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    L'Ordre des médecins
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    81 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 313 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    « L’ordre des médecins », un titre qui rappelle immanquablement et en apparence une autre réalisation de Thomas Liliti, le très bon « Hippocrate », mais qu’on ne s’y trompe pas, ce dernier film n’a pas la même ambition, ni la portée du premier...
    Sans être inintéressant dans sa démarche, ce film de David Roux, met en scène Jérémie Renier, plutôt crédible dans ce rôle de pneumologue passionné par sa mission, mais en même temps décrit comme un être plutôt torturé et compliqué, qui manque quelquefois d’empathie et de compréhension pour les autres, et donc difficile à cerner pour ceux qui le côtoient, et même d’ailleurs pour le spectateur...
    Si l’hospitalisation de la mère de ce jeune médecin (Marthe Keller), est censée justement retourner la vapeur et soulever les problèmes liés à l’affectif dans les soins et donc dans l’approche du malade et de sa maladie, le cinéaste n’arrive pas à montrer et à développer pour autant plus de chaleur chez ce soignant qui nous échappe finalement de plus en plus...
    Si ce n’est le côté encore plus perturbé que laisse apparaître son comportement, lorsque cette présence inattendue et difficile à gérer pour lui, surgit au sein même de son milieu professionnel.
    On a donc beaucoup de mal à entrer dans la douleur de cet homme, distant, lointain comme le devient finalement ce film lui-même, ce qui donne inévitablement un aspect clinique, décortiqué au traitement des rapports humains.
    Tous les instants qui justement essaient d’être profonds et touchants dans ce rapport mère/fils, arrivent à l’effet contraire en ne délivrant le plus souvent que peu d’émotion.
    Du cinéma finalement assez glacé, sans réel affect, qui brasse de plus trop de thèmes pour s’éloigner de son enjeu principal qui en soi, pouvait être synonyme d’une troublante et belle histoire !
    Toute cette famille semble curieusement disséquée au scalpel, et si c’est une volonté du cinéaste, cela provoque par réaction un curieux sentiment de malaise, ce qui fait qu’on ne rentre pas vraiment dans la souffrance censée être montrée à l’écran.
    Peut-être que l’idée légitime d’éviter le pathos, a des conséquences surprenantes qui donnent ici un genre de cinéma sec et cassant, assez éloigné de ce que l’on pouvait attendre en terme de sentiment.
    Ce scénario assez classique n’échappe pas à certains clichés et en devient plutôt bancal, alors qu’en resserrant bien plus intensément les liens entre cette femme et son fils à travers sa terrible maladie, ce film aurait visé certainement plus justement son enjeu principal...
    Du cinéma à découvrir pour autant rien que par son sujet grave et difficile, même si pas mal d’écueils n’ont pas été évités cette première fois...
    au-dela-des-nuages
    au-dela-des-nuages

    20 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    Contrairement à pas mal de spectateurs j'ai été très ému par ce film. Ayant vécu des scènes similaires et ma famille étant d'origine ashkénaze, moi-même ayant passé plusieurs semaines en hôpital il y a un an et pourtant je n'aime pas le pathos et le sentimentalisme banal, alors pourquoi ? Sans doute dû à une mise en scène très juste, une interprétation très juste et un montage qui ne laissent aucune impression de technicité. Un film simple, sobre magnifiquement interprété. Une bande son remarquable et émouvante.
    Jessie23
    Jessie23

    29 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Vu à Locarno cet excellent film de David Roux tout en délicatesse et intelligence.
    Les comédiens (Jérémie Rénier et Zita Hanrot excellents, Marthe Keller toujours sublime, très bien soutenus par l'ensemble du casting) trouvent la note juste pour une oeuvre qui reste toujours subtile.
    La BO est très bonne aussi.
    Superbe moment passé avec cette histoire.
    zorro50
    zorro50

    109 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2019
    Ce film est tellement juste qu’on pourrait croire qu’il s’agit d’un vrai reportage sur le milieu hospitalier. Toute la distribution est impeccable, personne n’en fait trop ou pas assez, et Marthe Keller en patiente mourante et Jérémie Renier, son fils médecin, sont époustouflants de vérité.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Un sujet grave qui parle à tout le monde. Car tout le monde a connu, connait ou sait qu’il sera un jour ou l’autre confronté à l’inéluctable fin de vie de ses proches ou à la sienne. Les films sur le milieu hospitalier (surtout les séries pour la télévision d’ailleurs) mettent volontiers en scène le personnel médical en super héros accomplissant des miracles. Le parti-pris ici est tout le contraire. Plein de questions sont posées, avec des réponses au cas par cas, évasives parfois. A charge pour le spectateur de mener sa réflexion personnelle. Le récit ne fera que suggérer.
    dominique P.
    dominique P.

    784 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Ce film nous raconte l'histoire d'un médecin trentenaire qui est pneumologue dans un hôpital.
    Il a ses parents, une soeur et des neveux et il est célibataire.
    Tout va bien pour lui.
    Il est sérieux, gentil, honnête, très humain et est un excellent médecin.
    On le voit dans le cadre de son travail et dans le cadre familial.
    Un jour sa maman tombe malade gravement et il l'a fait admettre dans l'hôpital où il travaille.
    Elle a eu un cancer par le passé et bien qu'elle allait beaucoup mieux depuis, son état s'est détérioré soudainement.
    Notre médecin va devoir faire face.
    C'est plutôt un beau film, sobre et sensible.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2019
    Le titre n’est pas engageant, le sujet ne l’est pas plus. Dommage car la proposition va bien au-delà d’une quelconque déontologie médicale. Elle sonde l’âme et le cœur des humains au sein de l’établissement hospitalier dans toute sa généralité. Un grand spécialiste se voit ainsi confronté à la maladie de sa mère, confiée à un service voisin. Comment peut-il réagir et intervenir auprès de ses confrères ? Comment contenir une famille qui en s’adressant à l’institution parle avant tout à un fils, à un frère… Au cœur de son dilemme Jérémie Renier pose très bien les règles de son activité maintenant contestée par sa filiation maternelle. Celle qui malgré tout ne peut aller à l’encontre du fameux serment d’Hippocrate C’est le suspense entretenu dans une conduite jamais établie formellement. Samuel va et vient, divague surtout lors de la décision finale de sa mère quant à la suite à donner à son traitement … Et le film se révèle tout autre, dans sa grandeur et ses espoirs.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    ffred
    ffred

    1 497 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Premier long métrage pour David Roux, largement inspiré par son expérience familiale. Cela se sent, le film est réaliste, le sujet le touche. Pour ma part, beaucoup moins. Je n'ai jamais pu rentré vraiment dedans, il manque une certaine émotion, on reste un peu sur la bas côté de la route. Impossible aussi de s’attacher aux personnages. La mise en scène est pourtant maitrisée, le scénario assez minutieux, mais il manque quelque chose, avec un côté sans doute trop documentaire. A trop vouloir éviter le pathos, cela en devient peut être un peu trop clinique. L’interprétation est de qualité, c'est déjà ça. Le tout se laisse regarder, sans ennui, mais sans enthousiasme non plus. Pour un film se déroulant dans le milieu médical, on est loin de la force et de l'émotion des films de Thomas Lilti par exemple. On attend de voir la suite pour le réalisateur...
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    L'ordre des médecins ne tient que par la richesse des interprétations de Jérémie Régnier, Marthe Keller et Alain Libolt, acteurs habités par le doute, l'espoir et l'amour. Il surnage une impression très mitigée à la vision de ce film. Le récit enchaîne des scènes assez ennuyeuses et pataudes, comme rajoutées pour donner une durée standard au film ; on pense aux plans de fêtes et de sexe. Certes, nous voyons bien les intentions du cinéaste qui veut montrer la digne souffrance d'une vieille mère face à des enfants qui doutent et qui se plaignent des aléas de la vie. Le jeune médecin est impuissant mais le cinéaste ne fait rien de cet état. Quid d'une vraie remise en cause ? Le film est creux, assez ennuyeux, sans vraie surprise et plombé par une mise en scène sans le moindre relief. Nous sommes assez loin du niveau d'Hippocrate ou de séries télévisées portant sur l'univers médical.
    traversay1
    traversay1

    3 088 abonnés 4 622 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Le milieu médical n'en finit pas de nourrir des scenarii de films ou séries, avec des enjeux de vie ou de mort à la clé. L'ordre des médecin (drôle de titre, on aurait pu choisir plutôt Le quotidien du médecin) a pour lui un aspect documentaire très travaillé et rien ne sonne faux dans la vie à l'hôpital. Intéressant aussi de confronter un praticien, professionnel avant tout, à un cas qui le touche de très près puisqu'il s'agit de sa mère. Si le premier film de David Roux ne s'égare pas dans le larmoyant, il n'est pas non plus très pourvoyeur d'émotions, restant souvent à distance, de manière presque clinique. Là où certains voient un cinéma riche en "nuances", il est aussi possible de le juger froid et bien trop écrit pour susciter des sentiments autres qu'une certaine tiédeur alors que l'histoire ici racontée devrait provoquer davantage de réactions. A vrai dire, la psychologie du médecin joué par Jérémie Renier est assez difficile à appréhender, partagé qu'il est entre sa dureté de spécialiste et son rôle de fils aimant. Soit dit en passant, hormis ce trouble bien naturel, il y a quelque chose d'un peu trop parfait chez ce médecin ultra compétent et chéri de sa famille. Ce côté lisse se retrouve dans une mise en scène très neutre et dans l'absence de personnages forts autour de lui (on est désolé de voir aussi peu les talentueuses Marthe Keller et Zita Hanrot, Maud Wyler étant encore la mieux servie. Bref, L'ordre des médecins est peut-être riche en nuances mais il ne l'est pas en richesse narrative.
    velocio
    velocio

    1 162 abonnés 3 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Voici un film qui n'a pas le titre qu'il mérite, car il risque de rebuter un certain nombre de spectateurs. En plus, dans ce film, il est finalement plus question du désordre d'un médecin que de l'ordre des médecins : Simon, un médecin travaillant dans le service de pneumologie d'un hôpital, jeune mais expérimenté, habitué à fréquenter la maladie et la mort, un peu perdu dans sa vie sentimentale, se retrouve désemparé lorsque Mathilde, sa propre mère, intègre l'hôpital où il travaille et se voit diagnostiquer un cancer des ovaires. "L'ordre des médecins", premier long métrage du réalisateur, est donc à la fois un film très juste sur le monde de l'hôpital et sur les rapports entre un fils et sa mère, dont il est de plus en plus conscient qu'elle va mourir. Contrairement à Thomas Lilti ("Hippocrate", "Médecin de campagne", "Première année"), David Roux n'a pas fait d'études de médecin, mais son environnement familial comprenait plusieurs médecins, dont un frère qui, comme Simon, travaille dans un service de pneumologie. Jérémie Renier campe formidablement bien ce médecin que la maladie de sa mère va bouleverser. Le rôle de Mathilde, sa mère, est interprété par Marthe Keller, une comédienne au jeu toujours aussi juste. Jouant le rôle d'une jeune interne qui ne laisse pas Simon indifférent, Zita Hanrot prouve à nouveau qu'elle fait partie des meilleures actrices de sa génération. Et c'est avec surprise qu'on retrouve Madi Belem dans un tout petit rôle d'externe, lui qui a parfaitement tenu le rôle principal dans "Tazzeka".
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    David Roux signe avec « L’ordre des Médecins » un film subtil, à défaut d’être très engageant sur le papier. Ce réalisateur novice, puisque c’est seulement son deuxième long-métrage, livre un film bien fichu dans sa forme. Pas trop long et pas larmoyant malgré un sujet douloureux, il ne laisse jamais les scènes difficiles tirer trop en longueur. La musique, très variée, est très agréable à l’oreille. Mais au-delà de la musique, c’est aussi le travail sur le son qui est intéressant. Lorsque Simon est troublé, le son s’assourdit un peu, soulignant sans exagérer la confusion du personnage. On remarque aussi que, dés le générique, David Roux filme beaucoup les sous-sols de l’hôpital, parfois pour y accompagner un personnage, parfois sans personne, en tant que simple transition entre deux scènes. Au début c’est un peu déroutant et puis on se dit qu’il y a peut-être un peu de symbolique dans ces plans de tunnels, comme le chemin intérieur que doit parcourir son personnage principal, ou bien une métaphore du tunnel vers l’au-delà. Bon, là, je m’avance un peu… David Simon aime peut-être juste filmer les couloirs souterrains et les canalisations, allez savoir… Quoi qu’il en soit, son film passe bien, il part assez fort et même s’il n’y a malheureusement ni suspens, ni happy-end possible, on ne décroche pas. Peut-être pourrait-on dire qu’il tire un tout petit peu en longueur sur la fin mais c’est peu de chose. « L’Ordre des Médecins », ce n’est pas « Hippocrate » même si on y pense, inévitablement. Ici, il n’est pas vraiment question de filmer le travail des soignants et les difficultés de l’hôpital public en tant que tels, même si c’est évoqué bien entendu. Dans son film, David Roux filme surtout un homme, que la maladie de sa mère ébranle bien au-delà de sa qualité de fils. Jérémie Renier porte le film sur ses épaules, même si les seconds rôles ont bien écrits, bien incarnés et pas du tout cantonnés au rang de faire-valoir. Marthe Keller, notamment, incarne une mère d’une dignité et d’une douceur exemplaire, une femme qui tait sa détresse, sa douleur et même sa peur, sauf dans une scène où elle avoue avoir peur de la mort, mais toujours avec la retenue qu’il faut. Jérémie Renier est très crédible dans le rôle ambivalent de l’homme fort et faible, qui ordonne puis qui subit, qui doit de débarrasser de sa peau de médecin pour redevenir juste un fils, et ce n’est pas facile… En tant que médecin, Simon soigne, parfois il soulage, parfois il défie la mort et parfois il doit céder face à elle. On sent dés les premières minutes du film qu’il a bien intégré toutes les facettes du job : accepter la mort, parler des malades avec un certain détachement, se cacher même derrière les termes techniques pour éviter de dire des choses crument. Il forme ses internes et il formate ses externes dans cette optique là, il les formate comme il a été formaté par ses pairs, c’est ainsi que fonctionne la médecine en France, en ailleurs aussi. Mais subitement, le voilà dans le rôle d’en face, de celui qui doit entendre les mauvaises nouvelles, qui doit accepter la mort, qui doit batailler aussi avec l’administration de l’hôpital, qui doit entendre des expressions un peu bizarres : « Ta mère, dans cet état je ne remets pas les mains dedans » de la part d’un chirurgien par exemple. Ce qui lui paraissait normal, habituel devient insupportable. spoiler: Au début, il continue d’exercer pendant l’hospitalisation de sa mère mais très vite cela devient impossible, il ne peut pas incarner les deux rôles en même temps. Alors il prend congés et bascule du côté du fils du patient.
    Ce chemin vers le deuil, il le suivra en tant que fils et non en tant que médecin, juste parce faire autrement lui est impossible. En même temps que leur mère se meure, Simon et sa sœur entame un virage dans leur vie personnelle : spoiler: lui noue une relation avec une collègue et sa sœur décide de mettre fin à un mariage fichu. Loin d’être anecdotique, ses deux sous-histoires prennent sens avec la maladie de leur mère, je pense, comme si cette épreuve était l’occasion d’un bouleversement pour tout le monde, d’une remise en question, même inconsciente.
    Le scénario laisse entendre, sur la fin, que peut-être Simon sera un médecin différent après la mort de sa mère, un médecin plus sensible, plus bienveillant, un meilleur médecin ? Le scénario ne s’étends pas là dessus, laissant le spectateur spéculer sur cette question : un médecin plus sensible est- t-il un meilleur médecin ? Voilà une question à laquelle je suis bien incapable de répondre. En résumé, « L’Ordre des Médecins » ne va pas marquer les esprits autant que « Hippocrate » avait pu le faire en son temps, son sujet est plus intime, plus subtil et probablement moins fédérateur. Mais il n’en demeure pas moins un bon film, bien écrit, bien interprété et qui mérite qu’on accorde 90 minutes de son temps, malgré la lourdeur de son sujet.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 897 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2019
    Je crois que c'est le premier long métrage que réalise David Roux dans le monde de l'hôpital et j'avoue que cette oeuvre est très touchante voir larmoyante !! "L'ordre des médecins" parle de famille puisque un médecin en pneumologie apprend que sa mère a de graves problèmes de santé et interné dans un autre service dont il ne peut pas faire grand chose. Anxieux et inquiet, le travail qui lui prend beaucoup de temps et les soins sur sa maman le rend un peu nerveux et cela s'affecte sur sa profession et le reste. Un film d'abord bien documenté sur le monde des hôpitaux qui reflète bien la réalité. Ensuite, de bons comédiens avec en tète Jérémie Renier qu'on voit dans presque tout les plans et qui est excellent, de même pour Zita Hanrot qui joue une interne proche de lui et Marthe Keller dans la peau de la mère souffrante plus le reste du casting. J'ai bien aimé 'L'ordre des médecins" dans son ensemble et je le conseille.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2019
    L'Ordre des médecins va bientôt quitter les salles poussé par les 15 sorties hebdomadaires. C'est injuste car c'est un film qui tient vraiment la route. Le scénario, le rythme, l'interprétation sont impeccables. Il y a une vraie mise en scène et une vraie photo ce qui fait qu'on est devant un vrai film de cinéma et pas un quelconque film de télévision. L'histoire personnelle de Simon, pneumologue qui voit sa vie chamboulée par la mort de sa mère, et celle de la vie d'un service hospitalier avec ses hauts, ses bas, son stress permanent et son humanité, s'entremêlent efficacement. Il y a aussi en filigrane très subtil la question des enfants de survivants de la Shoah et ce que devient leur héritage culturel. Et ces veinards mangent des glaces de chez Raimo l'excellent glacier du 12e arrondissement.
    djams
    djams

    27 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2019
    Film très intéressant dans le sens où on peut suivre un médecin à la fois dans sa vie privée et sa vie professionnelle pour se rendre compte que les deux ne sont jamais complètement dissociés. L'un influe forcément sur l'autre même si ce n'est pas souhaitable. Cela montre juste la nature humaine avec ses bons et ses mauvais côtés. A voir absolument !
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