plus que Schwarzenegger durant cette période, était adepte de la sulfateuse. Mais là, d'un seul coup, ce scénario n'est que subtilité et intelligence, avec ce soldat éclaireur extra-terrestre qui apparaît au fur et mesure du film, tellement que Predator est devenu incontournable et maintes fois copiés depuis...La vision thermique est également ingénieuse et l'extraterrestre possède une stature digne des super héros. Non, vraiment, une grosse bonne surprise dans les années 80 et je me rappelle encore que ce film m'avait marqué pour sa première diffusion télévisuelle...
5 étoile parce que c'est un classique y'a Arnold Qui montre c'est gros biceps tire partout avec des grosse explosion lâche des réplique culte en gros de la bonne grosse Testostérone comme on n'en fait plus, je recommande
Tellement cultissime..ce film est tellement bon...Arnold qui botte les fesses d'un allien à la pointe de la technologie...un des films que je pourrais regarder à volonté.