Derniers Avis sur Le Rire de ma mère

Beau film, sur l'amour, la séparation, la vie, la mort. Mise en scène et photo d'une grande sensibilité, et belle brochettes d'actrices et d'acteurs. Un peu longuet par moment mais un beau moment, réaliste, authentique.

Complètement plat et sans émotion, on se demande ce que filme le réalisateur, on s’ennuie du début à la fin.

Le Rire de ma mère est une histoire de passage à l'âge adulte traitant d'un garçon qui a deux parents divorcés. Sa mère voit un médecin et nous découvrons qu'elle va mourir. Malheureusement ce film n'aurait pas pu être plus ennuyeux. Essayer de rester éveillé à travers un dialogue prétentieux et sans fin sans que rien ne se passe réellement était une corvée. Aucun des personnages ne peut être raconté le moins du monde et ce qui n'était que de 90 minutes ressemblait à 3 heures...

Distribuè sans tambour ni trompette en 2017 avec un petit passage au Festival d'Angoulême, "Le rire de ma mère" est une très jolie comèdie dramatique et mèrite qu'on s'y attarde pour ses excellents comèdiens : Suzanne Clèment, Pascal Demolon & le prometteur Igor van Dessel! Pas mal de finesse psychologique, de douleur diffuse au sein de l'humour dans cette histoire très lente dans son rythme qui ne tombe jamais dans la facilitè ou l'apitoiement! Bien que mèconnu, voici un film à la fois sombre et solaire, très contemplatif, qui n'est pas sans èvoquer l'univers de Xavier Dolan! Derrière la camèra, Colombe Savignac et Pascal Ralite font des petites merveilles! ils traitent dans des sèquences pleines de tact et de pudeur les rapports du jeune et timide Adrien, de sa mère malade et condamnèe, et de son père qui a refait sa vie avec une autre femme! Les annèes rendront sans doute ce film encore plus beau, encore plus èmouvant! Les courts passages avec l'oiseau bleu touchent même au sublime...

Une chronique familiale touchante mais un peu lente à l’image de la mort qui s’annonce comme inéluctable. Les sentiments sont à fleur de peau : la mère, un peu tête à claques, prend conscience de la maladie qui va l’emporter, le jeune adolescent, déchiré par la séparation de ses parents semble pris dans ses turpitudes, l’ex-mari accompagne son ancienne femme dans sa fin de vie. Mais certains passages se déroulent de manière décousue et on peine à s’immerger dans ce drame intimiste car les dialogues n’apportent pas ce surplus d’émotion que l’on pourrait espérer. L’histoire raconte en elle-même la vie, dans toute sa dimension, conflictuelle, affective, fragile qui oscille entre tendresse et regret. Bref, rien de vraiment passionnant dans ce film plutôt grave malgré une bonne interprétation et une fin qui apporte l’espérance.

Habituellement je préfère aller au cinéma seul mais pour ce film j’ai voulu partager ce moment avec ma mère. Cela s’y portait idéalement car nous avons été voir LE RIRE DE MA MÈRE. C’est une coréalisation de Colombe Savignac & Pascal Ralite. Ce dernier signe sa première réalisation mais il était Directeur de production dans de très beau films comme Demain Tout Commence ou Tout pour être heureux. Dans LE RIRE DE MA MÈRE on va suivre l’histoire du petit Adrien (Igor Van Dessel), un garçon extrêmement timide qui à la suite du divorce de ses parents est devenu très proche de sa mère malade. Cette dernière sera jouée par Suzanne Clément qui m’avait déjà fait une très bonne impression dans Numéro Une et qui ici est encore plus impressionnante dans le rôle de cette mère excentrique. Pour l’accompagner dans le rôle de son ex-mari, qui de mieux que Pascal Demolon, cet acteur à la l’attitude si singulière, qui m’avait conquis dans des comédies comme Baby Phone ou Radiostars, me prend ici à contrepied avec une superbe interprétation très sérieuse. Elles sont d’ailleurs là clef de ce drame extrêmement dur. Le fait d’avoir développé le film du point de vue d’Adrien, nous met à sa place en se disant : « et si j’avais vécu ça étant petit ». L’émotion est-elle qu’en m’imaginant son désarroi j’avais véritablement de la peine. Les plans serrer à répétition sur les différents acteurs accentue cette immersion au cœur de ce tourbillon d’émotion. J’ai été très content d’aller voir ce film avec ma mère et il m’a fait rappeler une fois de plus que rien n’est plus beau que le rire de nos mères.

Un film sur la maladie qui n'est ni lourd ni pathos c'est déjà une prouesse. J'ai découvert l'actrice Suzanne Clément qui m'a conquis tant elle joue juste. Le jeune Igor Van Dessel est très bon dans son röle de gamin pertubé, ne sachant vraiment où trouver le bien-être. Enfin le seul acteur que je connaissais déjà : Pascal Demolon (que l'on ne voit pas assez dans des premiers rôles), est exellent en père largué, sans en faire des caisses il fait passer les choses. Parfois drôle, parfois émouvant, il nous prouve qu'il sait faire autre chose que les voyous déjantés (braquo, doberman) ou de l'humour plus revendiqué (camelot, péplum). Bref un film à voir, plaisant à regarder.

Adrien, est un enfant qui partage sa vie entre son père et sa mère divorcés. Un jour il découvre malgré lui une terrible nouvelle qui va bousculer sa vie. En parallèle il tente d'apprendre le théâtre malgré sa timidité maladive.
Ce film m'a franchement bouleversé à certaines scène.. J'ai même dû faire une pause à un moment en me disant “mais pourquoi je m’inflige ça moi�. L'évolution du comportement de sa mère est extrêmement réaliste. Les problématiques lié à cette nouvelle sont fortes et bien retranscrite. J'ai vraiment ressenti ce que le garçon pouvait éprouvé mais également la mère et également le père.
Malheureusement quelques défauts viennent sortir le spectateur du film comme une musique parfois trop présente et en décalage. Une fin qui me paraît trop facile et presque heureuse. spoiler: Une vision du garçon qui n'a rien à faire là je trouve : le petit oiseau bleau.

Le film reste dans l'ensemble un bon film qui vous fera ressentir des émotions fortes.

Ce film aborde des sujets graves et difficiles avec délicatesse. Igor Van Dessel, qui joue Adrien dans le film, a un jeu très juste et émouvant. On s'attache très rapidement à son personnage et à la relation qu'il entretient avec sa mère. Il est dommage que l'histoire de l'oiseau bleu, symbolique, ne soit pas plus développée dans le film et ne prenne sens qu'à la fin. Cela aurait pu apporter un aspect davantage poétique, qui peut-être m'a manqué. Néanmoins, pour le(s) message(s) passé(s): profiter de la vie, oser se lancer, ne pas renoncer face aux difficultés, aller de l'avant malgré de terribles épreuves, rester soudés...et le jeu des acteurs, je conseille ce film !

Quel drame touchant que cette histoire d'une mère atteinte d'un mal incurable promise à la mort. Son déni, ses émotions, sa déchéance, tout comme le parcours de son entourage : tout sonne juste et est magnifiquement joué.

Un seul mot : déception ! Je me suis mis devant ce film avec mon conjoint pour le thème de la maladie car c'est un sujet qui nous tient à coeur et nous espérions vraiment adhérer à l'histoire mais comme nous le craignions un petit peu, cela n'a pas pris ! La faute à des personnages pas très attachants (la mère est une tête à claques et nous avons été déçus car c'est un peu la base du film et elle ne nous a pas émus une seconde), à des dialogues creux et froids et franchement cela a été la désillusion ! Un thème fort complètement gâché !

quelle claque je m 'attendais absolument pas à ça .

la prestation d 'acteurs est tout bonnement éblouissante .

c 'est juste, bien cadré et la mise en scène est au petit oignon.

le temps prit entre les scènes est parfait ,cela a le mérite de n' être ,ni surjoué ,ni pathos et surtout d' être finement déroulé .

la maladie et ses conséquences sont mises là ou il faut avec les mots et les situations adéquates .

bref l 'ensemble de la prestation fait honneur au cinéma français qui dans ce cas de figure n 'a pour moi pas d' égal, il est marqué dans ma mémoire pour l 'ensemble de ce qu'il est .

Une chronique familiale touchante où les sentiments sont à fleur de peau. On vit en parallèle la fin de vie de la mère (si bien interprétée par S. Clément), les ressentis et le vécu du jeune adolescent. Mais certains passages se déroulent de manière décousue et, même si cette histoire raconte simplement la vie, elle demeure très conventionnelle, aussi sur la forme, pour le cinéma.

Le rire de ma mère aborde le sujet de la maladie grave (cancer) d'une mère qui prend trop de place avec cette maladie. Le film montre une famille composée d'un père en couple avec une nouvelle femme et un fils de sa première union; Adrien. Son fils tente de s'échapper de cette maladie qu'à sa mère à travers la rencontre d'une fille dont il tombe amoureux, il parvient à ne pas y penser aussi quand il range tout de manière obsessionnelle, ou quand il est dans l'eau, une manière de se laver le corps et l'esprit. L'eau (piscine, mer) est souvent représentée dans le film, elle a une représentation de purification, et elle réceptionne les malheurs d'Adrien comme si l'eau nettoierait et soignerait les douleurs psychiques. Les acteurs jouent très justes et ce film touche énormément. La maladie s'installe durablement dans le film, invisible mais omniprésente. Cette mère a des sauts d'humeurs dérangeants, et installe une instabilité dans des moments du film. Adrien capte le rire de sa mère et le fige comme image mentale pour avancer dans sa vie et créer sa propre histoire pour devenir lui comme il est avec tout le poids de ce que crée une vie.
Beau film à voir.

Un film tout en sensibilité qui tourne autour d'un trio d'acteurs . Une femme dynamique et jovial condamnée par un cancer s'appuie sur son ex mari pour sauver les apparences vis a vis de son entourage et surtout de leur fils déjà pas mal perturbé par leur séparation .Tout se déroule avec une certaine délicatesse avec de bons dialogues et des regards justes sans trop de pathos mais avecparfois quelques petites longueurs .