Mon compte
    Le Salaire de la Peur
    Note moyenne
    4,2
    9096 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Salaire de la Peur ?

    192 critiques spectateurs

    5
    66 critiques
    4
    89 critiques
    3
    21 critiques
    2
    12 critiques
    1
    2 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    GéDéon
    GéDéon

    58 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2024
    Avec « Le salaire de la peur », Henri-Georges Clouzot signe un drame intense sous forme de huis clos. En effet, alors que l’histoire prend place en Amérique centrale au cœur de grands paysages, le récit s’appuie essentiellement sur l’association de Charles Vanel et Yves Montand. La première partie, dans une ambiance crasseuse et moite, prend le temps de présenter le caractère gouailleur, oisif et viril des deux personnages. La seconde partie change complètement de rythme mélangeant suspense (le convoi de glycérine sur des routes sinueuses) et confrontation caractérielle du duo. Face à la peur de mourir, chacun réagit à sa manière, la lâcheté ou le courage. Bref, un classique du cinéma français ayant remporté le Grand Prix du Festival international du film à Cannes en 1953 (ancêtre de la Palme d’or).
    Dynastar21
    Dynastar21

    24 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2024
    Que d'années passées avant de voir ce classique du cinéma français ! Surtout que mon cheminement cinématographique a été particulier : j'avais visionné le remake américain de William Friedkin, "Sorcerer" (le "Convoi de la peur" en français) il y a quelques années avant de voir ces jours-ci l'œuvre originale d'Henri Georges Clouzot. Et le tout sans avoir jamais lu le roman de "Georges Arnaud" dont sont tirées les deux adaptations.
    Comme souvent, il faut remettre le film dans son contexte, ce qui nous donne des éléments de compréhension sur deux caractéristiques au moins. Tout d'abord, à l'époque la majorité des films sont tournés en studios ! Or le réalisateur a ici fait le choix du milieu naturel (en Camargue dans le sud de la France) avec des décors entièrement réalisés à l'échelle réelle ! Un choix novateur mais comme pour de nombreux grands films, qui s'est accompagné de nombreux ennuis sur le plateau et qui a participé du fait que le tournage se soit révélé chaotique ; ce qui l'a fait rentrer dans la légende des films torturés lors de leur création. Ensuite, et c'est une des principales qualités du long-métrage, la mise en scène millimétrée et précise et le montage de qualité ont accouché d'une tension palpable (et d'un suspense allant crescendo) tout le film durant, fait assez exceptionnel pour les années 50 sans les effets spéciaux ni les outils informatiques d'aujourd'hui. L'ensemble étant renforcé par un duo d'acteurs Yves Montand / Charles Vanel (que je découvre avec ce "Salaire de la Peur") très charismatique dans la pure tradition du jeu d'acteur, à la manière d'une tragédie grecque ! Les deux protagonistes perdus au milieu de cette pampa humide et boueuse, sans le sou, courent à leur perte avec cette mission suicide pour une conséquente somme d'argent : le courage et la couardise de certains se révèleront au fur et à mesure de l'aventure.
    Le metteur en scène glisse des pistes de réflexion sur la nature humaine, la destinée, la bravoure donc, ou encore la rédemption et inclue une critique acerbe de l'impérialisme américain en Amérique du sud et centrale, ce qui lui vaudra d'ailleurs une censure lors de la sortie sur les écrans noirs états-unien.
    Concernant les faiblesses du film, je noterais la difficulté à s'immerger dans l'univers de la première partie relativement longue et la présence anecdotique de la femme de Henri Georges Clouzot, Vera Clouzot dont je peine à comprendre la réelle utilité de mon point de vue.
    En conclusion, cette poésie du risque et de la peur remporta le grand prix du festival de Cannes de l'époque (la Palme d'or n'ayant pas encore été inventée) et l'Ours d'or à Berlin la même année, en 1953, fait assez rare pour être souligné.
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Je découvre Le Salaire de la peur et même si j’avais déjà vu Le Corbeau et L’assassin habité au 21, Le Salaire de la peur est pour l’instant mon film préféré d’Henri Georges Clouzot ! Le seul point noir est que l’introduction du film est à mon sens beaucoup trop longue mais sinon, le film est la définition du suspens et de la tension, avec une approche très réaliste Clouzot arrive à installer une ambiance pesante qui transforme le moindre ponton ou flaque de pétrole en véritable ennemi. Si on ajoute à ça un personnage de Mario malveillant qui habite tout le long métrage avec des acteurs au top et un destin logique pour chacun d’entre eux, on se retrouve face à un film super prenant et divertissant. A noter que la mise en scène de Clouzot est vraiment excellente et n’a pas pris une ride !
    Lionel33000
    Lionel33000

    26 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2024
    Bonjour
    Quel plaisir de redécouvrir ce grand film français de 2h35 de tension et suspens
    Une très bonne distribution, un grand Montant, et même si Gabin a refusé le rôle au dernier moment, Vanel est énorme en lâche
    A redécouvrir ou voir, en oubliant le remarque nullissime de 2024
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2024
    J'ai vu un film... qui m'a tenu en haleine du début à la fin... Quel film ce " Salaire de la peur" de Henri-Georges Clouzot. L'idée est aussi simple que géniale : quatre hommes acceptent de convoyer deux camions remplis de nitroglycérine sur les routes défoncées d'Amérique du Sud. A la clé, une récompense qui leur permettrait de quitter le village où ils ont tous atterris, plus ou moins par choix. Mais à tout instant, au moindre soubresaut, tout peut sauter... Et nous avec ! Rien à voir avec la version récente de Netflix... (à venir...)

    Clouzot construit un habile suspense, mais avant que les personnages ne prennent la route, il prend également le temps de nous les présenter. S'ils se sont retrouvés dans ce village perdu au fin fond de l'Amérique du Sud, ce n'est pas pour rien. Ce sont tous des salauds, des types sans foi ni loi et ambigus. Chacun va d'ailleurs se révéler au cours du trajet éprouvant qu'ils font, en particulier Jo, gros dur à cuire qui va rapidement changer d'attitude. Et on ne peut pas vraiment lui en vouloir, la trouille on l'a aussi, à chaque instant du film.

    Le film fonctionne encore aujourd'hui grâce à la double tension qu'il dégage (celle de la route contre les personnages et celle psychologique entre les protagonistes), au jeu impeccable de ses acteurs (Yves Montand et Charles Vanel en tête) ainsi qu'à la mise en scène incroyable du réalisateur qui fait entrer son film dans la catégories des classiques indémodables.

    Il a reçu de nombreuses distinctions internationales : le BAFTA (les César anglais) du Meilleur film en 1955, l'Ours d'or au Festival de Berlin en 1953, le prix d'interprétation masculine pour Charles Vanel et le Grand Prix (équivalent de la Palme d'Or) du Festival de Cannes la même année. Et c'est incroyablement mérité !

    Le film Le Salaire de la peur est tiré du roman de Georges Arnaud, publié en 1950.
    Yann Cantegrit
    Yann Cantegrit

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2024
    C'est un bonne grosse bouse dans la laquelle tout le monde n 'est pas à sa place " qu'ils ne sachent pas où se mettre ok mais il ne rest qu'un épisode marrant quand la fille canarde de la potiere ,elle aurait put éviter une blessure pour rien .
    Si c 'est le cinéma français je crois que d 'autre production auront l' air plus juste .
    Catherine Rousseau
    Catherine Rousseau

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Film clairment pas a la hauteur de ce qu'est capable gastanbide.

    Les actions sont mal joué

    Scénario naze

    Vraiment nul
    Corinne JOUAN
    Corinne JOUAN

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Bonjour je ne m attendais pas à ce type de script
    J m bcp et oui je trouve k c bien interprété
    Alors jugez par vsm
    Henri Q
    Henri Q

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2024
    Film "culte" que j'ai vu enfant et dont je ne me souvenais que de la scène du camion dans la mare de pétrole, j'ai voulu le revoir et extrême déception!
    Film très long à démarrer. Première partie non seulement inutile mais grotesque, avec un Montand qui joue les machos et traite son entourage comme du bétail. La fille joue l'esclave à quatre pattes et a l'air contente de son sort. Enfin le départ. Ca se corse un peu. Allez, 30 minutes intéressantes. spoiler: Fin grotesqte, hyper téléphonée (chute dans le ravin) et surtout très longue à arriver (il y a bien 2 mn de virages filmés). On est pressés qu'il tombe pour aller se coucher.

    Déçu.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    15 abonnés 1 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Deux camions, deux équipages (Yves Montand et Charles Vanel, Folco Lulli et Peter Van Eyck) convoient à travers le relief hostile d'un pays d'Amérque centrale de la nitroglycérine destinée à éteindre l'incendie d'un puits de pétrole.
    On a retenu du film de Clouzot, adapté d'un roman de Georges Arnaud, les conditions extrêmes et dramatiques d'un voyage au danger omniprésent et au suspens continu. On se souvient aussi de l'investissement total, manifeste et non feint, que Clouzot a su imposer au long d'un périple éreintant au jeune Montand et au moins jeune Vanel.
    Pour autant, le long préambule qui forme la première partie du film, avant que les protagonistes poussés par l'appât du gain ne postulent à la mission quasi suicidaire, constitue un remarquable moment de cinéma en même temps qu'un aperçu de la vision désenchantée que Clouzot a de l'humanité. En quelques plans, le cinéaste plante un décor réaliste, celui d'une ville (aux allures mexicaines) où des aventuriers de toutes nationalités végètent, désoeuvrés et désargentés, croupissant dans la même misère que la population autochtone. C'est un microcosme authentique et, peut-être, symbolique de la diversité des caractères humains -dont on verra, concernant les personnages de Jo et Mario comment ils évoluent dans l'action périlleuse- sinon de la condition humaine considérée par Clouzot.
    Ce cinéma-là n'a pas vieilli parce qu'il témoigne, dans son âpreté, d'une exigence constante.
    Marie Helene B
    Marie Helene B

    1 abonné 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2024
    N’en deplaise aux prétentieux de La Nouvelle Vague, Clouzot a fait 3 chefs d’oeuvre, et ce film en est un. Extraordinaires acteurs au service d’une histoire au suspense infernal. Je ne me lasse pas de cette épopée.
    Shawn777
    Shawn777

    477 abonnés 3 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    Ce film, réalisé par Henri-Georges Clouzot, qui a d'ailleurs marqué la carrière de ce dernier, et sorti en 1953, est très bon ! Pourtant, même si l'histoire m'intéressait, je n'étais pas très enclin à le voir car je redoutais la durée du film qui est tout de même de deux heures et demie. Et cette durée, on la ressent en réalité surtout dans cette longue introduction du plus de quarante minutes ! Quarante minutes en effet durant lesquelles on nous présente les personnages et le contexte, durée qui peut sembler beaucoup trop longue pour ce qu'elle propose mais qui a en réalité une importance cruciale dans la suite des évènements mais surtout dans le sous-texte du film. On nous présente donc plusieurs immigrés, dont plusieurs français, partis en Amérique du Sud afin d'y trouver un travail. Mais les conditions de vie là-bas sont très difficiles et surtout, le pays est assez pauvre et ne propose pas assez de travail pour tout le monde. Jusqu'à ce qu'une compagnie pétrolière, dirigée par des américains, propose un travail très dangereux mais bien payé : transporter de la nitroglycérine dans des camions qui tiennent à peine debout, devant en plus rouler sur une route très escarpée. On suivra alors quatre personnages dans cette aventure, deux par camion, aventure intense qui laisse en plus un sentiment de malaise. En effet, on ressent toute la souffrance de cette bourgade d'Amérique centrale qui rêvait d'une vie meilleure mais qui doit se contenter de ce qu'elle a. Ensuite, le côté dérangeant passe par les nombreux choix que doivent faire les personnages, et je pense notamment à cette scène dans le pétrole qui est particulièrement marquante, notamment dû à sa manière crue de montrer les évènements. De plus, le film nous tient littéralement en haleine du début (enfin du moins après la scène d’introduction) à la fin, puisque chaque manœuvre, chaque nid-de-poule et chaque obstacle représente un danger qui peut survenir à n'importe quel moment. De plus, on ressent également cette chaleur étouffante que vivent les personnages, encore une fois très bien rendue à l'écran grâce à la mise en scène de Clouzot. Et enfin, nous avons également le sous-texte, tellement présent qu'on ne peut pas le mentionner ni passer à côté, qui est la relation pratiquement homosexuelle entre les personnages. En plus de cette virilité tellement exacerbée qu'elle en devient suspecte, le film construit un espèce de triangle amoureux entre Mario, Jo et Luigi, ce pourquoi la scène d'introduction est si importante. En effet, lorsque Jo arrive en ville, Mario n'a littéralement d'yeux que pour lui, délaissant sa petit amie et créant même une scène de jalousie avec Luigi avec qui il partageait une chambre et qu'il a ensuite très rapidement viré de sa vie. Après cette énorme bromance entre Mario et Jo (qui me fait d'ailleurs beaucoup penser à James Dean et Marlon Brando, même si ça ne reste que des "rumeurs"), les rapports de force s'inversent, laissant place à des sortes de crises de couple et à de l'amour vache. Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Yves Montand, Charles Vanel, Folco Lulli et Peter van Eyck qui jouet très bien. "Le Salaire de la peur" est donc un film intéressant sur bien des aspects mais qui tient surtout son spectateur en haleine, tout en le rendant bien souvent mal à l'aise.
    Michael78420
    Michael78420

    43 abonnés 1 306 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2023
    Quelle épopée ! Voir Le Salaire De La Peur soixante-dix ans après sa sortie, c'est plonger dans un passé authentique. Ou presque vu que tout a été en Provence alors que l'action se passe en Amérique du Sud. On y apprend aussi que "pisser en Suisse" (on dirait plutôt aujourd'hui "pisser comme un Suisse"), signifie "uriner seul de son côté". Du côté des acteurs Yves Montand est bon, déjà charismatique, parlant français, espagnol et italien à la perfection. Le pauvre Charles Vanel quant à lui n'a pas été épargné, allant jusqu'à plonger dans le pétrole, pire que les bains de boue de Koh Lanta ! Pour le spectateur du XXIe siècle, les trois premiers quarts d'heures paraissent lents, tout en sentant la moiteur poisse d'un pays où il fait trop chaud et où l'hygiène est toute relative. La suite montre une mise en scène talentueuse, sans les fioritures d'effets spéciaux auxquels nous sommes habitués de jours, et ça fonctionne très bien. À (re)voir en faisant preuve de patience.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    7 abonnés 601 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2023
    « Tu crois que t’es payé pour conduire un camion ? Pauv’ môme… T’es payé pour avoir peur. T’as pas compris ? C’est ça la division du travail. Toi, tu conduis pis moi, je crève de peur. Crois-moi, t’as la meilleure place. »

    Expressionniste parfois, jouant avec les ombres comme un virtuose, Henri-Georges Clouzot plonge cette fois sa caméra dans le naturalisme, ce qui lui permet de laisser libre cours à son amoralisme profond et nous offre quelques scènes d’un réalisme parfois sordide (l’Allemand qui nargue le chien, la jeune Linda qui se fait violer par le tavernier), souvent poisseux (les enfants, les flaques, les crachats), toujours pointilleux, comme cet ensemble d’interprètes, au début, qui communiquent en des langages différents de la manière la plus naturelle qui soit, français, espagnol, allemand, anglais, italien.

    Premier grand rôle d’Yves Montand qui démarre au même moment et avec un succès égal sa carrière musicale, Le Salaire de la Peur est aussi interprété par un tout grand Charles Vanel, à la fois cabotin insupportable et geignard pitoyable, Vera Clouzot en femme enfant de 40 ans, violentée par tout le monde, actrice hélas uniquement visible dans les films de son mari, Dario Moreno en patron de bar falot, bien éloigné des opérettes qui l’ont rendu célèbre et qui rejouera sous la direction de Clouzot dans La Prisonnière (1968), Folco Lulli, « gueule » du cinéma italien, exceptionnel en maçon bonhomme, et Peter van Eyck magnifique de froideur élégante. spoiler: Il m’est arrivé à plusieurs reprises de comparer Clouzot à Melville pour la noirceur du propos, la maîtrise des ombres et du détail, il est un autre point commun aux deux réalisateurs, Charles Vanel en homme tout-puissant qui s’écroule et supplie, comme il le fera dix plus tard face à Belmondo dans L’Aîné des Ferchaux.


    Si l’ont fait abstraction de la maîtrise parfaite du suspense, marque de fabrique de Clouzot, on retrouvera ici plusieurs de ses thèmes de prédilection, dont l’emprise (celle qu’exerce, au début, Jo sur Mario). On pourrait regretter la longueur du film mais c’est précisément cela qui donne à l’oeuvre sa dimension, son intensité, la lente présentation des personnages principaux, comme on le retrouvera onze ans plus tard chez Henri Verneuil (Cent Mille Dollars au Soleil, 1964). En adaptant le roman de Georges Arnaud, Clouzot signe plus qu’un chef d’oeuvre, un véritable manifeste narratif. Visuellement, la transition entre la première heure et le voyage est un sommet du genre, qui ne quitte plus l’image, alternant plans larges et gros plans.

    Il ne fait aucun doute que ce chef d’oeuvre absolu a inspiré un nombre incalculable de cinéastes. Du génie.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    3 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Grand classique du cinéma français, "Le Salaire de la peur" serait un quasi chef d'oeuvre si la première heure du film ne se trainaît pas un peu trop en longueur. Tout le reste c'est du grand Clouzot. Réalisation, acteurs, tension. On reste captivé par ces 500 km de parcours semé d'embuches et une cargaison de 400 kilos de nitroglycerine pouvant les tuer à tout moment. Ce film à reçu la palme d'or à Cannes. Grand film.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top