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    Philosophy of a knife
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    31 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 juin 2013
    On m'avait parlé de ce film, pas par rapport à son aspect instructif (l'histoire de l'unité 731), mais pour son côté ultra-gore.

    Mais WTF ??? C'est glauque, archy glauque. Alors les explications et le témoignages sont les bien venus pour comprendre, mais cela reste trop superficiel, l’intérêt du film résidant presque exclusivement dans les scènes de tortures reconstituées avec moult effets bien gores.

    Je suis habitué à voir ce genre de film, donc je n'ai pas tourné de l’œil, mais voir que des tortures, c'est ultra chiant, y'a aucun intérêt pour le film à part un voyeurisme exacerbé. On s’ennuie durant les 4 heures que dure le film (comment j'ai fait pour tenir éveillé ? je l'ignore totalement).
    Le film est avant tout réalisé par des pseudos-"artistes", l'esthétique suit donc. Je n'ai pas du tout apprécié.
    Si vous voulez perdre 4 heures, foncez, sinon passez votre chemin et tournez vous vers un documentaire.
    Bobby Sander
    Bobby Sander

    36 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2009
    (….) Au risque de scandaliser ceux qui l'auront vu, Philosophy of a Knife est une expérience esthétique avant tout, un exercice de style dément à la vision inconfortable dont on sort médusé, abattu, ravagé, exsangue. Mais l'émotion qu'elle procure est celle d'un cartoon extrême et malsain, surréaliste et relativement inopérant. (….)
    stebbins
    stebbins

    453 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2010
    Difficile de croire Andrey Iskanov quand ce dernier affirme ne pas avoir eu l'intention de réaliser un film d'horreur en concoctant Philosophy of a Knife. A partir d'évènements historiques que le commun des mortels préférerait occulter pour mieux dormir la conscience tranquille - à savoir les exactions inhumaines perpétrées sur le peuple chinois par quelques scientifiques japonais lors de la Seconde Guerre Mondiale - le cinéaste russe nous balance une quantité redoutable d'images monstrueuses, conciliant expérimentations sonores et auditives et structure compacte, épuisante et finalement lessivante. Philosophy of a Knife est un objet limite, dangereux, qui repousse le cinéma jusqu'aux extrémités les plus inimaginables. Il est à ce point dangereux qu'il s'éprouve moins moralement que physiquement : Iskanov - à grands renforts de boursouflures stylistiques - installe d'emblée une esthétique pour le moins bizarre, punk et décérébrée, négligeant le Sujet d'origine, Sujet qui aurait peut-être mérité une approche plus respectueuse à l'égard des victimes du camp 731. Philosophy of a Knife n'a rien du Devoir de Mémoire qu'ont représenté par le passé des films tels que Salo ou Nuit et Brouillard. Expérience abrutissante et particulièrement immersive, le film n'est pas à revoir, ni même à voir absolument : l'état d'esprit avec lequel on l'appréhende implique une certaine prudence, d'autant plus que ce trop-plein de style - en plus d'anéantir les neurones de son audience - sous-entend constamment les intentions douteuses d'Andrey Iskanov, entre montrer ce qui s'est réellement produit ( les images d'archives ) et la reconstitution acharnée des évènements ( les séquences épouvantables de sévices infligés aux cobayes humains ). La majeure partie du bloc que constitue le film d'Iskanov est la mise en images du passage à l'acte de fantasmes proprement sadiques, pénibles voire insoutenables dans leur durée. Impossible dans mon cas d'associer les séquences de tortures aux faits historiques prétextés en amont du visionnage : c'est un film d'horreur maquillé en documentaire, visuellement impressionnant, pour lequel les superlatifs ne manquent pas. Douteux et dangereux, donc. Mais ça remue le couteau dans les tripes du début à la fin, laissant le spectateur les muscles lourds et la tête vide. De quoi vous faire sentir exister. J'ai de sérieux sentiments de perplexité quant à la maturité idéologique du film d'Iskanov. Mais Philosophy of a Knife est une expérience inoubliable, un de ces rares moments de cinéma qui rendent totalement malade. Ca donne envie de se racheter un cerveau, après coup. Une abomination filmique mais incroyablement marquante.
    jamesluctor
    jamesluctor

    111 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2010
    J'ai entendu parler de ce film comme quoi c'est l'un des plus dérangeant de l'histoire du cinéma selon certaines critiques. Et une fois l'objet en question regardé, on est obligé de prendre position. Je décide donc de m'aliéner les partisans du contre pour plusieurs raisons. La première tient dans la forme du film. Les 20 premières minutes sont dignes d'un documentaire d'arte, richement illustré par des films d'époques et des photographies. Cette constance "vieux films" (à l'exception des séquences d'interviews) confère une authenticité indéniable au contexte du film, et brouille ainsi nos repères lors du commencement des reconstitutions. Et là, le film fait très fort ! (pour donner une idée de ce que j'ai ressenti, il faudrait mélanger la liste de Schindler, le générique d'intro de La colline a des yeux, le tout dans un style à la Tetsuo) Par delà l'extrême violence des images qui apparaissent, le film parvient à nous faire accepter et à rendre réaliste du gore de style japonais (qui gicle partout et à grand renforts de prothèses en cahoutchou). Du jamais vu jusqu'ici ! Les reconstitutions des expérimentations sur les limites humaines étant ce qu'elles sont (d'une atrocité sans borne), je glisserai peut être trop rapidement dessus pour m'intéresser à ce qu'il y a entre les reconstitutions. Car le réalisateur a choisi de faire une fiction dans ce documentaire, et il devient alors intéressant de voir comment on nous manipule en passant de la réalité à la fiction. Le camp est un lieu glacial (les nombreux plans d'extérieurs enneigés), aux murs froids et décrépis (à l'image du corps des victimes d'expérimentations). L'esthétique est froide, guère réchauffée par le noir et blanc souvent en surexposition. Mais au sein de ce désert, on s'intéresse à la fois aux victimes (les prisonniers dans la cellule) et aux bourreaux (l'infirmière qui encadre les expériences). Et ce sont vraisemblablement ces scènes qui apportent le plus de sentiments à l'oeuvre. Ce sont ces instants qui marquent, car ils contiennent ce qui reste de l'humanité qu'on ôte tous les jours à des prisonniers. Vraiment, une oeuvre aussi radicale, mais qui n'oublie pas de rester humaine, ne peut que secouer le spectateur et le faire s'interroger sur moulte sujets pendant le reste de l'après midi.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 045 abonnés 7 202 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2022
    Mêlant images d’archives, interviews et reconstitutions, ce film retrace l’ahurissante histoire vraie de l’Unité 731, un camp militaire secret japonais (dirigé par le général Ishii Shiro) spécialement créer dans le but de développer des armes chimiques et bactériologiques pendant la Seconde Guerre Mondiale. L’unité s’était fait une spécialité de tester toutes sortes d’expériences aussi bien sur des enfants, des femmes (enceintes) et des prisonniers de guerre. Reconnue coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, ce film retrace son histoire.

    Ce n’est pas la première fois qu’un film s’intéresse au 731部隊. Par le passé, nous avions déjà eu droit à Men Behind the Sun : Camp 731 (1988), ainsi que 3 autres opus entre 1992 & 1994. Ce qui n’était que de la fiction (largement inspirée de faits réels), cette fois-ci, Andrey Iskanov pousse le curseur encore plus loin puisqu’il y inclut de rares images d’archives et des interviews (uniquement celles d’Anatoly Protasov, un traducteur militaire ayant participé au procès).

    Catalogué comme étant l’un des films les plus dérangeant & malsain qui puisse exister (difficile de l’affirmer, bien d’autres, plus confidentiels, s’avèrent être tout aussi crades & gerbatoires), le film a bien évidemment été, soit censuré, soit interdit aux moins de 18ans lors de son exploitation sur support dans les rares pays où il est sorti. Ames sensibles, ce film vous est clairement déconseillé tant celui-ci s’avère être un déversoir d’images toutes plus sales, ignobles et vomitives. Si vous n’avez jamais vu le film Camp 731 (1988) de Tun Fei-Mou, celui d’Andrey Iskanov risque de vous donner des sueurs froides, pour les autres, attendez vous à voir une version longue, trop longue et dont la mise en scène se veut bêtement arty & masturbatoire (des jeux de lumières & de montages), pour un sujet aussi délicat, ce n’était peut-être la meilleure idée.

    Armez-vous aussi de patience, car ce dernier est étiré sur plus de 4h, avec des plans en boucle ou silencieux (rares sont les lignes de dialogues, si bien que vous risquez fort de vous endormir devant pour peu que vous soyez habitués à voir des films d’horreur dit "underground"). Intégralement filmé en noir & blanc, alternant avec les images d’archives et interviews en couleurs. La mise en scène alterne avec quelques images d’archives et de très nombreuses reconstitutions (avec un côté "35mm" comme pour mieux perdre le spectateur entre les images réelles et fictives). Le film s’avère bien trop long pour ce qu’il a à raconter mais cela n’a pas empêché le réalisateur de l’étirer à outrance (le film est scindé en 2 parties de 128min chacune (dont 12min rien que pour le pré-générique et les génériques de fin de chaque partie).

    Pendant près de 4h25, on assiste donc à un patchwork d’images dégueulasses, d’expériences et autres exactions commises par les japonais sur leurs cobayes spoiler: (scènes de tortures où une jeune femme se fait arracher toutes les dents sans anesthésie (la scène dure 4min !), une expérience de radiations, des recherches sur les maladies sexuelles en inoculant la Syphilis et la Gonorrhée (des hommes furent infectés par ces maladies et obligés de s’accouplés de force avec des femmes saines), vivisections et divers tests de gaz (moutarde, dichlore, cyanure d’hydrogène, phosgène, …), tests de bombes au phosphore pour en connaître les conséquences sur l’organisme (séquence assez impressionnante, avec la tête du cobaye qui se désintègre de l’intérieur), bactéries de lèpre et de tuberculose cultivées pour infecter des cobayes (transmises via des blattes, elles-mêmes insérer de force à même le vagin), expériences de températures extrêmes et celles dans la chambre de pressurisation afin d’étudier les effets de la décompression sur l’organisme).
    En dehors de ces innombrables actes de tortures, le film n’hésitera pas non plus à nous déverses son flots d’images macabres spoiler: (des peaux nécrosées et bouffées par les vers, un accouchement hardcore, une jeune femme qui se fait scalper le visage entier, des charniers de cadavres et autres séquences qui font froid dans le dos, comme lorsqu’ils utilisent une scie à métaux pour couper divers membres (cranes, pieds, bras, mollets, chevilles, …), sans oublier cette scène purement gratuite et au combien inutile : celle où ils cisaillent un gland !).


    Une œuvre jusqu'au-boutiste qui se complait à mettre en boite des séquences abjectes à travers une vision stylistique. Peut-être aurait-il été plus sage de favoriser l’aspect documentaire plutôt que de nous livrer une mise en scène aussi rentre-dedans et vomitive.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    selenie
    selenie

    5 324 abonnés 5 994 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2009
    L'un des films les plus bizarres que j'ai jamais vu... Mélangeant archives et fictions le cinéaste a voulu faire un film d'horreur teinté d'historique comme une justification des images qu'il va nous montrer. Sur le fond il y avait de l'idée mais le montage tient plus du capharnaüm que d'un scénario bien écrit, la compréhension est donc plus que mitigée. La mise en scène n'invente rien et appuie trop sur des effets de styles mal employés et même inutiles. Les scènes les plus dures arrivent sans qu'il y a ait d'évolution dans l'histoire puisqu'il n'y en a pas... Bref un foutoir sans nom que les auteurs ont bien du mal à assumer... Un ovni qui n'a rien à voir avec le 7ème art.
    timM32
    timM32

    9 abonnés 331 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 août 2011
    Quel est l'intérêt ? Je vous le demande ! Snuff 102 était aussi un film très sadique et violent, mais au moins, il y avait un semblant "d'histoire" et ça dénonçait clairement les snuff movies pour sensibiliser le spectateur qui ne connait pas forcément ce genre de film, mais là, TOUT le monde sait ce qu'il s'est passé à cette époque là, et TOUT le monde sait que ce n'est pas rose. A part humilier les familles des victimes, je ne voit aucun intérêt de ce film qui en plus d'être inutile, est mal fait. On ne comprends rien, j'ai même des doutes s'il s'agit de vraies images. Et puis 4 heures... Pour traiter ce genre de sujet, il aurait fallu faire maximum 10 minutes d'images d'archives et le reste en témoignage ou autre. Car là, on n'apprends pas grand chose hormis que c'était monstrueux. Bref, un film à éviter, sauf si on à envie d'avoir la gerbe.
    Yetcha
    Yetcha

    731 abonnés 4 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2013
    Ouh là là! J'ai vu de snuff, gore, trash, porn movie mais là, c'est le summum. je n'ai pas réussi à tenir jusqu'au bout, notamment parce que ça dure 4h30, même en plusieurs fois je n'en pouvait plus au bout de 2 bonnes heures. Même si ici nous avons des effets spéciaux, sachant que cela s'est fait en vrai, on n'imagine pas une seconde comment une telle boucherie gratuite, de sadisme et de torture cela a pu être. C'est horrible et bien entendu le Japon n'est pas le premier ni le dernier à faire ce genre de pratiques mais cette époque, première moitié du XXème à sûrement été particulièrement sadique sous couvert d'exploration médicale et de découverte du corps humain. Insoutenable, attention aux âmes sensibles. Cependant, cela permet de ne pas oublier et de faire parler les témoins de ces atrocités.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 novembre 2010
    Proprement insoutenable, ce film est difficilement regardable dans son integralité, notamment à cause de sa monolithique durée (près de quatre heures). Certes témoignage des atrocités humaines, mais sacrément ignoble quand même.
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    61 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2014
    C'est très difficile de noter un film comme Philosophy of a Knife. On a d'une part un documentaire sur la guerre et d'autre part une pure boucherie. Alors la partie documentaire est extrêmement ennuyeuse nottament l'interview du russe qui est en VO non sous-titrée c'est-à-dire incompréhensible. Le seul intérêt de ce film est evidemment les scénes de tortures absolument ignobles qui ont faites toute la réputation du film. Il est vrai que les tortures sont d'une violence jusqu'à présent inégalée (je parle en connaissance de cause), le décor est ultra glauque et le filtre noir et blanc renforce l'aspect ultra malsain du film. La ou tout s'effondre c'est le moment ou l'on remarque la qualité des effets spéciaux qui est: misérable. On sent le gros manque de budget. Je rappelle que le film est sorti en 2008 et que les effets spéciaux sont dignes de ceux des années 70. Mais ce n'est pas le seul gros problème! Il y a encore le jeu des acteurs qui est en dessous de tout. Ils sont tellement transparent et peut motivé qu'ils ne créent aucune empathie avec le spectateur. Parlons maintenant de l'exécution de prisonniers: même lorsqu'ils sont sur le point d'être déchiquetés voir même pendant la torture, les acteurs restent d'une inexpressivitée légendaire. Les cris qu'ils sont censés pousser ont été rajouté en post-prod. Par moment les mises a morts m'ont fait pleurer de rire tant les situations sont grotesques. Néanmoins le film avait un sérieu potentiel, le pitch était très intéressant. Le budget et les acteurs ont tué le film. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 février 2014
    Ce documentaire est purement inutile. Si vous voulez apprendre quelques choses sur l'unité 731, allez sur google, c'est plus intéressant.
    Si vous aimez les films gore, il y en a assez chez Troma pour que ça soit au moins intéressant.
    Si vous êtes un pervers sexuellement, aimant la torture mal faite avec des acteurs aussi doués que des effets spéciaux pourris, mater le.

    C'est un "documentaire", et je ne vois la dedans que de la honte pour les pauvres familles qui ont souffert, de la branlette cinématographique, faire un snuff movie ok, mais jamais dire "coucou nous on a fait un documentaire trop gore et c'est pour représenter la réalité." ouais non ça marche pas comme ça.

    Très peu de parole, images dégueux (je parle pas forcement de dérangeant ou horrible, mais vraiment des images pourri qui aurait pu être mieux réalisé), bref, non, ce n'est pas un documentaire, c'est un snuff movie camouflé en documentaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 octobre 2011
    4h30, j'avoue avoir avancé les séquences à vitesse rapide.Film très glauque et surtout histoire réelle. Un film qui dérange à ce qu'il parait.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 février 2014
    De quoi vous empêcher de dormir pendant des semaines... Ce film retourne les tripes modèle géant. Cette ambiance glaciale, cette BO qui accompagne à merveille les nombreuses scènes de torture totalement insupportables, ces images glauquissimes... Tout ça vous hypnotise pendant quatre heures trente, pendant lesquelles, incapable de bouger, vous subirez l'innommable torture de découvrir à quel point l'homme peut être monstrueux... En tout cas, tel semble être le but du réalisateur, et si tel est bien le cas, c'est réussi (en ce qui me concerne, du moins). "Poignant" serait un doux euphémisme, ce film dépasse l'entendement. A mon sens, un chef-d'oeuvre. Mais si moi j'ai été choquée au point d'en pleurer, beaucoup devraient s'abstenir, je pense. Moins un demi point, par principe, pour ne pas l'avoir en français :b
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 janvier 2013
    A voir une fois dans sa vie.
    Dur, choquant, réel...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 juillet 2012
    Que dire à part Horrible?? Les scènes sont toutes aussi glauque les unes que les autres et ça durant 4h30, et ajouter à cela le fait qu'il n'y est A U C U N dialogue... Ce film est vraiment hard et dérangeant ça c'est vrai, et je crois que heureusement qu'il est en noir et blanc, ça atténue un peu l'horreur. Mais que noter dans ce film? Mettre un 0 car il faut être timbrer pour faire un film pareil ou mettre un 5 car il représente bien les expériences inhumaines que subirent les prisonniers? Sinon, une chose aussi que j'ai remarqué, c'est que les acteurs sont vraiment médiocres, les prisonniers ne donnent parfois vraiment pas l'air de souffrir, du moins pas autant qu'on pourrait le penser. Bref je ne le conseil absolument pas, il est vraiment choquant et croyez moi vous n'allez pas l'oublier si facilement... Le problème c'est que ce film est tiré d'une histoire vrai et il tente de représenter ce qu'il s'est passé et c'est vraiment ça qui est le plus troublant. Je met 2.5 car je ne sais vraiment pas quoi en penser
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