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    The Dead Zone
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    277 critiques spectateurs

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    Stargate
    Stargate

    275 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2024
    Je ne pensais pas que c'était "le" film où un type qui avait un accident pouvait voir des choses (avenir, passé et présent) simplement en touchant les gens. Je l''ai déjà vu parodiée dans les Simpson avec Ned Flanders qui avait ce rôle (après recherche, c'est dans le Simpson Horror Show XV).
    Malgré un rythme parfois lent, c'est original et correctement joué, et il fut intéressant de découvrir Christopher Walken à la quarantaine, ne l'ayant vu jouer qu'avec sa touffe de cheveux grisonnante si caractéristique.
    Charlotte28
    Charlotte28

    100 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2024
    Entre fantastique et policier s'entremêlant en trois sous-intrigues resserrées culminant dans l'affrontement avec le cupide politique légèrement mégalomaniaque, ce récit suit avant tout l'histoire d'amour dramatique entre deux êtres séparés par un accident aux conséquences ambiguës. Grâce à un charismatique Christopher Walken ainsi qu'à des subtilités symboliques de mise en scène l'atmosphère tragique nous tient intrigués jusqu'au dénouement. Intéressant concept.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    24 abonnés 1 029 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    David Cronenberg livre une très bonne adaptation libre du roman horrifique de Stephen King avec Christopher Walken.
    Raph
    Raph

    1 abonné 131 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2023
    "La part des ténèbres !"

    Le sénateur Greg Stillson (Martin Sheen) brigue la présidence des Etats-Unis. Lors d'un bain de foule, il serre la main d'un homme apeuré. Cet homme, c'est Johnny Smith (Christopher Walken), les deux hommes se dévisagent. Johnny vient de voir l'avenir en Stillson, l'angoisse l'envahit ! «Si vous rencontriez Adolf Hitler dans les années 20 en sachant ce qu'il va devenir, le tueriez-vous ?». Cette question est posée par Johnny à son médecin, le professeur Weisak (Herbert lom). En effet, après un terrible accident de la route le plongeant dans le coma pendant 5 ans, Johnny en est ressorti changé.
    La vie lui a enlevé son emploi et la femme qu'il aimait. Durant sa convalescence, Johnny va acquérir un «don», celui de voir le passé et le futur d'une personne au contact de sa main. Stephen King s'amuse à affubler ses héros de dons en tous genres. Après «Carrie» et sa fureur télékinétique, Danny et son «Shining» ou «Charlie» et son don de pyrokinésie, c'est ici, le don de voyance qui hantera Johnny. En adaptant «Dead Zone", David Cronenberg ("Scanner", "Vidéodrome"), s'approprie l'univers de Stephen King, dans cette excellente adaptation, en partie grâce au jeu torturé de Christopher Walken, personnage discret presque insignifiant (Johnny Smith, patronyme très répandus aux US), un anonyme qui deviendra malgré lui un phénomène de foire (troublante scène avec les journalistes). Son don, non, plutôt sa malédiction, le tue chaque fois un peu plus après chaque vision. Johnny est investi d'une mission, il part en croisade, mais la seule issue est le sacrifice !
    Martial Arts Cinéma
    Martial Arts Cinéma

    39 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Vu pour la première fois ce jour et même si j'adore Stephen King et l'on m'a souvent dit que cette adaptation est très bonne et bien je me suis ennuyé sur certains points ce qui est assez dommage malgré la force du casting. Les scènes de prémonitions sont bien faites mais il manque un je ne sais quoi qui ne m'a pas fait aimer à fond ce film
    Pascal
    Pascal

    129 abonnés 1 448 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2023
    Un des meilleurs films de D Cronenberg ( 1983), tire d'un roman de S King. Cet opus du cineaste Canadien s'est meme bonifie avec le temps : on y retrouve Christopher Walken ( un des acteurs les plus charimastiques de sa generation) dans une prestation formidable.

    Que ferait on si on connaissait le futur ? C'est a cette question que Cronenberg tente de repondre avec adresse, dans un film grand public de qualite, a la conjonction entre plusieurs genres ( thriller, fantastique, romantique ) dont celle de la reflexion philosophique.

    Avec " history of violence" et " les promesses de l'ombre" , " dead zone" constituent a mes yeux les sommets du travail du metteur en scene.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 226 abonnés 4 034 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2023
    Que David Cronenberg prenne de gros raccourcis pour adapter "The Dead zone" de Stephen King est un fait pardonnable. Mais que sa mise en scène soit lassante, son écriture aléatoire et surtout sa direction artistique assez navrante est une belle déception. Christopher Walken est antipathique et n'exprime nullement les doutes qui ravagent en permanence le personnage du roman. Si l'oeuvre semble avoir eu un bon accueil dans les années 80, elle a franchement mal vieilli.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 055 abonnés 4 104 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    Le cinéma de David Cronenberg n’est pas à mettre devant tous les yeux tellement le propos et l’esthétique du réalisateur sont empreints d’une radicalité parfois choquante notamment dans la première partie de sa filmographie allant de « Frissons » (1975) à « Spider » (2002). Soit quatorze longs métrages qui voient dans un premier temps (jusqu’à « Videodrome » en 1983), le réalisateur ne choisir que des sujets originaux écrits par ses soins puis se lancer à partir de « Dead Zone » (1983) dans l’adaptation de romans. Ainsi sont convoqués Stephen King, Bari Wood, William S. Burroughs, J.G. Ballard ou Patrick McGrath pour des films de plus en plus hermétiques aux visées parfois abstraites où même obscures qui ne s’adressent à l’évidence qu’à un public averti et donc restreint. Le corollaire de cette démarche ne s’est fait pas attendre qui hormis « Crash » en 1996, voient les films de Cronenberg être largement déficitaires, le poussant vers un cinéma globalement plus consensuel (à l’exception de « Maps to the stars » en 2014) qui n’a plus la même singularité, son auteur étant devenu en quelques sorte « mainstream ». La spécificité du canadien, qui inonde son œuvre initiale, tient dans l’observation de la nature humaine à travers son évolution via la technologie et le matérialisme qui en découle. Un matérialisme qui a progressivement pris le pas sur la spiritualité, amenant l’homme à repousser toujours plus loin les limites de sa condition. Souvent tristement prémonitoire, Cronenberg décrit cette évolution à travers la mutation des corps, fruit de la recherche médicale ou encore à travers les mutations sociales découlant de la mainmise toujours plus forte de la technologie sur les comportements. « Dead Zone » est donc un film de rupture venant juste après « Videodrome » qui en dépit de son unanime succès critique s’est avéré être un flop commercial. Depuis "Carrie" réalisé en 1976 par Brian de Palma suivi par " Shining" (1980) de Stanley Kubrick, la transposition à l’écran des romans de science-fiction de Stephen King s’avère être un bon filon qui malgré les décennies qui passent ne s’est jamais tari. Le projet d’adaptation de Dead Zone », premier vrai best-seller de King, est tout d’abord proposé à Stanley Donen (choix étrange) via la société de production Lorimar qui a acquis les droits du roman. Dino De Laurentiis, toujours à l’affût, profite des difficultés financières de Lorimar pour entrer dans la danse. John Badham, pour des raisons d’éthique politique (le syndrome Kennedy sans doute), déclinant l’offre qui lui a été faite par Debra Hill (productrice des premiers films de John Carpente et recrutée par de Laurentiis), la place est libre pour Cronenberg en recherche d’un nouveau souffle et dont l’univers est relativement proche de celui de King. C’est Christopher Walken alors en pleine ascension qui est préféré à Bill Murray pour interpréter John Smith, jeune professeur modeste et introverti qui à la suite d’un accident de la route subit un coma de cinq ans dont il émerge doté d’un don de voyance lui permettant de lire dans le passé et dans le futur de certaines personnes en touchant la pomme de leur main avec la sienne. spoiler: Le jeune homme qui a vu cinq années de sa vie gommées se retrouve vite en marge, sa fiancée (Brooke Adams) étant désormais mariée et mère d’un enfant.
    Dans un premier temps, le scénario s’empare de la lutte de John Smith pour rester anonyme et ne pas devenir un monstre de foire tout en étant tiraillé par l’utilité assez évidente pouvant découler d’un don qui petit à petit l’affaiblit spoiler: . Sa conscience l’amène donc à collaborer à l’arrestation d’un serial-killer. Aux deux tiers du film, le propos change de tonalité quand la route de John Smith croise celle d’un candidat au Sénat en campagne véreux mais exalté (Martin Sheen démoniaque) soutenu par son ex-fiancée
    . Le film sort alors du fait divers tragique pour prendre une dimension politique qui transcende le propos, offrant à John Smith la possibilité de sortir par le haut de la condition de paria qui est la sienne comme l’est souvent celle de ceux qui sont différents dans un monde tendant à l’uniformité, thème récurrent chez Cronenberg. Le réalisateur en verve et en totale maîtrise, orchestre parfaitement les différentes parties du scénario pour faire de « Dead zone » un film intrigant et cohérent sur l’ensemble des thèmes qu’il aborde. Ce qui n’était pas forcément évident au départ. Il est formidablement aidé par Christopher Walken dont le visage alternativement angélique ou démoniaque, dégage un charme intense exprimant parfaitement le trouble d’un homme qui ne demandait comme son nom l’indique si bien qu’à demeurer anonyme. Quant à Brooke Adams à la beauté toujours aussi lumineuse, elle incarne parfaitement ce que John Smith a douloureusement conscience d’avoir perdu pour n’avoir pas su franchir le seuil d’une porte qui s’ouvrait à lui. Une porte qui a fait basculer son destin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 octobre 2022
    L'un des films les plus connus de David Cronenberg : The Dead Zone peut compter sur le charisme magnétique de Christopher Walken, en proie à des prémonitions mortelles et sur un scénario qui démarre sur une romance puis entre nettement dans le domaine du fantastique. L'exercice de style, sans doute novateur pour l'époque, a malgré tout sacrément vieilli, à l'image d'une mise en scène sur courant alternatif.
    wim 8326
    wim 8326

    11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2022
    Mon film préféré. Pas parfait. Mais pour la mise en scène les acteurs et l'histoire plus le final pas mieux. Je l'ai visionné 20 fois et à chaque fois le final m'amène à une émotion intense. J'adore
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    25 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2022
    L'histoire de ce The Dead Zone, adapté d'une nouvelle de Stephen King, part d'un postulat assez simple, mais qui est un bon concept : un homme se réveille après 5 ans de coma et il voit des choses à travers les gens, que ce soit des événements du présent ou du passé, voir du futur proche.

    On se dit pourquoi pas, surtout dirigé par David Cronenberg. En soit c'est quelque chose qui aurait pu se rapprocher de son style, mais pour être honnête, son absence au scénario se fait bien trop ressentir. Je ne connais pas la nouvelle originelle, mais j'imagine que le film s'en rapproche le plus possible tant l'histoire paraît trop simple et trop facile d'accès pour du Cronenberg. Ca parait très gentil par rapport à ce qu'il nous a proposé précédemment (et même ce qui suivra), en particulier dans son tout dernier film sortit la même année, un certain Videodrome. D'ailleurs 2 films la même pour année pour Cronenberg ca me paraissait déjà bizarre. En plus de cela il y a un cruel manque d'ambiance, de malaise. La seule véritable plu value de ce Dead Zone dans la filmographie du canadien étant une attache assez forte émotionnellement avec le personnage principal.

    Mais le gros problème c'est que même esthétiquement le film n'est pas au niveau. Dès l'intro j'ai l'impression de voir un téléfilm, que ce soit au niveau de la photo ou de la musique qui fait assez cheap et redondante. Ca s'améliore un peu quand la nuit se lève, mais c'est assez décevant sur ce point.

    Mais cela dit, si on n'enlève le fait que ce soit Cronenberg derrière, l'histoire reste quand même avec de l'intérêt, c'est du Stephen King plutôt inspiré, avec un bon concept je me répète, et de très bons acteurs aussi. La seconde partie est d'ailleurs bien meilleur que la première, le récit s'accélèrant et différent enjeux intéressant se dévoilant. Mais ça reste trop linéaire pour Cronenberg.

    Rien que d'imaginer ce qu'aurait pu faire David Cronenberg d'un concept pareil si il était sortit directement de son esprit, ou rien que si il avait eu la main mise sur le scénario, ça me frustre énormément.

    Honnêtement ce The Dead Zone m'a fait penser à des films tel que Pet Semetary ou la première adaptation de Ça avec Tim Curry en Clown, d'autres adaptations de Stephen King réalisé par des Yes Man qui n'auront aucune autre carrière après ça. Ce sont des films que j'apprécie certes, mais sans ambitions visuelles, ni même dans le scénario qui n'a qu'une seule facette. Et comparer de tel films avec un David Cronenberg ça m'embête vraiment, bien que je n'ai pas passé un mauvais moment je me répète.
    circusstar
    circusstar

    120 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2022
    Le film qui m'a fait découvrir Stephen King. John reste dans le coma pendant 5 ans. A son réveil il a le don de voir l'avenir, le passé en touchant les gens. Ce don est t'il en rapport avec une zone qui semble éteinte dans son cerveau ?
    En serrant la main d'un prétendant à la présidence des États Unis, John découvre qu'il va déclencher la 3ème guerre mondiale.
    La zone morte s'étend dans le cerveau de John, John va mourir, il le sait. Que va t'il faire pour empêcher ce mégalomane d'accéder à la présidence ?
    L'histoire de John est bouleversante, c'est un film prenant, plein de suspense.
    Starwealther
    Starwealther

    55 abonnés 1 174 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mars 2022
    David Cronenberg utilise à nouveau un roman de Stephen King pour "The Dead Zone", un film fantastique sur des pouvoirs de médium obtenu par Johnny Smith (Christopher Walken), le décor très enneigé du Maine est caractéristique des oeuvres de Stephen King ainsi que de celle de David Cronenberg étant donné son lieu de vie natal. L'ambiance inquiétante et pleine de mystère est très bien rendu. Pour cette fois, Cronenberg choisit un scénario simple et facile contrairement à ce qu'il fait d'habitude qui est beaucoup plus ardu à comprendre. C'est simple mais terriblement efficace, on suit la déchéance d'un homme qui a tout perdu pendant ses 5 ans de coma et qui continue à vivre en enfer lorsqu'il devient une bête de foire en raison de ses dons de voyance. Une superbe musique renchérit cet ensemble déjà excellent pour notre plus grand plaisir.
    Oli Marsch
    Oli Marsch

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2021
    C'est de loin le film le plus soft et impersonnel de Cronenberg ; c'est de loin le rôle le plus soft et introverti de Walken ; c'est de loin l'une des adaptations les plus soft et plan-plan de Stephen King. Et à force de jouer soft, tous les astres s'alignent et ce drame humain terrifiant, avec juste ce tout petit zeste de surnaturel, est captivant et émouvant de bout en bout. Ce travelling latéral puis avant sur simplement une pauvre voiture qui s'arrête dans la neige est un des plus extraordinaires moments de cinéma des années 80. La musique de Michael Kamen, belle à en pleurer, contribue largement au spleen divin de ce très grand film.
    Philippe G.
    Philippe G.

    114 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2021
    Film qui avec le recul du temps prend une importance grandissante : c'est un chef d'œuvre, malgré sa simplicité. Aucun effet spéciaux, une image froide. L'interprétation douloureuse et amère de Christopher Wallen est d'une grande beauté. Quant à Martin Sheen, en populiste cynique et menteur, il est grandiose. A voir absolument.
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