Derniers Avis sur Une créature de rêve

Une comédie très eighties, très Hughes aussi, avec ses ados, ses histoires d’ados, son humour et ses bons sentiments. On passe un bon petit moment dans le passé avec cette jolie comédie pleine de charme.

Un teen-movie qui respire bon les années 80, c'est assez cliché, les effets-spéciaux ont beaucoup vieilli et l'acting pas toujours à la hauteur mais pourtant on passe un moment agréable devant les problèmes existentiels de ces ados un peu paumés même si John Hugues nous aura délivré de bien meilleur réalisation.
Comme souvent pour ces films la B.O est excellente.

La nostalgie complète...vu ado et bien sûr avec le regard d aujourd'hui c est très léger mais à la fois toute une époque. C est moins drôle que dans mon souvenir mais ça reste plaisant.

Film de 1H26, vu sur ocs en décembre 2021. spoiler: L'histoire commence par montrer dans un lycée usa, les 2 adolescents du film, bêtes, stupides et timides avec les filles, plus tard, on montre comment ces 2 ado ont construit la fille idéale.
Je n'aime pas la fille idéale. Dans le film, je la trouve arrogante, dérangeante et irrespectueuse. C'est avant tout un film pour adolescents qui montre avant tout la culture usa que l'on ne regarde qu'une seule fois. Je donne une note d'une demie étoile.

Cultissime! Un des meilleurs films de John Hugues, emblématique d'un genre typique des eighties. Le scénario est déjanté, le casting est parfait, il y a juste assez de poncifs pour qu'on perde pas le fil. Perfection.

Une créature de rêve est un film d'adolescents drôle décalé et stupide réalisé par le seul et unique John Hughes. C'est ringard et l'histoire est ridicule mais c'est un film des années 80 hilarant et plein de cœur. Il semble daté mais en même temps c'est le genre de film que l'on reverra. Les effets spéciaux sont ridiculement horribles et qui pourrait oublier les costumes et les coiffures des années 80 mais c'est ce qui le rend si agréable. Une créature de rêve a tous les ingrédients d'une comédie adolescente réussie des années 80. Il y a Kelly LeBrock et Ilan Mitchell-Smith et Anthony Michael Hall qui jouent les adolescents idiots qui cherchent désespérément une fille. Vous verrez également un jeune Robert Downey Jr. dans un accoutrement des années 80 jouant le rôle de la brute populaire et bien sûr Bill Paxton dans le rôle de l'un des pires frères du cinéma. C'est certainement un film pour les fans des classiques des années 80. En plus de l'humour il contient une dose amusante de science-fiction et d'action...

Weird Science impressionne par la valeur prophétique qu’il tend à acquérir aujourd'hui, à l’ère du tout-numérique où la virtualité se confond de plus en plus avec le réel, où les créatures de charme construites sur ordinateur ou dans un décor dépouillé de ses aspérités – villa, draps blancs, piscine – s’invitent dans les fantasmes individuels au point de contaminer et d’homogénéiser l’imaginaire singulier. Car en incarnant un assemblage informatique sous forme d’une femme véritable, John Hughes propose un acte de foi optimiste en l’humanité, l’idée selon laquelle la révolution informatique dont le cinéaste est le contemporain se transformera en garante de l’éducation sexuelle, voire en grande-sœur capable de transmettre son expérience et ainsi dévier la trajectoire initiale de l’adolescent, de rectifier le tir. Le long métrage est un récit d’apprentissage, comme toutes les œuvres de John Hughes en somme : comment renoncer non pas à ses fantasmes mais à l’aveuglement qu’ils peuvent créer afin d’investir le vivant, de vivre pleinement sa vie ? Et c’est ainsi, il me semble, qu’il faut comprendre la résolution quelque peu puritaine des conflits mis en scène dans ses films : comme quelque chose à garder, une petite morale, un retour au calme après le déchaînement des pulsions et des désirs. Si Weird Science pèche par une surcharge en pop culture, multipliant les références qui n’ont pour seul effet que de participer au chaos et à l’accélération du rythme, si le surjeu des deux comédiens principaux donne lieu à quelques scènes dissonantes, le long métrage offre une fable intelligente sur notre relation au numérique et atteste le talent de Hughes dans la mise en scène, le découpage des scènes, leur agencement dans un crescendo burlesque savoureux.

Très bon teen movie! John Hugues sort un peu de sa zone de confort on est toujours dans le thème de l'adolescence mais avec un mélange de comédie et de science fiction!
Pas étonnant que ce film ait donné lieu à une série plus tard qui en plus fonctionnera plutôt bien : "Code Lisa"

"Une Créature de Rève" est une comédie culte des années 80 pour toute une génération d'ados. John Hugues, réalisateur de nombreuses comédies teenager cultes ("Ferris Bueller") et scénariste de comédies familiales à succès ("Home Alone" ou "Beethoven"), signe un film entre comédie et science-fiction. Certes les effets spéciaux ont vieillis et certaines scènes sont scénaristiquement limitées, mais comment ne pas craquer devant Kelly LeBrock !!
A l'époque de la VHS, où l'image était rare, de nombreux ados ont rêvé créer une fille répondant à tous leurs désirs, dans la peau de Gary ou Wyatt. Bill Paxton est méconnaissable en militaire décérébré (Chet, le frère débile) et surtout super hilarant.
Pas un super film mais assurément un film culte pour moi.

J’ai une certaine affection pour le cinéma maladroit et touchant de John Hughes, pionnier du teen movie mélancolique puis du gros divertissement familial à succès. Ici on est entre les deux, mais on est surtout face à une comédie fantastique kitschissime et probablement bâclée entre Breakfast Club (sorti la même année) et Ferris Bueller (l'année suivante). Les effets spéciaux calamiteux ne sont pas vraiment un problème (parfois même plutôt un plaisir) mais les gags lourds, les acteurs trop mous ou trop excités, le montage pas toujours efficace et la morale répétée cinq fois ont eu raison de ma bonne volonté. Quand même quelques jolis moments de tendresse pour les personnages (la plus grande qualité de Hughes) et un côté touchant et vaguement subversif dans cette façon d’embrasser les fantasmes d’ado les plus primaires.

l'un des films culte pour l'adolescent que j'étais dans les années 80, par nostalgie,une comédie teenager sur fond de fantastique,le film est ce qu'il est,mais la prestation de Bill Paxton, le caméo de Vernon wells ,et la plastique de Kelly Lebrock en font l'un des incontournable de la culture 80'S acoté des Porky's et autre Police Academy, vive les 80's........

Une créature de rêve n’est pas le meilleur John Hughes, mais c’est surement son film le plus diffusé et connu du grand public. Un divertissement moins ambitieux que ses meilleurs films c’est certain, mais qui reste comme souvent chez le réalisateur, sympathique.
Le casting permet de voir un des régulier du réalisateur en tête d’affiche, Anthony Michael Hall, dans un rôle qui lui convient fort bien, et il prend quand même un ascendant assez net sur un Ilan Mitchell-Smith pas mauvais, mais plus discret, moins affirmé, bref, en-dessous en terme de prestation, même si leur duo fonctionne plutôt bien. Entre eux, Kelly LeBrock, qui se débrouille bien. Elle prend son rôle à cœur, et elle s’amuse visiblement beaucoup avec son personnage, offrant quelques moments très cocasses. Les curieux pourront aussi s’amuser de voir quelques têtes connus aujourd’hui dans des seconds rôles, mais sans grande importance, et il y a cette bonne vieille tête de Michael Berryman.
Le scénario reste un peu convenu quand même. Le métrage est clairement plus réussi dans le registre comique, bien qu’on ne soit pas non plus sur de l’hilarant, que sur la dimension émotion ou sentiment, qui, pour une fois, chez Hughes est traité trop lourdement. Après le rythme est sympa, il y a des scènes vraiment cocasses, c’est gentiment sexy, ça reste un film amusant mais clairement moins ambitieux que d’autres films du metteur en scène. Ça ressemble un peu à une gentille comédie pour ado entre deux films plus ambitieux que signa Hughes.
Visuellement on retiendra la bonne mise en scène, dynamiques, jouant beaucoup sur les gros plans, intelligente tout simplement. Le film semble aussi avoir eu un budget assez conséquent, ce qui nous gratifie de quelques scènes à spectacle. Pour le reste le métrage n’a rien de particulièrement notable, les décors et la photographie manquant peut-être un peu de personnalité pour un film de Hughes. J’ai un peu le sentiment par certains côtés que ce film ressemble à un produit de commande un peu impersonnel, le réalisateur s’éloignant de sa finesse formelle habituelle. Reste néanmoins une bande son de qualité.
Bon, il ne faut pas se leurrer Une créature de rêve est le film le plus diffusé de John Hughes, et c’est peut-être aussi car ce n’est pas son film le plus personnel et le plus audacieux. C’est un divertissement pur et dur, qui cherche plus à amuser qu’à livrer une vraie analyse fine et subtile de l’adolescence comme 16 bougies pour Sam ou Breakfast Club par exemple. Dans son genre c’est plutôt agréable, l’efficacité du réalisateur et scénariste pour proposer des comédies rythmées et distrayantes n’étant plus à prouver, mais ça reste mineur. 3.

Ce troisième film, réalisé par John Hughes et sorti en 1985, est très moyen. Je ne l'avais pas revu depuis pas mal de temps et franchement, je je trouve que c'est le moins réussi du réalisateur, enfin du moins de sa période teen movie. Bref, c'est donc ici l'histoire de deux ados qui, après avoir vu "La Fiancée de Frankenstein", décident de faire la même chose mais avec une poupée. Bon voilà, le film est clairement à prendre au second degré car rien n'est réaliste. À la limite, pourquoi pas, ce n'est pas vraiment dérangeant puisque nous gardons les codes du teen movie que le réalisateur adapte toujours avec brio. Nous nous attachons en effet assez vite à ces deux adolescents et même ensuite à Lisa qui nous paraît très sympathique. Même si nous pouvons évidemment y voir aujourd'hui de gros problèmes sexistes avec ce film (la vision de la femme n'est pas vraiment au top), il faut replacer le film dans son contexte et y faire abstraction, tout simplement. Mais malgré tout, malgré l'ambiance sympathique que nous offre le film, nous avons des scènes un peu longues, notamment toute celle dans le bar, dans lequel les deux ados expérimentent le bourbon, qui n'est pas vraiment intéressante et casse le rythme de l'histoire. En dehors de quelques autres scènes plutôt lourdes, on ne s'ennuie pas vraiment et on se laisse porter par le film, tout simplement. Et puis bon, le film est toujours sympa pour ceux qui y cherche surtout une ambiance très années 80, avec d'ailleurs la très bonne B.O. de Oingo Boingo. Du côté du casting, nous retrouvons l'acteur fétiche du réalisateur, Anthony Michael Hall, qui joue très bien, de même que Ilan Mitchell-Smith, Kelly LeBrock, Bill Paxton et même Robert Downey Jr. "Une créature de rêve" n'est donc pas un film bien malin mais il nous fait néanmoins passer un bon moment.

Quand deux adolescents en mal de filles décident de jouer les docteurs Frankestein, ils ne savent pas encore que cette expérience changera leur vie. La créature interprétée par la ravissante Kelly LeBrock fait, sans mauvais jeu de mots, une entrée fracassante dans la vie des deux jeunes. S'en suit alors une série de péripéties et de gags mettant nos deux héros dans des drôles de situations. Sans pour autant être un chef d'ouvre et loin d'être un navet "Weird Science" (en V.O) à le mérite de faire rire et au pire sourire et on prend plaisir à suivre l'histoire. Et la BO 100% rock est excellente, et j'adore la musique principale du film.

Après avoir vu ce film, j'en ai immédiatement regardé un autre pour oublier ce que je venais de voir. Le seul attrait reste la plastique agréable de la créature de rêve. Ça veut tout dire.